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    Sam 26 Déc - 19:50.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t102-ce-sont-des-choses-qu
    Quatrième jour. Troisième nuit. Etrangement, tu as compté, juste parce qu’il était là, durant des jours, pour finalement disparaitre autant de temps qu’il en aura passé à la maison. Evidemment, si on te le demandes, tu diras que tu t’en fiches, et que c’est son problème, sauf que tu te rends compte à quel point ça passe vite, trente jours, et à la fois, ces derniers jours t’ont paru atrocement longs, sans que tu ne puisses parvenir à réellement te changer les idées. Au départ, tu avais un comportement complètement normal, tu t’es arrangée avec les domestiques de Léandre, pour que les repas soient moins conséquents, et forcément, ils étaient déjà au courant, par avance, que tu serais seule.

    Tu as essayé de penser à autre chose. Tu as essayé de faire des petites choses, à droite, à gauche. Tu es sortie, et ça n’a pas duré plus d’une heure à chaque fois. Pour couronner le tout, la première nuit, tu as mal dormi. Tu ne sais pas bien pourquoi d’ailleurs, tu n’as pas réussi à trouver le sommeil immédiatement, puis quand il est venu, il n’a clairement pas été assez profond pour te permettre de faire une nuit complète, tu t’es éveillée à plusieurs reprises, et au petit matin, tu te sentais épuisée. La seconde nuit a été la même, c’était comme si tu ne te sentais pas à ta place, alors même que tu n’avais jamais eu de soucis pour dormir dans cette chambre. C’est à partir de la troisième nuit, que tu t’es décidée à tenter une expérience … seule dans la maison, tard, en début de nuit, tu es entrée dans sa chambre au lieu de rejoindre la tienne, tu t’es glissée dans ses draps, et à ta grande surprise, tu t’es endormie sans la moindre difficulté.

    C’est bien pour ça, Analynn, que ce soir, tu fais la même chose. Tu ne sais pas quand il va finir par rentrer, mais ce soir, il n’est pas revenu, alors, tu t’es dis que tu pouvais recommencer. Dans ta robe nuit – provenant de la bien trop grande quantité de vêtement que tu possèdes, bien à toi, désormais dans cette maison – tu t’es de nouveau glissé dans son lit à lui, ta tête sur son oreiller, blottie au beau milieu des draps, tu t’es laissée envahir par la douce chaleur ressentie lorsque l’on se glisse dans un lit dans lequel on se sent bien, et puis, tu as fermé les yeux, et tu t’es endormie, paisiblement, en quelques minutes seulement …
    Analynn Marshall
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2893
    Sam 26 Déc - 20:17.
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    Quand tu passes la porte de chez toi, Léandre, la nuit est déjà bien entamée et pourtant, tu ressens ce drôle de truc au fond de toi. De la fatigue, de l’envie, une pointe de crainte et beaucoup de questions. Tu ne rentres jamais aussi tard après une excursion dehors, c’est pour ça que personne ne t’attendait pour s’occuper de Kimaira et que tu l’as fait toi-même. Il faut dire que lorsque tu rentres aussi tard, tu passes souvent la nuit au QG, à t’occuper des affaires courantes et à écrire tes rapports pour le Ministre. Tu t’arranges pour rentrer le lendemain matin et passer une jour au calme avec toi-même. Ce qui diffère de d’habitude, Léandre, c’est que tu n’es plus seul chez toi, et que si tu n’en as pas pipé mot durant ces 4 jours dehors, tu n’avais qu’une envie : rentrer. Comme si les 3 jours que tu avais passé avec Analynn ne t’avait pas suffi.

    En silence, tu refermes la maison à clé et tu te débarrasses de tes chaussures et de ta veste en regardant un peu partout autour de toi. Tu ne vois pas ta maison comme elle l’est habituellement, mais tous les petits changements qui a opéré la jeune femme sans les voir. Cette habitude de débarrasser sa vaisselle dans l’évier. Ses chaussures rangée dans le hall. Des traces d’elle qui te donne l’impression de vivre dans une maison habitée et qui te tire un sourire doux sur un visage fatigué.

    Tu n’as pas envie de la réveiller alors qu’elle doit dormir à cette heure-ci, et même si toute ta personne tend ne serait-ce qu’à vérifier qu’elle est toujours là, tu grimpes en silence à l’étage pour aller directement à ta chambre. Tu as la main sur la lumière, prêt à t’éclairer pour te débarrasser de tes affaires quand tu remarques la masse dans ton lit. Et franchement Léandre, ce n’est plus une victoire à ce niveau, c’est juste une joie pure. Tu retires ta veste militaire, ta chemise dans un coin. Ton pantalon finit rapidement au même endroit et lentement, tu viens jusqu’à lit.

    Tu as toutes les peines du monde à détourner tes yeux d’elle, qui dort comme un bienheureux, pour parvenir à te glisser entre les draps sans faire de bruit ou de mouvements brusques. Lorsque tu y parviens, tu sais que tu ne résisteras pas bien longtemps, alors tu glisses vers elle, dans ce nid de chaleur qu’elle a fait sur ton matelas, et tout doucement, tu viens refermer tes bras sur elle, allant jusqu’à nicher ton nez contre sa joue, en grognant de plaisir.

    « Je savais que je ne me trompais pas… Tu souffles pour toi-même, alors que tu viens poser tes lèvres contre sa peau, comme un cadeau à toi-même pour être revenu en vie jusqu’ici. »
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3352
    Sam 26 Déc - 20:37.
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    Tu as sombré dans le sommeil depuis déjà plusieurs heures, quand il rentre à la maison. Et bien sûr, Analynn, tu n’entends rien. D’ordinaire, même d’en haut, tu entends la clé, dans la porte, puis le grincement caractéristique. Il y a même des moments où tu parviens à reconnaître les sabots du bel étalon, devant la maison, mais là, tu dors tout simplement à poings fermés, alors, il a tout le loisir d’entrer, de monter … et probablement qu’il ne s’attends pas à te trouver là, tout simplement parce que si tu avais su qu’il allait rentrer, tu serais allée dormir dans ta chambre, en bravant la malédiction du sommeil qui semble s’y être installée depuis des jours.

    Il te surprend donc, dans son propre lit, tu n’as pas bougé, même lorsqu’il est entré dans la pièce, tu n’as rien entendu, tu n’as pas non plus capté les bruissements de tissu, pendant qu’il retirait ses vêtements, et pour finir, tu n’as pas senti le matelas, et draps bouger, quand il s’est glissé à tes côtés. La vérité, Ana, c’est que tu restes encore quelques minutes, dans ton sommeil, et c’est uniquement quand tu sens sa peau, bien plus froide que la tienne, entrer en contact avec ton corps que tu ouvres presque subitement les yeux. Ses lèvres laissent un sillon brûlant sur toi, tandis que tu le sens, contre ta joue, et tu sais quoi ? Tu ne dis rien, tu ne bronches pas. Il est là, il est venu contre toi, il te touche, mais tu ne bouges pas. Tu le laisses faire, Analynn, sans montrer que tu es éveillée, sans lui donner l’occasion de venir te dire que tu as laissé faire, tu continues simplement de lui faire croire que tu dors. Ça t’empêche d’en prendre plus, certes, mais ça te laisse profiter de son contact et … bon sang, tu pourrais presque te mettre à ronronner, tant tu te sens atrocement bien.
    Analynn Marshall
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2893
    Sam 26 Déc - 20:46.
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    Tu te sens enfin bien, à ta place, là où tu voulais revenir depuis quatre longs jours. Ca ne t’était jamais arrivé avant ça, Léandre. Tu es plutôt du genre à sortir en expédition sans regret, revenir sans joie particulière. Mais pas là, et ça devrait déjà t’inquiéter non ? Parce qu’Analynn a pris une place particulière pour toi, dans ta maison. Si elle choisit de partir à la fin de ce mois qu’elle t’a offert, tu ne vas pas bien le vivre. Pas du tout.

    Et c’est peut-être parce que tu as cette pensée, à moins que ce ne soit juste parce que tu adores pouvoir l’avoir contre toi, que tu traverses le lit, sous la couverture, pour venir la prendre dans tes bras. Tu glisses ton nez contre sa peau, tu poses tes lèvres contre elle, et tu pourrais juste te caler comme il faut et t’endormir là, en bienheureux. Tu pourrais oui, mais Léandre, te revient de l’extérieur, où tous tes sens sont utilisés à 100%. Tu es bien trop sensible à tout ce qui t’entoure, encore maintenant, alors quand tu sens le changement dans son cœur qui résonne contre toi et dans son souffle, tu comprends.

    C’est en feignant de ne pas t’en être rendu compte que tu attends quelques instants pour savoir si elle va s’enfuir. Et quand tu comprends qu’elle ne bougera pas, ta main glisse de son dos pour venir caresser doucement sa joue. Tu glisses deux doigts sous son menton, relever son visage vers toi, et tu viens glisser ton nez contre le sien, jusqu’à entremêler vos souffles.

    « Est-ce que ça veut dire que je peux t’embrasser ? Tu finis par lui souffler, tout doucement en l’observant avec un sérieux étrange. Je sais que tu ne dors plus, Ana. »

    Et tu vois, tu as encore cette retenue, ou plutôt cette décence, vis-à-vis d’elle. Tu veux reprendre ce baiser depuis des jours, mais tu ne le feras pas sans son accord. D’abord parce que tu es bien élevé (ou presque) et ensuite parce que tu te dis que ça lui fera ouvrir les yeux une bonne fois pour toute. Ceci dit, tu n’es pas vraiment capable d’attendre en silence, alors que tu es obnubilé par ses lèvres, tu finis donc par rouvrir la bouche, pour lui offrir ta vérité à toi.

    « Tu m’as manqué. Je n’ai pas cessé de pensé au moment où je rentrerai… Et je suis content de te trouver ici. »
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
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    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3352
    Sam 26 Déc - 21:10.
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    Tu finiras par t’endormir à nouveau. Tu le sais. Ça viendra. En attendant, tu gardes simplement les yeux clos, tu ne bouges pas, tu laisses ton corps parfaitement détendu, pour continuer de faire croire que tu dors, et finalement, c’est peut-être aussi une manière pour toi de tester, de voir jusqu’où il est capable d’aller. Il est bien évident que si quelque chose te déplait, à un moment, tu le lui feras savoir, mais pour l’heure, tu ne fais que profiter de son contact, en te disant qu’il ne pourra même pas te faire de remarque à ce sujet. Le souci, c’est que, si tu gardes les yeux bien fermés, oui, tu ne peux pas empêcher ton corps de réagir à lui … ton cœur s’est accéléré, en le sentant te toucher de cette manière, ton souffle se fait probablement un peu plus saccader, et c’est ça, qui te perds.

    Tu ne peux décidemment rien lui cacher, ma grande. C’est un fait. Et alors qu’il s’approche, que tu sens sa main bouger, pour revenir relever ton visage, tu t’imagines, durant un instant, qu’il va t’embrasser. Tu entends sa voix … et finalement, rien. Il s’arrête, pour te faire savoir qu’il sait parfaitement que tu ne dors pas, alors, lentement, face à lui, tu ouvres les yeux, Analynn, probablement bien déçue d’avoir échouée une nouvelle fois à te cacher. Et puis, surtout, il vient de te trouver dans son lit. Quelle bonne excuse pourrais-tu trouver pour ça, si ce n’est la vérité, si évidente ?

    Forcément, il ne tarde pas à te le faire savoir, qu’il est satisfait. Tu lui as manqué, c’est ce qu’il ajoute, et c’est probablement la même chose de ton côté, compte tenu du fait que tu t’es installé dans sa chambre, pour la nuit, pour deux nuits de suite, même. « Tu es froid … » Que tu lui fais simplement remarquer, en ce qui te concernes. Il vient de l’extérieur, forcément, et toi, ton corps est dans la chaleur depuis des heures, alors, la différence est notable. Pour autant, cette fois, tu ne cherches pas à reculer, en vérité, Analynn, tu reviens faire tout l’inverse, bien consciente cette fois de ce que tu es en train de faire, tu passes tes bras autour de son cou, et tu viens coller ton corps contre le sien, comme si le frisson que provoquait votre différence de température te semblais … plaisant. Et c’est le cas, vois-tu, peut-être parce que tu sais que c’est éphémère, et que ta proximité va finir par le réchauffer.

    « Je ne veux rien entendre … » Voilà ce que tu souffles, tout contre lui, tout près de son oreille, alors que tu l’as littéralement pris en otage, maintenant. « Pour une fois, contentes toi de te taire. »
    Analynn Marshall
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    Sam 26 Déc - 21:22.
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    Tu attends, après avoir parlé, parce que tu ne sais pas si tu peux aller plus loin. Enfin… Tu sais parfaitement que c’est ce que tu veux, Léandre, il n’y a plus de doute là-dessus depuis des jours, mais tu veux qu’elle accepte. Et encore une fois, elle agit à la perfection pour te frustrer. Elle ouvre les yeux et toi, tu as l’impression que le monde se résume a ses iris avant de détourner la conversation pour te faire remarquer que tu es froid. Tu viens de l’extérieur, il gèle dehors et tu as passé 4 jours dans un camp de fortune, alors ça ne t’étonne pas des masses.

    Le truc, tu vois, c’est que ton regard à un éclair de colère ou au moins d’un profond mécontentement, elle se remet à bouger non pas pour t’échapper. Au contraire, en faite. Elle vient contre toi, et bientôt tout son corps chaud se colle contre le tien, déclenchant des frissons agréables Léandre. Tu la sens jusqu’à oser mettre sa tête contre toi, et quand sa voix brûlante résonne à ton oreille, tu comprends que tu en as juste marre. Marre d’être sage. Marre qu’elle refuse d’ouvrir les yeux. Marre de ne pas être complètement vainqueur Léandre.

    Tu l’attires soudainement contre toi, la pressant fort contre ta peau, comme si tu voulais lui voler sa chaleur et uniquement ça. Le truc, tu vois, c’est que tu viens de décider d’en avoir marre et donc pour cette raison, tu vas te venger Léandre. Tu ne dis rien, sur ça, tu es bien capable de lui donner ce qu’elle veut. Par contre, tu bouges et quand tu la repousses sur le matelas, que tu la bloques de ton propre corps, tes yeux brillent de cette frustration qu’elle vient de t’infliger.

    Tu es infecte, mais au moins tu auras ce que tu veux, ou en partie tout de moins. Tu repousses ses cheveux, alors que tu te tiens au-dessus d’elle d’un appui sûr sur un de tes bras. Tu reviens vers elle, et si tes lèvres se posent contre elle, c’est sur son front. Sauf que tu ne t’arrêtes pas là. Tu glisses à sa joue, l’honorant de la même douceur. Ton nez continue son chemin, glissant contre sa mâchoire, alors que tu poses un baiser dans son cou. Et quand ta main quitte sa crinière, c’est uniquement pour glisser sur son épaule, emportant à moitié la bretelle de sa robe de nuit. Et sans en prendre plus tu viens poser ta joue contre sa clavicule, et tu inspires son odeur.

    « Tu ne veux pas me dire que je t’ai manqué, au moins ? Tu finis par demander, en oubliant ta volonté de ne pas parler. »
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
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    Sam 26 Déc - 22:59.
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    A croire, Analynn, que ça le concerne, tu n’es plus bonne à rien, ou alors, est-ce le destin qui s’en mêle systématiquement pour t’empêcher d’aller dans une certaine direction. Parce que, oui, ma grande, tu ne cesses d’essayer de trouver tous les arguments pour le fuir, et t’en éloigner. Certains diraient que c’est normal, que tu ne fais que faire ce que tu dois faire … Que dirais tes parents, hein, s’ils le voyaient t’approcher comme il le fait ? Si seulement il était un homme de Fortschritt, ils seraient très probablement charmés, enchantés, mais on sait bien que ce n’est pas le cas, alors, à la place, ils seraient plutôt tous les deux complètement outrés. Mais tu vois, ça, c’est encore un problème de taille. Tu penses à ce que diraient les autres, alors même qu’il essaie tant bien que mal de te faire comprendre, jour après jour que le seul avis qui compte, quand tu prends une décision, et bien, c’est le tien et uniquement le tien.

    Cela fait des jours que tu es là, et que finalement, vous vous tournez autour. Lui, n’hésite pas un instant à s’approcher de toi, il a même eu l’audace de te voler un baiser après seulement quelques heures, et si son but était surement encore une fois de te donner une leçon, voir de se payer ta tête, sur le moment, sans s’en rendre compte, il a creusé un début de chemin, en toi, et depuis, tu es comme happée par celui-ci, tout en disant que cette voie est absolument dangereuse. C’est bien la première fois que tu agis et réagis de la sorte face à une personne … face à un homme, surtout. Il provoque en toi tout un tas de sentiments complètement contradictoires, parfois, la colère, puis la surprise, l’envie, le désir, et la seconde d’après la frustration. De quoi rendre dingue n’importe qui, tu ne crois pas ?

    Ce soir, et depuis quatre jours, c’est finalement le manque qui s’est installé, et ça, c’est encore plus étrange que le reste pour toi parce que tu as toujours été une femme très indépendante. Dix années avec le même homme, et tu n’as jamais ressenti le manque, même lorsqu’il partait en mission, même lorsque tu passais du temps chez tes parents. La séparation n’a jamais été difficile, elle ne t’a jamais empêché de dormir sur tes deux oreilles et voilà que tu te retrouves à devoir se glisser dans les quartiers de Léandre, pour trouver le sommeil en son absence. Comble de toute cette histoire, il t’a trouvé ici, et maintenant qu’il sait que tu l’as vu, senti près de toi, voilà que tu cèdes un peu à tes pulsions, tes envies, ton désir, en t’approchant de lui, en venant le chercher, tout en lui demandant de t’épargner ses remarques, pour une fois, juste parce que tu sais qu’elles pourraient te convaincre de faire machine arrière.

    Forcément, il te suffit de lui céder un peu de terrain pour le sentir venir en chercher plus encore, il te sers davantage contre lui, t’attires, et puis, il te repousse sur le matelas pour venir se hisser au-dessus de toi, là, il t’attaque de ses lèvres, sans pour autant venir chercher plus qu’un simple baiser sur le front, puis un autre, sur ta joue, dans ton cou, et sous lui, ton corps brûle d’envie et de désir, alors que ses doigts passent sur ton épaule, emportent la bretelle de ta robe de nuit, avant de tout arrêter, ou presque.

    Tu n’as pas bougé, néanmoins, tu es comme à bout de souffle, littéralement. « Je ne veux pas te le dire. » Que tu lui souffle, finalement, bien consciente que cette affirmation n’est qu’une manière détournée de lui donner ce qu’il veut. Le fait que tu ne veuilles pas le lui dire, ne signifie en effet pas que ce n’est pas le cas, et c’est un gros changement, vois-tu, parce qu’il y a encore quelques jours, tu te serais débattue durant de longues minutes, pour lui faire entendre que non, juste non. D’ailleurs, tu soupires, comme si encore une fois, tu venais de t’avouer vaincue, et si ta main bouge, maintenant, c’est simplement pour passer dans ses cheveux, pour le maintenir doucement contre toi, comme si tu craignais qu’il ne s’échappe à nouveau.
    Analynn Marshall
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    Sam 26 Déc - 23:36.
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    Tu débordes complètement, mais pour une fois, Léandre, tu peux dire sans sourciller que ce n’est pas uniquement de ton fait. Ca l’air un peu parce que tu es celui qui est allé la chercher dans son sommeil, la prendre contre toi, c’est un fait, mais c’est elle qui a complètement fait craquer la limite que tu t’imposes en permanence avec elle. Parce que tu y as pensé, Léandre. Tu sais que tu lui fais un certain effet, et tu pourrais dépasser toute la bienséance pour simplement l’envouter, la forcer à avoir assez d’émotions pour toi afin de rester. Sauf que tu ne sais pas ce qu’elle veut. Et tu vois, tu as beau manipuler les gens, jouer avec les sentiments, servir toujours tes intérêts avant tout, et bien pas quand il s’agit de ce genre de sentiments. Ou alors pas quand il s’agit d’elle.

    Et pourtant, tu lâches prises, jusqu’à la coincer sous toi et lui voler ces baisers. Rien de bien déranger, Léandre, tu n’approches même pas ses lèvres, quand bien même tu te damnerais pour en avoir le droit. Et quand tu finis par poser ta tête contre sa clavicule, en écoutant son cœur qui te dit, lui aussi, que tu n’es pas n’importe qui pour elle, et bien elle refuse encore de te le dire. Même juste le fait que tu lui aies manqué. Et honnêtement, Léandre, ça te blesse. Ca, en plus de te rendre mauvais perdant.

    « C’est un tel problème que de le dire… alors que tu dors entre mes draps ? Tu souffles, alors que sa main ne te permet même pas de reculer et la laisser tranquille. Tout est contradictoire chez elle. Puisque tu ne me parles pas, je vais le faire. Et tu vois, tu t’échappes de son épaule pour venir braquer ta tête au-dessus de la sienne. Tu m’as manqué, alors que je n’ai pas pour habitude d’attendre quoi que ce soit entre les murs à la fin d’une expédition. Tu es belle, et quand je t’ai trouvé endormi, je suis resté à te regarder. Le fait que tu te colles comme ça à moi, ça me rend dingue. Tu viens poser ta paume contre sa joue, ton pouce glissant sur ses lèvres. Tu me plais, et je m’en fiche d’où tu viens, de ce qui doit être ou ne doit pas être. C’est toi qui me plait. »

    Tu l’observes, longuement, sans sourire, sans douceur, juste avec ce regard atrocement sérieux. Et tu sais, Léandre, que tu t’es fait piéger à ton propre jeu. Si au départ tu voulais juste l’énerver, lui prouver tout ce qui n’allait pas dans sa vie à elle, du côté de Fortschritt, c’est ta vie qui est en train de changer. Sauf que toi, tu le reconnais, parce que tu as choisi de ne pas avoir peur de ça. Et te voilà à revenir au plus près de son visage, tes lèvres effleurant les yeux.

    « Je veux t’embrasser, pour de vrai, parce que tu le veux aussi. Tu ne quittes pas ses yeux, et tu t’entends rajouter une supplique, dans un souffle. Dis-moi oui, Analynn. Juste oui. »

    Et tu sais quoi, Léandre ? Tu étais froid en arrivant de la nuit extérieur, mais maintenant tu es fiévreux. Ton corps brûle et tu sais très bien que si elle ne t’offre pas ce que tu lui demandes, tu vas te faire consumer par tes propres flammes. Sauf qu’en face de toi, mon vieux, il y a une entêtée de première sur qui tu as jeté ton dévolu…
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
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    Dim 27 Déc - 0:20.
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    Comment parviens tu encore à tenir bon ? A résister. C'est fou, Analynn, tu es face à un homme qui parviens à te faire vibrer comme jamais, et honnêtement, il ne peut que te plaire. C'est un homme fort, plein de charisme, il est intelligent, aussi, doté d'une ruse certaine et d'un charme particulier. Chaque regard, chaque sourire qu'il t'offrent ont le don de provoquer quelque chose, chez toi et pourtant, tu tiens. Tu résistes. Même alors qu'il vient si près de toi, alors que vous êtes tous les deux dans le même lit, lui, à moitié nu, toi, simplement vêtue d'une robe de nuit légère, tu luttes, alors qu'il te suffirait de lâcher prise, pour obtenir tout ce que ton corps désir depuis des jours maintenant.

    Chacun de ses gestes contribue à fragiliser cette force que tu déploies pour lui tenir tête. Il pose ses lèvres sur ta peau, il te touche, t'effleures, vient faire reposer sa tête contre ton buste et toi, tu le retiens oui, d'une certaine façon, mais tu refuses encore et toujours de lui offrir ce qu'il demande. Pourtant, la vérité est une évidence, Ana. Il te suffirais de la lui offrir sur un plateau … Et puisque tu refuses, toi, de dire la vérité, lui vient une nouvelle fois te livrer la sienne, à ton sujet. Tu lui as manqué. Il a n'a pensé qu'à revenir à toi, ou presque. Tu lui plais. Il se fiche du reste, parce qu'il te veux et te désires. Voilà, en résumé, ce qui ressort de son discours. Et il ne s'arrête pas là, non, il s'approche à nouveau, au plus près de toi pour réclamer un baiser, ou plutôt, le droit de prendre un baiser, de te l'offrir plutôt. Et tu le veux, il a raison, tu en as probablement tout autant envie que lui, Ana.

    Tu es comme figée, ma grande, devant une telle demande. Tu brûles pour lui. La contraste s'en est allé, vos corps ont l'air de se consumer l'un l'autre. Tout en lui t'appelles, ses lèvres, bien sûr, mais aussi tout le reste de son corps que tu sens contre le tiens malgré le fait qu'il se maintienne en équilibre sur son bras pour ne pas peser sur toi de tout son poids de soldat. « Oui. » Tu craques. Tu cèdes. Tu lâches tout, Ana, subitement et ça te fais tellement de bien, bon sang, d'accepter ce baiser, d'arrêter de refuser ce qui te fais pourtant tant envie que tu viens même le chercher en te redressant un peu, que tu vas même jusqu'à enrouler tes jambes autour de lui pour le tenir contre toi, pour continuer de le sentir, sans même savoir jusqu'où tu vas parvenir à repousser tes propres limites.
    Analynn Marshall
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2893
    Dim 27 Déc - 0:40.
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    Tu la désires, c’est choses certaine et c’est ce que tu as le culot ou le courage, les deux peut-être, de lui dire pour combler tous ces silences qu’elle t’offre quand tu lui demandes de te parler. Tu lui dis tout ce qui te passe sur la tête, en sachant que tu pourrais en sortir encore un bon paquet, des choses comme ça, parce que tu es complexe, et que tes émotions ne se résume jamais à trois anecdotes distingues. Le fait est que tu es bien trop frustré pour faire de long discours. Tu craques d’ailleurs aussi vite pour revenir effleurer son visage de tes lèvres, et tu tentes le diable encore une fois.

    C’est en lui demandant ce simple oui que tu te souviens ce qu’elle t’a dit de son compagnon, celui qui tu as balayé d’un mouvement de main sans attendre. Il a insisté un moment et il a laissé tomber. Alors tu choisis aussi sec de ne jamais cesser de lui demander, quand bien même tu récolteras frustration et colère à ses refus et ses silences. Et au final, tu penses à ça, tu prends cette décision, quand elle te donne sa réponse. Oui. Ca résonne jusqu’au fond de toi, déclenchant un grognement d’envie et de satisfaction mêlée qu’elle étouffe en venant elle-même prendre ce baiser.

    Autant dire, Léandre, qu’après ça tu ne réfléchis plus à rien. Tu viens juste refermer une main sur sa nuque pour la tenir contre toi, pour porter toute la responsabilité de ce baiser. Tes lèvres caressent les siennes, avant que tu ne viennes vraiment forcer pour mêler ta langue à la sienne, la découvrir et mieux que ça, la dévorer.

    Tu n’es pas sage, Léandre, ce n’est pas ton genre, alors tu te laisses juste porter par tout cela. Ta main glisse de son genou, contre toi, alors qu’elle te retient à elle, le long de sa cuisse, jusqu’à passer sous sa robe de nuit légère. Tu étouffes un grognement de satisfaction en sentant sa peau sous tes doigts, et quand tu écartes un peu tes lèvres des siennes, c’est uniquement pour la regarder en reprenant ton souffle.

    « Tu ne regretteras pas. »

    Une promesse, la même que lorsqu’elle t’a donné un mois. À croire qu’à chaque chose qu’elle te cédera, tu le lui promettras et tu feras tout pour t’y tenir. Quand tes lèvres reviennent vers elle, c’est pour un baiser bien plus doux, alors que tu repousses plus encore sa tenue sur elle, non pas pour aller plus loin, mais parce que tu veux la sentir contre toi, peau contre peau. Et quand tu atteins ça, quand tu la sens clairement, tu refermes tes bras sur elle, en roulant sur le côté et tu enfouis ta tête contre sa gorge, le souffle court.

    « Je ne te lâcherai plus jamais. Tu lui offres, en entremêlant tes jambes aux siennes et en continuant de la serrer puissamment contre toi. Tu es à moi, Analynn. A moi et uniquement à moi. »
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3352
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