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    Mer 30 Déc - 16:45.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t102-ce-sont-des-choses-qu
    Que ce soit clair, Analynn : tu n’as absolument aucune envie que cette soirée finisse complètement gâchée. Tu refuses de donner raison à trois idiots qui n’ont fait qu’oser venir vous menacer, tous les deux, parce que, ça avait finalement plutôt bien commencé, tu vois. Tu n’iras pas jusqu’à dire que tu es déçue d’être rentrée à la maison, en revanche, tu ne veux pas qu’il continue de ruminer comme il a commencé à le faire alors, tu viens lui faire savoir qu’en effet, tu te fiches pas mal de sa protection, parce que tu n’en as pas spécialement besoin. De plus, tu lui rappelles que c’est lui, qui a décidé de se poser en gardien auprès de toi, et que toi, en revanche, tu n’as absolument rien réclamer de tout ça. « On me le dit souvent, en effet. » Que tu oses même lui lancer, alors qu’il te fait remarquer que tu es étonnante. Tu te doutes bien qu’il ne devait pas s’attendre à ce que tu saches te défendre de la sorte, après tout, Analynn, lorsque tu es arrivée chez lui, tu étais blessée, bien abimée, parce que tu avais été battue, tu passais probablement à ce moment-là pour une jeune femme lambda, fragile, et ayant cruellement besoin que l’on prenne soin d’elle, et que l’on veille sur elle.

    Tu en as donc terminé avec sa coupure, et pour une fois, Analynn, c’est toi qui viens franchir la limite – si elle existe encore, d’ailleurs, entre vous – en relevant ta longue robe sur tes jambes, pour venir finalement t’installer sur ses genoux, à califourchon. Tu viens sourire à sa remarque bien possessive, encore une fois, tandis que déjà, ses bras reviennent se fermer sur toi, il vient chercher tes lèvres, et ses mains glissent dans ton dos largement dénudé, et tu sens la seule et unique attache qui retient ta robe sauter. Heureusement, les bretelles de cette dernière maintiennent l’ensemble plus ou moins en place.

    Quand ses lèvres quittent les siennes, Analynn, la chaleur est revenue envahir ton corps tout entier, et tu penches même légèrement la tête en arrière, tandis que son nez glisse contre ton visage. Tu lui laisses l’accès à ton cou, à ta gorge, en soupirant légèrement sous l’effet de ce contact, de cette caresse. Peu à peu, Ana, il semble que tu te mettes à repousser tes doutes, et tes hésitations, toi qui refusais encore de l’approcher, il y a quelques temps, te voilà assise sur ses genoux, de ta propre volonté, tu le laisses t’embrasser, tu laisses ses mains glisser ta peau. « Je commence à apprécier, avoir ce genre d’effet sur toi … » La pure vérité, que tu lui offres alors que déjà, il revient t’embrasser et que tes mains se mettent à le parcourir, osant aller là où tu n’es encore jamais allée, jusqu’à présent. Tu t’accroches à lui, tu réponds à ce baiser avec … une fougue qui ne s’est pas emparée de toi, et de ton corps depuis de nombreuses années. « Viens plus près … » Que tu oses même lui souffler, alors même qu’il est déjà collé contre toi, et que tu trouves néanmoins, encore le moyen de le tirer dans ta direction.
    Analynn Marshall
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 4 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 4 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2895
    Mer 30 Déc - 20:55.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t55-leandre-on-ne-reveille
    Tu ne peux pas te retenir, et encore moins t’en empêcher. Sa peau t’appelle, comme si tu étais tout bonnement incapable de t’en détacher, comme si tu étais tout bonnement enchanté. Et c’est comme ça que tu te retrouves à l’attirer à toi, en l’embrassant comme tu le désires vraiment avant de décrocher cette foutue agrafes qui t’embête clairement maintenant. Et tu peux enfin glisser tes doigts sur elle, en te sentant juste… serein. Comme quoi, obtenir ce que tu veux est clairement capable de te calmer Léandre. Il semblerait qu’au contact d’Analynn le lion se transforme en chaton… heureusement que personne ne peut voir ca.

    « Tu es vraiment infernale. Tu souffles contre elle, alors qu’elle se félicite de cet effet qu’elle a sur toi et que tu ne peux pas nier. Je suis sûr que tu crois encore que je vais te manipuler alors que c’est toi qui a cette emprise sur moi… »

    Et ça, c’est drôlement vrai quand on y pense. Tu es celui qui est en train de craquer tout bonnement, en train de lui donner tout ce qu’elle demande, en oubliant même ce que tu avais décidé de base. Il suffit de voir, Léandre, ca fait des semaines qu’elle est ici, et tu ne l’as plus jamais interrogée sur sa ville ou sur les informations qu’elle pourrait te donner. Tu ignores cette partie de votre relation parce que tu as compris que tu ne voulais pas la voir disparaître.

    « Je te veux. »

    Une vérité, encore une, que tu délivres dans un murmure sourd, alors qu’elle vient te donner accès à son cou et que tu n’hésites pas un instant à t’y aventurer. Tes lèvres parcourent sa peau, alors que tu sens ses mains sur toi. Et plus tu continues, plus elle s’accroche à toi, jusqu’à revenir à ce baiser qui te fait grogner de frustration… pas bien longtemps pourtant. Parce que quand elle te fait cette demande, tu cèdes aussi sec, mais à ta manière. Tes bras l’entourent alors que tu la fais basculer sur le canapé, fort heureusement bien confortable. Tu viens la dominer, pour continuer ce baiser et cette fois-ci, tes mains glissent sur son vêtement pour le lui retirer, au moins en partie.

    « Tu ne comprends pas hein. Que tu lui souffles quand tu t’éloignes pour reprendre ton souffle. Tu ne veux pas voir la vérité. »

    Tes lèvres viennent s’attaquer à sa gorge, puis descendent avec le vêtement que tu tires, parsemant la brûlure de ta peau et de ton envie sur sa peau, jusqu’à sa poitrine. Et pourtant Léandre, tu t’arrêtes encore avant de craquer. Tu fermes les yeux, tu luttes mon vieux. Quand tu viens reprendre son visage de tes mains, tes yeux se perdent dans les siens.

    « J’ai des sentiments pour toi, Analynn de Fortschritt. Assez pour mettre de côté d’où tu viens et qui tu es. Assez pour vouloir te protéger de moi-même, tant que tu ne seras pas sûre de toi… Et tu viens juste l’embrasser bien plus doucement, presque tendrement. Quand même ça me tue. »
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 4 Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3354
    Mer 30 Déc - 22:45.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t102-ce-sont-des-choses-qu
    Cet homme, Analynn, est en train de prendre une place en toi qu’il ne devrait pas avoir. Une place qu’il n’est pas censée voir, encore moins atteindre, qu’il occupe pourtant de plus en plus. C’est comme ça, tu ne peux pas empêcher les choses d’arriver, et tu en as maintenant pris conscience, c’est d’ailleurs probablement pour cette raison que tu viens le chercher, toi, cette fois. Il faut dire que ce soir, ma belle, tu as eu peur, même si tu n’as rien dit, même si tu n’as rien montré, tu as craint pour ta vie, et ta sécurité, c’est un fait, mais aussi pour la sienne. Evidemment, tu n’iras pas jusqu’à avouer ça à haute voix, pas que tu en aies honte, non, par contre, tu ne sais pas trop ce qu’il pourrait en penser. Tu ne veux pas qu’il pense que tu le prends pour quelqu’un de faible, parce que, tu as compris qu’il était tout l’inverse.

    En tout cas, ma belle, tu as complètement, et définitivement oublier l’homme qui était ton compagnon à Fortschritt, pour toi, c’est déjà du passé même si quelque part, tu sais pertinemment que les choses n’ont pas pu être expliquées, et mises au clair. Il est probablement inquiet, parce qu’il était, qu’il est un homme bon, et gentil. Peut-être qu’il te cherche, aussi. Dans sa tête, vous êtes encore ensemble … dans la tienne, il n’y a plus que Léandre, et c’est d’ailleurs lui, en ce moment, qui t’embrasses, et te touches, c’est lui, que tu réclames, c’est lui qui vient te faire basculer sur ce canapé pour venir s’installer au-dessus de toi, qui tires sur ta robe pour dévoiler en partie ta poitrine, qui t’embrasses, qui vient faire glisser ses lèvres jusqu’à ta gorge, et qui parsème ta peau de baisers brûlants. Il t’enflamme. Il t’arrache des soupires de contentement, et de plaisir. En fait, tu es si obnubilée par ce qu’il est en train de faire de toi, Ana, que tu entends à peine ses paroles.

    Lorsqu’il arrive à ta poitrine, pourtant, il s’arrête. Il prend un instant, puis ses mains viennent emprisonner ton visage, et tu te perds dans le bleu de ses yeux tandis que ses mots, eux, ont un drôle d’effet sur toi … une vague de chaleur, bien différente cependant ce qu’il peut provoquer chez toi lorsqu’il te touche, t’embrasses. Une douce chaleur, réconfortante et presque bouleversante qui vient immédiatement faire briller tes yeux, pendant que ses lèvres reviennent se poser tendrement sur les tiennes. « J’ai envie de rester avec toi… » Tu l’avoues. Ça ne veut pas dire que tu le feras, Analynn, mais pour la première fois, tu lui offres cette vérité. Tu n’es certes pas sûre de toi, pas complètement, du moins, mais l’envie de rester à ses côtés, ici, à Widerstand est présente en toi depuis des jours. « Je n’arrive plus à rester loin de toi. » Et ça, il a dû le remarquer, parce que, tu ne le fuis plus, même lorsque tu essayes, tu échoues. En ce moment, tu finis toujours par venir à lui, l’approcher, le toucher, son lit est pratiquement devenu le tien aussi désormais, et tu n’es même plus gêner, lorsqu’il vient avancer que tu lui appartiens, comme si au fond, tu savais déjà que c’était le cas.
    Analynn Marshall
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 4 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 4 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2895
    Sam 2 Jan - 20:45.
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    Franchement Léandre, tout cela était bien loin de tes plans de base. Tu voulais te rapprocher d’elle pour obtenir les informations qui t’étais importantes, tu avais bien entendu pensé au fait que ça pourrait te donner envie de l’aider ou au moins d’amoindrir la dureté de son sort dans ta ville. Mais franchement, regardes où tu en es rendu, Léandre. Penché sur son corps que tu as basculé sur le canapé, à parcourir sa peau de tes lèvres. Écoute-toi lui faire une presque déclaration. Tu étais bien loin d’envisager tout ça.

    Pourtant, si tu sais que ça devrait ne pas te plaire ou au moins t’inquiéter, quand tu es à son contact tu rejettes tout de côté pour simplement profiter d’elle. Et te revoilà accroché à son regard, tes mains sur son visage. Tu ne sais pas où tu vas, mais tu y cours sans réfléchir, c’est ce que tu te dis, alors que tu surprends une émotions vive dans ses prunelles.

    « Reste. Tu lui murmures avant de glisser à peine tes lèvres contre les siennes. Reste, et je ferai tout pour te rendre heureuse. C’est plus simple comme ça… »

    Tu ne dis même pas ça pour elle, mais pour vous deux. Vous pourriez céder à vos envies sans penser à tout cela, sans devoir toujours calculer vos gestes et vos réponses. Tu pourrais faire d’elle ta compagne, lui offrir une belle vie. Elle pourrait retrouver une place en ville sans aucun souci. C’est tout cela que tes yeux tentent de lui transmettre, alors qu’elle en rajoute et que tu reviens l’embrasser plus fougueusement.

    Tes mains finissent pas revenir tirer doucement sur sa robe, et la dévoiler plus clairement sous toi. Si tu prends le temps de la dévorer du regard, tes mains, elles, ne peuvent se passer de glisser sur sa peau, sur chacune de ses formes comme pour la découvrir encore une fois et quand tu quittes sa bouche pour reprendre ton souffle, il ne fait plus de doute que tu as envie d’elle, physiquement parlant.

    « Si tu ne me dis pas d’arrêter, je prends ça pour un assentiment. Ton regard brûle pour elle, et tu lui laisses enregistrer l’information quelques instants avant de poser tes lèvres sur son épaule. Je n’ai pas envie d’être toujours raisonnable. »

    Ou plus envie, ou plus la force, c’est au choix. En tout cas, tu cesses de réfléchir, de t’imposer des limites en lui remettant à elle les clés pour tout arrêter et tu laisses ta bouche, parfois même le bout de tes dents venir la torturer entrainant ton souffle de plus en plus brûlant contre elle.
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 4 Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3354
    Sam 2 Jan - 21:43.
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    Il a raison, Analynn, et tu le sais. Tu as envie de rester, c’est un fait, même si une part de toi ne cesses de te rappeler ta vie, celle que tu menais jusqu’à présent et que tu as du mal à juste … abandonner, comme ça, si soudainement pour te jeter dans l’inconnu, mais, l’envie ne suffit pas. Par contre, tout comme lui, tu sais à quel point prendre une telle décision pourrait faciliter les choses, autant pour toi, que pour lui. Sauf que, c’est difficile, pour toi, on ne peut que s’en douter. Tu n’étais pas malheureuse, à Fortschritt, tu avais des amis, tu t’occupais, tu avais tes parents, oui, tu avais une vie relativement satisfaisante, même si elle était loin d’être parfaite, certes. Le hic, c’est que visiblement, en plus de l’attirance physique, tu sembles avoir développer autre chose pour Léandre. Un attachement certain qui, c’est sûr maintenant, t’empêchera de simplement partir pour reprendre ton existence comme tu souhaitais le faire, à la base. Tu n’as pas été capable de t’enfuir, lorsque tu l’avais décidé, la dernière fois, il a fallu que tu lui offres ce mois, et finalement, c’est probablement à toi qu’il coûtera le plus cher, en quelques sortes, puisque tu sais que c’est terminé, que tu ne rentreras pas de sitôt, pas sans lui … en fait, il faudra qu’il se décide à te rejeter de lui-même pour ça, et tu vois bien qu’il semble avoir emprunter la voie opposée.

    En fait, Analynn, vous êtes très probablement sur la mauvaise pente, actuellement, une pente raide, et vertigineuse qui, pourtant, ne te sembles étrangement pas si terrible que ça, à ce moment précis. Tu es en train de céder, plus encore que tu ne l’as fait ces derniers jours, avec lui. Tu le laisses approcher, plus, toujours plus, tu l’appelles, même, à venir toujours plus près de toi et franchement … là, maintenant, tu as tout simplement l’envie de tout lâcher, d’arrêter de te prendre la tête, de réfléchir, de penser, même, tu veux simplement continuer à profiter de ses lèvres contre ta peau, de son corps contre le tien. Tu le veux, lui, et ça, tu vois, quand tu en viens à le penser aussi clairement, ça vient complètement exploser en toi, et ça termine d’annihiler tes derniers doutes, de balayer tes questionnements.

    C’est lorsqu’il t’annonce que, si tu ne fais pas le choix de l’arrêter, et de le repousser, il continuera, il ira aussi loin qu’il veut, il franchira toutes les limites, il cessera d’être raisonnable, parce qu’il ne faut pas se mentir, Ana, il l’est énormément, quand on y pense. Il s’adapte à toi, il attend, même si tu l’agaces, quand tu le repousses, quand tu le fuis, ou t’éloignes, il prend, certes, mais il n’en prend jamais plus qu’il ne le peut, et rien que ça, c’est déjà un point important à tes yeux. De ce fait, alors qu’il se remet à t’embrasser, qu’il tire à nouveau sur ta robe pour dévoiler ton corps sous ses yeux … tu ne l’arrêtes pas. « Alors ne le sois pas. » Tu lui glisses ces quelques mots, alors que ses dents viennent doucement malmener ta poitrine te faisais échapper un gémissement à la suite duquel tu viens poser une main sur tes lèvres, comme si … comme si ça pouvait être quelque chose de mal, que de ressentir tant d’envie, et de plaisir sous la simple action de sa bouche contre ta peau.

    Tu te débats, finalement, avec ta robe, pour te débarrasser tes bretelles fines qui te gênes un peu, et puis, c’en est tout simplement fini, Ana, tu t’abandonnes tout simplement à lui, à ses bras, à ses lèvres, à son corps, à sa chaleur …
    Analynn Marshall
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 4 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 4 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2895
    Sam 2 Jan - 23:50.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t55-leandre-on-ne-reveille
    C’est tout ce que tu veux entendre en faite. Qu’elle te laisse faire, qu’elle cesse une bonne fois pour toute de te repousser pour simplement accepter ce qu’il se passe. Et tu te prépares presque malgré toi à devoir arrêter et à la laisser s’enfuir, à ressentir la brûlure dérangeante et acide de la frustration. Vraiment Léandre, tu es comme préparé à devoir abandonner alors quand elle ouvre la bouche pour répondre, tu suspends ton baiser sur sa peau, tu l’observes et un drôle d’éclat s’allume dans tes yeux. Frustration, peut-être un peu de colère aussi, qui se fait aussi vite avaler par la surprise, l’incrédulité puis cette vague d’envie qui déferle sur toi sans mesure. Tu as le droit, c’est ce qu’elle te concède.

    Il ne faut pas te dire ça deux fois, Léandre. Tu fonds sur elle et alors qu’elle se met à gémir sous ta bouche, tu cèdes à toutes tes envies. Tes mains cherchent rapidement et trouvent leur chemin sous sa robe alors que la jeune femme elle-même se débarrasse en partie de son vêtement si dérangeant. Tu prends ça comme une opportunité en plus d’une invitation et tu viens lui retirer complètement le beau tissu rouge pour avoir accès à son corps, sa restriction ni barrière.

    « Tu es belle, Ana. »

    C’est ce que tu lui offres, avant de venir serrer son corps contre le tien et finalement, Léandre, tu reprends tes baisers alors que tes mains, elle, viennent glisser sur sa peau, découvrir chacune de ses forces, tester ses résistances et les zones que tu imagines plus sensibles chez elle. Tu ne te contiens pourtant pas très longtemps. Tu finis par revenir à sa poitrine et lui retirer entièrement le tissu dentelé qui la protège avant de revenir à ses lèvres, une main contre son sein droit, l’autre bien plus aventureuses.

    « Ne regrette pas ça demain… Tu l’observes bien trop sérieusement. Jure-le-moi. »

    Parce que tu te rends compte que tu ne supporterais clairement pas que ce soit le cas. Et finalement, Léandre tu te refuses aussi bien des choses, comme de la faire tienne ici, sur ce canapé. Tout à coup, tu l’attrapes, tu l’emportes dans tes bras, en continuant de l’embrasser comme pour l’empêcher de voir la transition jusqu’à ta chambre et tu reviens te hisser sur ce matelas que vous partagez avec elle. D’un mouvement rapide, tu te défais de ton pantalon de soirée et tu reviens l’emporter sous tes draps avec toi.

    Sous le désir de tes baisers, l’odeur de son corps qui se mêle à la tienne dans la chambre, tu finis rapidement par retirer les derniers vêtements qui te gênent et te frustrent plus qu’autre chose. Tu la fais tienne sans hésiter, sans même te laisser complètement dévorer par ton envie, Léandre, parce qu’au fond de toi, tout ce que tu veux, c’est lui prouver qu’elle a eu raison de te laisser faire. Et pour ça, tu te dévoues bien plus à elle que tu ne l’as jamais fait pour ton ex-femme.

    Jusqu’à retomber sur le matelas près d’elle, essoufflé et brûlant. Tu te vois l’observer de longs instants, avant de refermer des bras possessifs sur ton corps et c’est en revenant enfouir ton visage dans ses cheveux que tu t’endors comme une masse.
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
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