Que ce soit clair, Analynn : tu n’as absolument aucune envie que cette soirée finisse complètement gâchée. Tu refuses de donner raison à trois idiots qui n’ont fait qu’oser venir vous menacer, tous les deux, parce que, ça avait finalement plutôt bien commencé, tu vois. Tu n’iras pas jusqu’à dire que tu es déçue d’être rentrée à la maison, en revanche, tu ne veux pas qu’il continue de ruminer comme il a commencé à le faire alors, tu viens lui faire savoir qu’en effet, tu te fiches pas mal de sa protection, parce que tu n’en as pas spécialement besoin. De plus, tu lui rappelles que c’est lui, qui a décidé de se poser en gardien auprès de toi, et que toi, en revanche, tu n’as absolument rien réclamer de tout ça. « On me le dit souvent, en effet. » Que tu oses même lui lancer, alors qu’il te fait remarquer que tu es étonnante. Tu te doutes bien qu’il ne devait pas s’attendre à ce que tu saches te défendre de la sorte, après tout, Analynn, lorsque tu es arrivée chez lui, tu étais blessée, bien abimée, parce que tu avais été battue, tu passais probablement à ce moment-là pour une jeune femme lambda, fragile, et ayant cruellement besoin que l’on prenne soin d’elle, et que l’on veille sur elle.
Tu en as donc terminé avec sa coupure, et pour une fois, Analynn, c’est toi qui viens franchir la limite – si elle existe encore, d’ailleurs, entre vous – en relevant ta longue robe sur tes jambes, pour venir finalement t’installer sur ses genoux, à califourchon. Tu viens sourire à sa remarque bien possessive, encore une fois, tandis que déjà, ses bras reviennent se fermer sur toi, il vient chercher tes lèvres, et ses mains glissent dans ton dos largement dénudé, et tu sens la seule et unique attache qui retient ta robe sauter. Heureusement, les bretelles de cette dernière maintiennent l’ensemble plus ou moins en place.
Quand ses lèvres quittent les siennes, Analynn, la chaleur est revenue envahir ton corps tout entier, et tu penches même légèrement la tête en arrière, tandis que son nez glisse contre ton visage. Tu lui laisses l’accès à ton cou, à ta gorge, en soupirant légèrement sous l’effet de ce contact, de cette caresse. Peu à peu, Ana, il semble que tu te mettes à repousser tes doutes, et tes hésitations, toi qui refusais encore de l’approcher, il y a quelques temps, te voilà assise sur ses genoux, de ta propre volonté, tu le laisses t’embrasser, tu laisses ses mains glisser ta peau.« Je commence à apprécier, avoir ce genre d’effet sur toi … » La pure vérité, que tu lui offres alors que déjà, il revient t’embrasser et que tes mains se mettent à le parcourir, osant aller là où tu n’es encore jamais allée, jusqu’à présent. Tu t’accroches à lui, tu réponds à ce baiser avec … une fougue qui ne s’est pas emparée de toi, et de ton corps depuis de nombreuses années. « Viens plus près … » Que tu oses même lui souffler, alors même qu’il est déjà collé contre toi, et que tu trouves néanmoins, encore le moyen de le tirer dans ta direction.
Tu en as donc terminé avec sa coupure, et pour une fois, Analynn, c’est toi qui viens franchir la limite – si elle existe encore, d’ailleurs, entre vous – en relevant ta longue robe sur tes jambes, pour venir finalement t’installer sur ses genoux, à califourchon. Tu viens sourire à sa remarque bien possessive, encore une fois, tandis que déjà, ses bras reviennent se fermer sur toi, il vient chercher tes lèvres, et ses mains glissent dans ton dos largement dénudé, et tu sens la seule et unique attache qui retient ta robe sauter. Heureusement, les bretelles de cette dernière maintiennent l’ensemble plus ou moins en place.
Quand ses lèvres quittent les siennes, Analynn, la chaleur est revenue envahir ton corps tout entier, et tu penches même légèrement la tête en arrière, tandis que son nez glisse contre ton visage. Tu lui laisses l’accès à ton cou, à ta gorge, en soupirant légèrement sous l’effet de ce contact, de cette caresse. Peu à peu, Ana, il semble que tu te mettes à repousser tes doutes, et tes hésitations, toi qui refusais encore de l’approcher, il y a quelques temps, te voilà assise sur ses genoux, de ta propre volonté, tu le laisses t’embrasser, tu laisses ses mains glisser ta peau.