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    Dim 27 Déc - 11:13.
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    A croire que tu en as besoin. Qu’il le faut, ne serait-ce que pour évacuer une partie de la pression qu’il s’est accumulée et qui fait surement de toi une véritable cocotte-minute, ces derniers temps. Pas étonnant, Analynn, que tu aies des soucis avec ton sommeil, quand on voit ce que tu t’infliges. Qui est capable d’endurer ça, pendant de si longs jours ? Tu ne t’en serais pas crue capable, honnêtement, et pourtant, tu es tout de même arrivé jusque-là, et il en aura des fallu, des provocations, pour que tu te permettes de ce dérapage. Alors, oui, cette réponse, ce simple « oui » tu le lui offres, parce que, tu le veux, parce que c’est un vrai besoin, que ça à dépasser le stade d’une envie, et que tu te dis qu’à ce stade, tu vas finir par te rendre malade, complètement dingue. Comment est-il possible de désirer une personne à ce point ? Avant ça, tu ne l’aurais jamais cru, mais c’est un fait, la proximité qu’il instaure, presque systématiquement entre vous, ces derniers temps, est en train de te tuer, et après quatre jours sans le voir, tu n’as plus que l’envie de céder, de lâcher prise, d’ouvrir les vannes.

    Et une fois que tu l’as décidée, tu ne parviens même pas à attendre quelques secondes de plus, le temps de le laisser t’offrir lui-même ce baiser qu’il réclame, non, tu viens le chercher, tu te redresses pour venir à lui, et tu viens même le retenir de tes jambes autour de lui alors que sa main à lui passe dans ta nuque comme pour définitivement t’empêcher de faire marche arrière. Et c’est presque innocent, comme baiser, les premières secondes – on a dit presque – mais, ça ne dure pas, il se fait rapidement plus pressant, il vient chercher ta langue de la sienne, et dans le même temps, tu sens ses doigts qui glissent sur ta peau, démarrent de ton genou pour s’aventurer sur ta cuisse et remonter plus haut encore, emportant avec eux la robe de nuit que tu portes.

    Tu ne regretteras pas. C’est ce qu’il ose venir te répéter, une fois de plus, comme l’autre soir. Et tu sais quoi ? Pour cette fois, tu n’es assurément pas certaine qu’il aura raison. Peut-être qu’en le laissant faire, peut-être qu’en cédant de cette manière, tu t’es condamnée, d’une certaine manière. Il suffit de voir cette sensation de manque, Ana, quatre jours … seras-tu capable de partir, dans trente jours ? A croire que les jeux sont déjà faits, que c’est juste atrocement prévisible.

    Ses lèvres reviennent contre les tiennes, et tu sens ses mains qui remontent, encore, toujours plus, jusqu’à pratiquement complètement remonter ton vêtement si fin, ta peau vient rencontrer la sienne, il est aussi bouillant, fiévreux que tu peux l’être et tu ne peux même pas retenir un soupire quand il te presse plus encore contre lui, et qu’il roule sur le côté en t’emportant avec lui. C’est à ce moment-là, Analynn, que tu comprends ce que tu as fait, d’une certaine façon, quand il t’annonce qu’il ne te lâchera plus, pour commencer, mais aussi, et surtout, lorsqu’il décrète que tu lui appartiens, que tu es à lui, à lui uniquement. Tu ne sais même pas comment prendre ça, ma grande, ça t’effraie, surement, mais tu sais aussi que ça vient de nouveau installer en toi un profond sentiment de … plénitude, de plaisir. Du coup, tu décides de ne rien dire, tu ne veux pas gâcher ce moment, alors même que tu ignores si tu cèderas à nouveau, une autre fois, c’est pour ça que tes mains se posent sur lui et que tu retiens, à ta façon, tout comme il le fait, sans chercher à te dégager, juste pour pouvoir t’endormir ici, au creux de ses bras, ton corps tout contre le sien.
    Analynn Marshall
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 2 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 2 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2917
    Dim 27 Déc - 14:43.
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    Tu pourrais craquer, en vouloir plus et lui en prendre plus que ce baiser qui met déjà bien à mal tes limites, Léandre. Tu pourrais, mais ce n’est pas ce que tu veux sincèrement. Tu ne veux pas la faire fuir parce que ce dérapage est allé trop loin, même si ça n’a rien d’un dérapage pour toi. Tu penses ce que tu as dit Léandre, et tu es assez intelligent pour comprendre ce que ça signifie. D’une façon ou d’une autre, tu as des sentiments pour elle. Des sentiments qui changent bien des choses à vos affaires et à ce qui se passera le mois écoulé.

    En attendant, mon vieux, tu ne fais plus que la serrer tout contre toi, fort, et venir te réfugier contre sa peau, en emmêlant tes jambes aux siennes. Tu ne vas pas plus loin, tu fais juste en sorte qu’elle soit aussi bien installée que toi, et puis, ensuite, tu laisses la fatigue de la mission t’envahir et tu t’endors avec un sourire aux lèvres.

    On ne peut pas vraiment dire que tu rêves, ce n’est pas quelque chose que tu fais habituellement. Disons plutôt que tu t’imprègnes d’elle et de son odeur tout au long de la nuit. Tu ne la relâches pratiquement pas pendant que les heures s’écoulent, et quand elle parvient à t’échapper, dans son sommeil, tu finis inlassablement par revenir te caler contre elle, gardant ta peau au contact de la sienne, comme le plus doux des réconforts.

    Lorsque tu t’éveilles, avec la même fraicheur et soudaineté que tous les autres matins, tu découvres que le soleil est déjà bien haut, filtrant par les volets de ta chambre. Tu n’as probablement jamais dormi autant d’une seul traite, Léandre, mais tu ne t’en inquiètes pas. Tu reposes sur le dos, la jeune femme dans tes bras, appuyée à même ton bras. Pendant de longs instants, tu l’observes, avec un sourire tendre sur les lèvres, jusqu’à te décider de la réveiller.

    Et tu vois, mon grand, tu as oublié de lui préciser quelque chose hier. Ce ‘oui’, que tu lui as demandé, ce n’était pas sur le coup, pour ce baiser en particulier. En faite, pour toi, c’est un oui illimité, que tu pourras utiliser jusqu’à bon te semble, ne la forçant plus à devoir te le redire et ne prenant pas le risque qu’elle refuse dans l’avenir. Alors oui, tu bouges, juste de manière à pouvoir venir effleurer ses lèvres des tiennes. Une fois. Tu recommences, encore une fois. Avant de lui offrir un baiser bien plus prononcé, avec un air bien trop content.

    « Il est l’heure de se réveiller, mademoiselle Analynn. Que tu murmures, et caressant ses cheveux. Je dois encore t’amener au restaurant pour Noël. »

    Parce que ça non plus, tu ne l’as pas oublié, tu vois.
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 2 Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3376
    Dim 27 Déc - 16:26.
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    Tu l’aurais presque bien imaginé, à vouloir en prendre plus. Et c’est là qu’on se rend compte, Analynn, que le souci dans toute cette histoire, réside encore et toujours dans le fait que tu n’as probablement pas encore accorder toute ta confiance à cet homme, quand bien même tu te sens attirée dans sa direction. Tu ne peux pas empêcher une partie de ton cerveau de te dire que, peut-être, tu te sens attirée par un danger potentiel. C’est comme ça, Analynn, tu ne sais pas ce qu’il a en tête, tu ne sais pas ce qu’il pense de toi, et il est évident que tu as … oui, probablement des sentiments, pour Léandre, mais, tu restes en partie convaincue qu’oublier, et tout mettre de côté, pourrait être une erreur.

    Il te surprend une nouvelle fois, cependant, parce qu’il ne vient assurément pas réclamer, ou prendre plus, à partir du moment où tu te retrouves tout contre lui. Tout comme toi, il se laisse absorbé par la fatigue, il sombre dans le sommeil, et pendant les heures qui suivent, il n’y a pratiquement pas un moment durant lequel tu te retrouves seul, sans son corps contre le tien sous les draps.

    Ce sont ses lèvres qui viennent t’éveiller, tout doucement. Des baisers, déposés contre ta bouche, et puis un dernier, auquel tu t’accroches, un baiser que tu viens lui rendre sans même y penser, comme s’il s’agissait de la normalité désormais. Décidemment, votre relation est étrange, tu ne trouves pas ? Deux personnes qui se touchent de cette manière. Qui passent la nuit, l’un contre l’autre, à moitié nus, qui s’embrassent, mais qui ne sont pour autant pas un couple, ou rien qui pourrait s’y apparenter. Y’a-t-il quelque part un mot qui pusse définir une telle relation, si étrange, finalement ? Si tel est le cas, pour l’instant, tu ne le trouves pas.

    « Tu veux faire ça ce soir ? » Tu demandes, finalement, lorsqu’il évoque à nouveau ce repas, pour l’occasion des fêtes de Noël, qu’il avait parlé de partager avec toi, dans un restaurant. Il t’a même forcé la main, pour te trouver une robe, spécialement pour l’occasion. Une robe magnifique, d’ailleurs, qui trône, accrochée dans ta chambre. Une pièce d’un rouge exceptionnel, taillée dans des étoffes délicates, fines. Elle te va comme un gant, comme si elle avait été faite pour toi, ne cachant que ce qu’elle a à cacher de ton corps, dévoilant ce qui semble être, lorsque tu la portes, ce qui te mets le plus en valeur. A la base, tu n’étais pas spécialement d’accord pour ce genre de sortie … et puis finalement, tu as commencé à te dire que ça ne te ferait pas de mal, de sortir, pour profiter d’une agréable soirée à l’extérieur, sans craindre quoi que ce soit.

    Tu te redresses dans le lit, ajustant un peu ta robe de nuit, alors même qu’il l’a comme … maintenue relevée au maximum toute la nuit. « Ça me va… » Tu lui glisses, sortant finalement tes jambes nues des draps. « La robe attends sagement dans ma chambre d’être portée, après tout. » Et honnêtement, tu l’avoues, il serait dommage qu’elle ne serve pas, tant tu la trouves toi-même particulièrement belle.
    Analynn Marshall
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 2 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 2 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2917
    Dim 27 Déc - 17:16.
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    Bien entendu que tu viens lui voler un baiser, enfin plutôt 3 même. Tu considères ce droit comme entièrement gagné, sans limite et sans fin Léandre, et tu agiras donc comme tel maintenant. C’est là toute la particularité de ta manière d’être. Quand on te donne, Léandre, tu n’as pas peur de prendre, sans te cacher sous des ronds de jambes, des hésitations ou des remerciement. Tu es comme ça dans l’armée, avec ta famille et tu le seras avec elle. Tant et si bien que, si elle avait oui à ta proposition saugrenue de l’épousé, il y a une semaine, tu l’aurais déjà fait, sans hésiter.

    En attendant, mon grand, tu te retrouves avec un baiser en réponse au tien et tu ne peux pas t’empêcher de refermer tes bras sur elle, pour la tenir contre toi, parce que sentir sa peau contre la tienne t’est étrangement vital. Tu finis quand même par la laisser s’échapper, remettre correctement ses vêtement pour ta plus grande frustration et tu lui offres un sourire calme en l’entendant parler de la robe que tu lui as offert.

    « Ce soir oui, j’aime les diners aux chandelles. Voilà que tu lui livres un peu de toi, sans crainte. Je n’ai qu’une hâte, c’est de te voir dedans. »

    ¤ ¤ ¤


    Au final, Léandre, tu as passé une journée aussi douce qu’agréable. Un brunch pour la fin de matinée et le repas du midi en sa compagnie, puis tu lui as proposé une petite promenade, pour le simple plaisir de te montrer avec une si jolie femme à ton bras. Quand vous êtes revenus à la maison, tu as fini par devoir te pencher sur tout un tas de paperasse pour tes rapports, mais si habituellement tu le fais dans ton bureau, au calme, tu es venu te poser à ses côtés dans le canapé pour avoir ce plaisir de la sentir près de toi.

    Ce n’est qu’en voyant le jour largement décliné que tu as rejeté ton travail. L’attirant à toi, tu lui as volé un baiser, et profiter de gagner ça pour la soulever dans tes bras, contre ton torse. Avec un sourire plutôt fier de toi (il en faut peu finalement), tu as traversé la maison avant de l’emporter dans sa chambre où la robe rouge te tire le même grognement satisfait. Un excellent choix, clairement. C’est sur son lit que tu la déposes.

    « Je t’aide à l’enfiler ? Tu lui proposes, en venant t’asseoir à côté d’elle, une main dans ses cheveux, parce que ça aussi, ça devient une habitude. Je n’ai pas envie d’attendre plus longtemps. Je me changerai après et nous nous mettrons en route ! »

    Et tu vois, tu devrais vraiment la laisser tranquille, lui laisser de l’air, te comporter avec plus de retenue, mais tu finis invariablement, par revenir glisser vers elle, te pencher vers son visage et tenter de l’embrasser encore une fois. Pour toutes les fois, de tous les jours précédents, où tu n’as pas pu assouvir ce besoin.
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 2 Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3376
    Dim 27 Déc - 18:47.
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    La journée passe, pas trop vite, pas trop lentement non plus, c’est ce que tu aurais tendance à appeler une journée parfaite, toi, de celles durant lesquelles on ne s’ennuie pas, de celles durant lesquelles on prend le temps d’apprécier les bonnes choses, sans pour autant filer à la vitesse de la lumière pour te le faire regretter lorsqu’elle s’achève. D’ailleurs, elle n’est pas terminée, la soirée pointe lentement le bout de son nez, et après une ballade dans le Centrum, et un moment durant lequel tu es simplement restée assise dans le grand canapé, appuyée contre Léandre, un livre entre les mains tandis qu’il travaillait, voilà que le Major semble décidé qu’il est temps pour vous deux de bouger à nouveau, de sortir, et d’aller profiter de la soirée, comme c’est donc prévu depuis ce matin.

    Soudainement, Analynn, ton livre s’est retrouvé au sol, tandis que tu te retrouvais attirée dans ses bras, un nouveau baiser volé, et le voilà qui, encore une fois, te soulèves et t’emportes jusqu’à l’étage, jusqu’à ta chambre, même, plus précisément, pour te déposer sur le lit où il vient immédiatement te rejoindre. Maintenant, il a l’air pressé, pressé que tu enfiles cette robe, pressé que vous puissiez vous mettre en route pour ce fameux dîner, et par la même occasion, alors qu’il va jusqu’à te proposer de t’aider à enfiler ton vêtement, il revient à toi, et ses lèvres trouvent de nouveau les tiennes. Tu es, pour cette fois, littéralement dans l’obligation de le repousser, doucement, non parce que tu veux te remettre à le fuir, mais parce que tu sais que si tu laisses faire, vous ne serez très probablement pas partis d’ici une heure, voir deux.

    « Je devrais pouvoir en être capable. » Tu annonces, alors que tu te lèves de ton lit, et que tu fais quelques pas jusqu’au grand paravent sur lequel la robe a été accrochée pour éviter qu’elle ne soit abimée, ou froissée. Tes doigts viennent effleurer le tissu très léger de cette dernière, tu tires légèrement sur l’étoffe de la longue jupe, avant de la décrocher, pour la mettre devant toi, et t’observer dans un miroir. Clairement, ça ne lui rend assurément pas justice. Elle est légère. Le bas est doublé, le haut, lui, est bien plus fin. Le dos est pratiquement à nu, quelques volants sont là pour cacher la poitrine, juste en dessous, la dentelle laisse la peau délicatement apparente. « Attends-moi. »

    Tu finis par te glisser, derrière le paravent, accrochant de nouveau la robe de ce côté, tu te défais de tout ce que tu portes actuellement, avant de venir enfiler ta robe. Tu viens placer les bretelles correctement, l’ajuste plus ou moins correctement sur ta poitrine, néanmoins, malgré tes efforts, tu ne parviens par à refermer la seule et unique agrafe qui retiens l’ensemble dans ton dos. C’est pour ça que tu finis par sortir de là, par te placer dans ce qu’il reste de lumière, au centre de la chambre pour offrir la vue sur ton dos. « Tu penses que tu peux … me la fermer ? » Tu demandes, en dégageant tes cheveux pour lui laisser le champ libre.
    Analynn Marshall
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 2 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 2 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2917
    Dim 27 Déc - 20:36.
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    Tu n’as pas envie de la laisser, pas envie de t’écarter, pas envie ne serait-ce que détourner ton regard d’elle. Ca en fait, des choses qui te déplaisent, Léandre, et c’est bien parce qu’il y en a autant, ou qu’elles sont si fortes, que tu décides de ne pas agir comme tu le devrais si tu étais bien élevé. Tu l’entraines dans sa chambre mais tu n’en ressors pas. Et bien entendu, tu reviens lui prendre ce baiser, autant que tu le lui offres, puisqu’elle ne te le refuse pas. C’est elle qui finit tout de même par s’échapper de tes bras et tu affiches pendant quelques instants, une tête clairement mécontente, avant de soupirer.

    « Vas-y, mais ne met pas trop de temps. »

    Tu es toutefois bien incapable d’attendre, Léandre. Alors tu finis par te lever pendant qu’elle se glisse derrière le paravent. Et oui, tu y glisses un œil, l’air de rien, parce qu’elle a voulu te voler ce spectacle que tu voulais voir. Ca te plait, de la voir enfiler sa robe, plus encore que d’apercevoir sa nudité quand elle bouge. Et quand tu la vois tenter de refermer la robe, tu fais un pas en arrière, pour reprendre une fausse attente près du lit, comme un garçon sage. Sauf que tu n’es absolument pas de ce bois-là

    « Ca doit être dans mes cordes, oui. Tu ricanes à sa remarque. Ca et tuer des titans, ça me semble complètement complémentaires. »

    Tu te glisses dans son dos, sans attendre, et tes mains glissent contre sa peau quelques instants avant de finir de fermer la robe qui est certes magnifique, mais qui prend tout son sens sur elle. D’ailleurs, tu ne la laisses pas s’enfuir quand tu termines ta tâche. Au contraire, tu passes tes bras autour de sa taille et tu viens coller son dos à ton torse, avant de plonger le nez dans ses cheveux, en l’observant de ta hauteur.

    « Elle te va remarquablement bien, c’était un bon choix. Tu glisses à son oreille, avant que tes lèvres se posent contre son cou, et ne glissent sur son épaule. Je n’arrive plus à détourner mes yeux de toi. »

    Tu ne forces pourtant pas les choses, et quand tu la relâches, c’est simplement pour la faire tourner devant toi, appréciant autant la robe que la femme qui la porte. Et quand tu en termines de la dévorer du regard, tu te mets en route pour ta chambre, laissant toutes les portes ouvertes comme une invitation, avant de récupérer un costume gris perle, sur mesure et de très bonne facture que tu poses sur le lit, avant de retirer tes vêtements sans une once de gêne, et enfiler le pantalon à pince, puis attraper ta chemise, et te retourner pour voir si elle s’est enfuie ou si elle aussi en profite, comme tu as pu le faire avant.
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
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    Dim 27 Déc - 22:04.
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    Tu ne l’imaginais pas forcément si légère, cette robe, Analynn, le fait est que, lorsque tu l’enfiles, tu as littéralement l’impression d’être nue, en te déplaçant, tant le tissu qui la compose est léger, doux, et agréable, aussi. Certains – ta mère, par exemple – te ferais surement remarquer qu’elle ne couvre finalement pas grand-chose, toi, tu estimes que c’est suffisant, tant que certaines parties de ton anatomie restent bien à l’abri des regards indiscrets. C’est d’ailleurs sans doute à cause du fait qu’elle te paraissait déjà bien légère, que tu estimes, dans un premier temps, pouvoir te débrouiller seule avec elle, derrière ton paravent. Néanmoins, tu finis par te résoudre à en sortir, pour exposer ton dos nu et demander l’assistance de Léandre pour accrocher correctement l’agrafe.

    Il est bien évident que l’homme ne s’arrête pas à simplement fermer ta robe. Non. Tu sens ses doigts, sur ta peau, et une fois le vêtement bien accroché, ce sont ses bras qui finissent une nouvelle fois par se refermer sur toi. « Forcément, c’était en grande partie le tien … » Tu l’as approuvé, c’est un fait. Tu l’aimais aussi, cette robe, mais il est le premier à avoir jeter son dévolu dessus, alors, tu ne doutes pas une seconde qu’elle lui plaise. « Il va pourtant bien falloir, n’as-tu pas quelque chose à enfiler avant qu’on ne puisse sortir ? » Tu le connais assez, désormais, pour savoir qu’il ne t’accompagnera pas dans la tenue si simple qu’il porte actuellement. C’est lui, après tout, qui a insisté pour cette robe, et imposé par la même occasion le degré d’élégance de la soirée. Remarquons, Analynn, à quel point tu es désormais bien plus détendue, lorsqu’il vient à toi, te touches, et se permets même de poser ses lèvres sur toi. Tu ne fuis plus, ce qui n’est sans doute pas sans l’arranger, et par-dessus tout, tu as visiblement cessé de te sentir … brutalement sur les nerfs, à chaque fois qu’il ose t’approcher.

    Il finit par quitter ta chambre, te laissant seule, un instant, tu prends le temps de terminer de t’arranger, avant de finalement sortir, à ton tour, t’apprêtant à longer le couloir pour ensuite descendre l’attendre en bas. Néanmoins, la porte de ses propres quartiers étant grande ouverte, tu viens prendre appui, d’une épaule, contre le chambranle de cette dernière. Il a déjà eu le temps d’enfiler un pantalon, alors, ton regard se contente de glisser sur son dos dont les muscles sont saillants, tu te prends à en tracer la forme, durant quelques secondes, avant qu’il ne te prenne sur le fait. « Je suis prête ! » Que tu lances, l’air de rien, en faisant deux pas dans la pièce, pour l’approcher, sans toutefois jouer son jeu en venant te coller contre lui. Disons simplement, Analynn, que ses automatismes ne sont pas les tiens, ou pas encore, et que contrairement à lui, tu parviens encore à certains moments, à conserver la distance. « Tu veux que j’attendes en bas ? »
    Analynn Marshall
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    Lun 28 Déc - 20:35.
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    Tu grognes à moitié, parce qu’elle a raison, il te faudrait maintenant te mettre en route pour ta chambre et te changer, mais quand elle te laisse te tenir comme elle le fait là, tu as juste envie d’oublier ce dîner et profitez d’elle, de sa présence et de ce qu’elle t’offre sans le savoir… Il n’empêche que tu te remets finalement à bouger quand il le faut. Tu y vas en soupirant, sans ne rien répondre à ses remarques, et tu laisses tout ouvert derrière toi, parce que tu n’as aucune raison de l’empêcher de te suivre, alors que tu t’es imposé près d’elle.

    C’est après avoir enfilé ton pantalon, et en glissant tes bras dans ta chemise que tu te retournes pour la découvrir dans l’encadrure de la porte. Ton sourire revient jouer sur tes lèvres, et tu vois, tu voudrais la voir venir vers toi, sauf que ce n’est pas visiblement pas son idée, te tirant une moue clairement mécontente.

    « Non, je veux que tu restes avec moi. Que tu réponds sans aucune gêne. Tu n’as qu’à m’aider à boutonner ma chemise ! »

    En faite, Léandre, tu ne lui laisses même pas le choix d’accepter ou de fuir. Tu vas vers elle, tu l’attires dans ta chambre avant de mener ses mains sur ta chemise, en l’observant avec un sérieux à faire peur. Tu es intenable, tu es incorrigible, mais au moins, pour le moment, tu te dis que tu le fais pour la bonne cause. Si tu veux qu’elle reste, il te faut bien la convaincre par tous les moyens possible.

    Au final, il te faut un peu plus de temps que prévu, mais tu finis par passer une cravate que tu noues d’une main de maitre, puis la veste accordée avec ton pantalon. D’une main, tu repousses tes cheveux courts en place, et c’est en venant prendre sa main que tu la mènes jusqu’à l’entrée. Tu prends le temps d’enfiler des chaussures parfaitement cirée, avant de venir galamment glisser le manteau d’Analynn sur ses épaules, en l’effleurant. Tu enfiles tes propres vêtements pour sortir avant de lui ouvrir la porte et refermer derrière elle.

    Ce n’est qu’une fois debout dans le froid et la nuit tombante, devant chez toi, que tu ne reviens lui offrir ce sourire dont tu as le secret. Tu le tends ton bras, pour qu’elle puisse s’y accrocher et tes yeux glissent encore une fois sur elle.

    « Je suis fier d’avoir une si belle femme à mon bras. Tu n’as pas trop froid ? On peut y aller ? »
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 2 Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3376
    Lun 28 Déc - 22:50.
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    Pourquoi as-tu posé la question, déjà ? Bon sang, Analynn, tu aurais dû avoir la réponse bien avant d’avoir ouvert la bouche. Comme s’il allait simplement te laisser descendre, seule, pendant qu’il est en train de se changer ? S’il a laissé la porte de ses quartiers grande ouverte, c’est qu’il y a une raison à cela, c’était probablement une espèce d’invitation à laquelle tu n’as qu’en partie répondue. Et tu le comprends, à cette moue, qui vient s’inscrire dans ses traits, l’espace d’un instant, avant qu’il ne te dise simplement de rester. Tu n’as même pas la possibilité de refuser, vois-tu, il approche, vient chercher tes mains, et les ramène direction à sa chemise grande ouverte. Un enfant. Voilà ce que tu as l’impression de voir, face à toi, ces derniers temps. Entre les moments où il marchande. Ceux où il semble faire un immense caprice. Ceux où il renchérit dans la bêtise, ou encore, ceux, comme maintenant, où il semble mécontent, et s’impose, se montre pour capter ton regard et ton attention.

    Tu ne te débâteras évidemment pas avec ça. A quoi bon ? Ce n’est pas comme s’il était entièrement nu, après tout, bien au contraire. Tu actives donc tes doigts, lentement, mais surement, pour accrocher les boutons de la douce chemise, et une fois fait, tu te recules pour laisser le champ libre afin d’enfiler ce qu’il lui reste à mettre. Ensuite ? Tout se passe bien vite, comme s’il essayer de rattraper le temps que vous avez possiblement perdu, il t’entraîne en bas, jusqu’à la porte, dépose ton manteau sur tes épaules, alors que tu enfiles tes chaussures, et une fois prêts, tous les deux, vous voilà à l’extérieur. Et bon sang, tu la sens immédiatement, la différence de température, Analynn. La maison est chaude en permanence, tandis que l’extérieur, lui, te sembles brutalement glacial. Il faut dire que la robe que tu portes est fine et légère, et malgré l’épais manteau qui est le tien, le vent froid vient caresser tes jambes de façon très désagréable, si bien que tu ne peux retenir un gros frisson en t’accrochant au bras de Léandre, sans attendre, comme si tu venais chercher un peu de sa chaleur. « Allons-y, plus vite nous serons à l’intérieur et mieux ce sera. »

    Et tu viens littéralement te coller le plus possible contre lui, pour lutter contre les basses températures de l’hiver. Tu te laisses guider, à travers les rues du Centrum, sans même réfléchir, pour une fois, au fait de savoir si tu ne t’éloignes pas trop, et si tu vas réussir à retrouver ton chemin. Peu à peu, tu te fais à Widerstand, c’est vrai, mais il est évident que ce n’est pas encore comme si tu étais complètement chez toi. Tu te sens encore en territoire inconnu. « Alors, où est-ce qu’on va, exactement ? Tu ne m’as toujours rien dit. »
    Analynn Marshall
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 2 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 2 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2917
    Lun 28 Déc - 23:42.
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    Un plaisir, Léandre, vraiment. Tu prends chaque opportunité qui se présente et tu en fais ton plaisir. Celui de la voir venir vers toi. Celui de pouvoir la regarder en détail. Celui de pouvoir te noyer dans son odeur ou te repaître de ses lèvres. Alors oui, tu fais un caprice, tu te comportes comme un gamin et tes parents seraient outré de te voir comme ça, mais toi tu connais la règle : “tous les coups sont permis !”. C’est ce que tu as décidé, quand tu as pris peur qu’elle ne soit partie.

    En attendant, vous finissez quand même par sortir de la maison et tu te retrouves face au froid extérieur avec un léger frisson. Fort heureusement pour toi, tu es plutôt bien couvert, ce qui n’est pas tout à fait son cas à elle. Et tu vois, quand elle vient prendre ton bras en frissonnant, tu as ce mouvement pour tenter de la préserver au mieux du froid, même si, concrètement, ça ne servira pas à grand-chose.

    « Promis, nous serons bien au chaud et installé une fois là-bas. »

    Tu t’empresses de te mettre en route, en oubliant complètement de regarder autour de toi. Ca, c’est vraiment différent de d’habitude, parce que tu sais que ta vie pourrait rapidement être menacé Léandre. Ceci dit, avec Ana à ton bras, c’est à elle que tu songes, c’est vers elle que tu regardes. Et au final, tu ne te rends même pas compte qu’il peut y avoir du bruit autour de vous ou que vous croisez, ou non des gens.

    « Hm ? Du côté de chez mes parents, ce n’est pas très loin. Tu l’observes, en te doutant de ce qu’elle va croire. Dans un restaurant que j’affectionne tout particulièrement, très petit, très délicat et absolument romantique. »

    Et tu ne peux pas t’empêcher de lui offrir un grand sourire à cette réponse, parce que tu as bien prévu ton coup, Léandre. C’est l’endroit des amoureux, ce restaurant… ou plutôt de ceux qui peuvent se le payer. Tu as réservé la meilleure table du petit lieu, tu as demandé le meilleur repas et en plus, tu y as fait livrer des roses rouges, juste pour parfaire l’effet.

    « Je me suis dit que ça serait un endroit agréable pour parler plus sérieusement… de la suite. »

    Et quelle suite hein. Dans tes prévisions, ça finit avec elle chez toi, et qui porte ton nom, rien que ça.
    Léandre A. Stellaa

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