Accueil
  • Calendrier
  • Dernières images
  • FAQ
  • Rechercher
  • Membres
  • Groupes
  • S'enregistrer
  • Connexion
    Aller en haut
    Naviguer
    Aller en bas

  • Aller en bas
    Mar 29 Déc - 7:09.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t102-ce-sont-des-choses-qu
    Serait-ce si mal, Analynn, si tu te mettais à te sentir réellement bien quand tu trouves à ses côtés, en sa compagnie ? Est-ce que serait une forme de trahison ? Tu ne le sais pas, et très honnêtement, sans doute n’as-tu pas réellement envie d’avoir une réponse à ces questions là. Tu ne sais même pas où tu vas, ma grande, mais visiblement, Léandre à tout pour te plaire malgré le défauts parfois très laids qu’il a déjà exposés à tes yeux. Il a ce pouvoir, celui de te faire vibrer, celui de faire réagir ton corps d’un geste, d’un baiser, d’une simple caresse. Tu continues pourtant de te méfier, et de tes questionner, c’est vrai, mais ce qui l’est tout autant c’est que l’envie de tout lâcher pour t’abandonner à lui se fait sentir davantage de jour en jour.

    Te voilà donc ma grande, dans cette robe magnifique, dehors, accrochée à son bras comme si tu lui appartenait déjà. Tu le suis, oui, mais tu te blottis aussi contre lui pour lutter contre les basses températures, comme si finalement, il était devenu normal pour toi de l’approcher pour profiter sans limite de la chaleur de son corps. Il t’emmène dans un restaurant, et même si la mention de ses parents t’effraie durant un court instant, tu retrouves vite un léger sourire, tandis que tu avances près de lui dans une rue pavée. C’est drôle, hein, parce que même a l’extérieur, il semble n’avoir d’yeux que pour toi, et tu en fais de même, cette fois. C’est pour cela que, malgré vos instincts, aucun de vous ne semble voir venir le potentiel danger.

    Il est là, pourtant, ce fameux danger. A quelques mètres derrière vous, profitant du fait que la rue que vous venez d’emprunter est déserte, il progresse lentement, mais sûrement jusqu’à décider de passer à l’action alors que de ton côté, tu t’apprêtais à questionner le Major sur ce qu’il pouvait bien entendre par « la suite » …. C’est un premier homme qui approche, de face, il vient brutalement bousculer Léandre, son épaule frappe celle du Stellaa avec force, au point de réussir à le faire dévier légèrement, et alors que tu te penchés, surprise par l’attitude de ce passant fort impoli, tu sens une main se refermer sur ton poignet. On te tire, fortement, et te voilà éloigné de Léandre en quelques secondes à peine. Bousculée, poussée, tu trébuches sur les pavés de la rue, manquant de chuter au moins deux fois, tandis qu’un homme se dresse devant toi, t’empêchent de rejoindre l’homme qui t’accompagnes.

    « Qui êtes vous ? » Tu questionnes, rageusement, bien consciente que c’est fait exprès, mais pas pour autant décidée à te laisser faire. « Qu’est ce que vous voulez ? » Tu continues, bougeant la tête, essayant d’apercevoir Léandre derrière cette grosse brute qui te barres la route et te bouches la vue. « A la base, uniquement son fric à lui, mais maintenant que je te regarde … je veux pas mal de choses, tu vois. » Tu grimaces, tu retiens même un haut le cœur, bien consciente que, face à cette grosse masse, tu ne peux pas faire grand-chose, du moins, pas sans oser changer de forme, chose que tu refuses évidement catégoriquement de faire quoi qu’il arrive.
    Analynn Marshall
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 3 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 3 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2917
    Mar 29 Déc - 16:21.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t55-leandre-on-ne-reveille
    Tu pourrais continuer sans encombre. Franchement Léandre, tu vis au Centrum depuis ta naissance et tu n’as pas eu beaucoup de soucis en vrai. Mais tu vois, puisque tu choisis de toi-même de cesser de faire attention à ce qui t’entoure pour plutôt t’intéresser à la jeune femme, et bien il faut forcément que les choses se passent différemment. C’est souvent comme ça, pour toi, quand tu cesses d’être toi, la vie se charge de te rappeler pourquoi tu n’es pas comme les autres. Et cette fois-ci, ça n’échappe pas à cette étrange règle.

    Sauf que voilà, vous marchez, et tout à coup, on te percute. Avant de pouvoir râler, tu sens Analynn t’échapper et tu te retrouves devant deux types patibulaires et armés, surtout. Analynn est un peu plus loin, et tu l’entends parler, chercher à comprendre. Sauf que Léandre, quand toi tu entends la réponse, tu as la sensation que tu craques aussi brusquement. Tu te jettes en avant, pour la rejoindre et le repousser ce sale type qui lui bloque la route, le chef si tu lis bien son attitude.

    « Dégagez ! Tu grognes. Si vous voulez l’argent, vous voyez ça avec moi mais je vous interdis de la toucher ! »

    Et tu vois Léandre, quand il s’agit d’Analynn, tu oublies certainement les basiques, parce qu’en te jetant en avant pour intervenir, tu manques de t’empaler sur la lame du premier homme. Si ta peau échappe au pire, ton costume est aussi sec abîmé, déchiré sur un flanc alors que l’autre profite de ta surprise pour t’encastrer son poing dans la pommette, te faisant reculer en arrière.

    « Ana, cours ! Tu lui ordonnes tout à coup. Court et rentre à la maison ! »

    Parce qu’après tout, Léandre, tu peux t’en charger, si tu utilises la force qui est la tienne, mais tu ne veux pas qu’elle voit ça. Tu es un mutant oui, mais tu ne veux pas qu’elle le sache, sans bien savoir pourquoi. En attendant, tu repars à l’assaut des deux types qui te bloquent le passage après avoir jeté ton manteau et ton écharpe au sol pour bouger avec plus de facilité.
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 3 Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3376
    Mar 29 Déc - 16:54.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t102-ce-sont-des-choses-qu
    Tu ne te serais franchement pas attendue à ce que ce genre de chose arrive, Ana. Tu sors, dans le Centrum, plutôt régulièrement, tu sais que la Milice est pratiquement partout, et que c’est presque complètement sécurisé, parce que tu as du mal à faire profil bas de ton côté, pour éviter les contrôles. Du coup, mine de rien, tu partais jusqu’à présent plutôt sereine, tu ignores comment ça se passe dans les autres quartiers de cette ville, mais jusqu’ici, naïvement sans doute, la criminalité t’avait parue presque nulle.

    Tu es donc surprise, et ça se lit, autant dans sur ton visage que dans le petit cri que tu laisses échapper lorsque l’on vient te chercher, te tirer si brusquement pour t’éloigner de Léandre, et qu’on se permet de te boucher la vue. Tu as du courage, tu le sais, mais tu restes une femme, lorsque tu ne peux pas te transformer, alors, tu sais déjà que tu perds potentiellement perdante, si tu cherches à défendre. En plus, tu ne parviens pas à voir, à comprendre, ce que les deux autres font à ton compagnon du soir du coup … tu ne sais pas comment tu dois agir, réagir, et tu te retrouves hésitante, tandis que cet horrible bonhomme t’observe d’un regard affreusement lubrique tout en approchant, doucement mais surement, dangereusement.

    Heureusement, Léandre n’est pas du genre à laisser faire sans agir, et il intervient, brutalement, il bouscule l’homme qui te fais face, et vient s’interposer, se placer devant toi. Néanmoins, tu as vu la lame, Analynn, si bien qu’un nouveau cri apeuré s’est échappé de ta gorge, lorsque tu as cru qu’il allait être blessé. Fort heureusement, seul le costume en souffre, par contre, le poing du troisième homme, lui, vient s’abattre sans ménagement sur la joue du Major qui, déjà, t’ordonnes de fuir, de courir, de rentrer à la maison. Et il est déjà reparti au combat, se jetant sur deux de vos assaillants que toi, évidemment, tu n’as toujours pas bougé, de toute façon, il en reste un … il a toujours les yeux rivés sur toi, et il revient déjà à l’assaut alors … te voilà à retirer tes chaussures, des chaussures rouges, absolument magnifiques, et clairement hors de prix, aussi tu t’en souviens, mais qui ne te facilites pas à la tâche quand il s’agit de te déplacer avec aisance. Ton réflexe, c’est donc de les lancer au visage de ton assaillant, l’une, après l’autre, sans grand succès, bien évidemment puisqu’il parvient à te rejoindre, à attraper ton bras, à te tirer contre lui, alors, forcément, tu vois rouge, tu lui envoies un bon coup de genoux, dans cet endroit si sensible pour les hommes, avant de lever ta main, le poignet qu’il tient, et tu viens littéralement mordre dans sa main pour le forcer à te lâcher, et pendant qu’il est littéralement plié en deux, au sol, tu viens littéralement te jeter sur le dos de l’un des deux autres qui s’approchait de Léandre par derrière pour le frapper avec tu ne sais quoi d’ailleurs.
    Analynn Marshall
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 3 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 3 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2917
    Mar 29 Déc - 21:14.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t55-leandre-on-ne-reveille
    Tu sais que tu vas être marqué, que tu auras mal et que ça se saura, ça se verra, mais contrairement à ce combat contre Hodgen, tu n’en as aucune honte. Parce que tu sais parfaitement que tu te vengeras, que ces types y réfléchiront à deux fois avant de recommencer… enfin s’ils peuvent encore réfléchir après que tu les aies écrasés. Du coup, te voilà au prise des deux plus proches quand tu captes du coin de l’œil la brune se faire attraper et un coup de sang te traverse. Tu sens la rage éclater en toi, mais tu parviens à la canaliser dans tes poings, plutôt que de tenter de te jeter vers elle et risquer de la blesser ou d’attirer les deux connards armés vers elle.

    Et tu vois, c’est bien là le plus gros problème de ce combat. Tu peux faire face à deux types en même temps, tu peux les tuer si tu laisses ton gène prendre le dessus. Mais tu es sans armer, contre des dagues acérés. Tu ne veux pas utiliser ta force pour ne pas subir un questionnement que tu ne supporteras pas après. Alors tu tentes de les repousser, de leur arracher leurs armes mais tu restes submergé et tu ne vois qu’à moitié la jeune femme se battre comme une lionne.

    « NON ! »

    C’est le cri qui t’échappe quand, tout d’un coup, tu la vois littéralement apparaître sur le dos d’un des hommes. Tu te jettes sur lui sans réfléchir au deuxième type, parce que ta seule pensée, ta seule envie, c’est de la protéger. Et tu cognes, tu finis par réussir à atteindre la gorge, lui coupant le souffle sur le coup. D’un mouvement brutal, tu lui arraches son arme et tu viens remettre ton poing dans son estomac.

    « Qu’est-ce que tu fiches ?! Que tu grognes à la brune. Pars ! J’ai dit PARS ! »

    Et tu es si énervé, Léandre, que tu ne vois pas l’autre type se jeter sur toi qui t’énerve contre ta compagne. La lame vient riper sur ton bras, abîmant un peu plus ton costume et ouvrant une estafilade sanglante. Avec un feulement, tu te retournes vers l’homme en tentant de l’attraper, sans succès.
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 3 Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3376
    Mar 29 Déc - 21:53.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t102-ce-sont-des-choses-qu
    Voilà une éternité, pour ainsi dire, que tu n’avais pas eu à te battre, Analynn. Il est vrai que tu avais largement délaisser les entraînements au sein de la Guilde depuis plusieurs semaines … de toute façon, tu avais toujours estimé ne pas être à ta place, là-bas, du coup, malgré les relances de la Bêta, tu avais ignoré. Peut-être que tu le regrettes un peu, à ce moment précis, heureusement, tu n’es pas sans armes, Ana. Tu demeures entraînée, formée à te battre, et si tu n’es clairement pas la meilleure à ce petit jeu, tu peux lutter, même si tu n’es pas assurée de gagner. Et puis, tu n’es pas du genre à fuir … d’autant que tu refuses d’abandonner Léandre, même s’il est assurément plus fort, plus doué que toi.

    Alors, oui, tu luttes comme une véritable lionne, tes chaussures sont un échec cuisant, ton genou lui, atteint sa cible, ta morsure cause le mal que tu voulais, et tu parviens sans mal à déséquilibrer l’homme sur lequel tu te jettes sans prévenir. Ton intervention, risquée, tu le concèdes, n’est pas inutile d’ailleurs, puisqu’elle permet à Léandre de prendre un court avantage, de se débarrasser d’au moins un des hommes, ou plutôt, de le désarmer. « Non ! » Que tu protestes, quand une nouvelle fois, il t’ordonne de fuir, de partir, de rentrer. Sérieusement … comme si c’était ton genre d’aller te réfugier à la maison comme une petite biche effarouchée. Ce serait assurément indigne de toi, Analynn.

    Et puis de toute façon, vous n’avez pas spécialement le temps de vous disputer ici, et maintenant, parce que si deux sont au sol, ou au moins bien moins disposés à s’en prendre à vous, le dernier est toujours sur ses deux jambes, et armés. D’ailleurs, il vient violemment se rappeler à Léandre, si tu as le temps de faire un pas en arrière en captant un mouvement dans ta vision périphérique, la lame vient entamer le bras du Major et alors qu’il se retourne, probablement pour se saisir de son agresseur, tu finis par simplement par … céder à la rage, la colère, la frustration et tout ce qui se mêle en toi, provoqués par le simple fait d’avoir été agressée de la sorte, en pleine rue.

    C’est toi, qui prends les choses en main, qui t’avances, qui parviens à te défendre contre l’assaut du bonhomme pour ensuite riposte, tu bloques sont bras, tu viens parviens même à lui prendre son arme et c’est du bout du manche de la lame que tu viens le frapper, au niveau de la tempe pour littéralement le mettre au sol en quelques minutes seulement. Tu souffles, finalement, tu balances l’arme à plusieurs mètres de là, avant de te tourner à nouveau vers Léandre. « Est-ce que ça va ? » Non, mais franchement, quelle soirée. Son costume est fichu, sa joue est abimée, son bras saigne, tes chaussures sont au sol, tu es donc pieds nus dans la rue et ne parlons même pas de l’état de tes cheveux, avec tout ça. « On devrait … rentrer. »
    Analynn Marshall
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 3 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 3 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2917
    Mar 29 Déc - 22:13.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t55-leandre-on-ne-reveille
    Et tu voudrais vraiment la repousser, la mettre à l’abris et en finir avec ce type, Léandre. C’est tout ce dont tu rêves sur le moment. Sauf que tu sembles vraiment ne pas vouloir comprendre comme fonctionne Ana. Parce que si tu l’engueules, elle refuse aussi sec ton ordre, et tu te loupes pour attraper le type. Tu as ce mouvement pour l’attraper elle, la repousser ou au moins la coller dans ton dos. Sauf que non. Non, non, non ! Et autant dire, mon vieux, qu’un cri de rage s’étouffe dans ta gorge quand tu la vois littéralement sauter sur le type pour s’en débarrasser. Tu sais quoi, Léandre ? C’est qu’elle le fait avec un brio et une technique qui t’aurait donné envie de la recruter dans tes rangs, si elle n’avait pas été… elle.

    Autant dire que lorsqu’elle revient vers toi, tu n’es clairement pas de bonne humeur. Tu affiches une tête de tueur, l’air de vouloir probablement l’engueuler elle, mais tu as ce simplement mouvement pour reculer d’un pas et inspirer une grande bouffée d’oxygène avant de juste… craquer. Tes yeux lancent toujours des éclairs, mais tu sembles un peu moins agressif, quand tu ouvres, enfin, la bouche.

    « Pourquoi tu ne m’as pas écouté ?! Tu aurais pu te faire blesser, si ce n’est pas pire ! C’est complètement stupide, si des agresseurs n’en ont pas après toi en premier lieu, tu fuis, c’est tout ! »

    Et voilà que tu te mets à trembler de colère, en faite. Comme quoi, tu as vraiment du mal à accepter les faits. Déjà parce que tu as eu peur pour elle. Si elle avait été blessée, si ce type avait pu la toucher comme il le voulait dans son regard, tu ne te le serais pas pardonné. Ensuite, et ça c’est ton problème tu le sais, tu es humilié ! Une femme, une simple femme, même pas une militaire, a mis à terre plus de types que toi. Elle s’en sort indemne alors que du sang coule doucement sur ton bras ! Putain !

    « Tu es complètement folle ! Que tu exploses, tout à coup, avant de juste… foncer droit devant toi, l’attraper par le poignet, la tirer brutalement à toi et refermer tes bras sur elle. Tu es… Tu me… Tu ne sais même pas quoi dire. Je ne veux pas qu’il t’arrive ce genre de choses… encore moins par ma faute. Que tu grognes, en refusant de desserrer ton étreinte sur elle. Ne me fais plus jamais ca ! »

    Et tu plies l’échine, pour poser ton front contre son épaules, comme lorsqu’elle avait failli partir et rejoindre sa cité. Tu as eu peur, c’est ce qui sort le plus de toi, Léandre, ce qui te ronge. Tu en oublies le froid, ta blessure ou le fait qu’elle est pied nue.

    « Je te ramène à la maison, on y prendra le diner. Que tu finis par marmonner lentement, alors qu’une de tes mains serpentent le long de son dos pour la serrer plus fort. Une vraie sauvage… »
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 3 Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3376
    Mar 29 Déc - 22:36.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t102-ce-sont-des-choses-qu
    Bon, d’accord, tu as très certainement … inverser la tendance en te débarrassant, finalement, à toi toute seule des trois types. Les deux autres ne sont pas complètement inconscients, mais ils sont subitement moins motivés à s’en prendre l’un de vous deux, et finalement, alors que tu balances la lame à quelques mètres de toi, tu les vois se redresser péniblement, attraper celui qui est au sol, et se traîner loin, bien plus loin, ce qui finit de te soulager. Les belles histoires auraient surement voulu que Léandre te sauve, et que tu finis par lui sauter au cou, bien trop reconnaissante, avec les yeux brillants de larmes. Malheureusement, tu n’es pas de ce bois-là, Analynn, tu n’es pas de celles qui se laissent faire et si tu sais évidemment battre en retraite quand il le faut, pour le coup, on dirait que tu t’es sentie capable de lutter, alors, oui, tu l’as fait. Point.

    Le hic, c’est que l’homme qui t’accompagnes est bourré de fierté, c’est un premier point, et qu’en plus de ça … on voit bien qu’il tient à toi. Alors, quand tu viens vers lui, il recule d’un pas, et dans un premier temps, tu ne comprends pas. Tu le fixes, tandis qu’il souffle un grand coup, avant de te reprocher le fait de ne pas avoir simplement pris la fuite comme il te l’avais demandé, non, ordonné, même. « Oui, mais ça ne s’est pas passé comme ça. » Tu lui rappelles, avec ce geste, comme pour montrer que tu es entière, et que tu n’as rien. « Je ne suis pas du genre à fuir, Léandre. » Et tu ne lui en veux pas vraiment, finalement, parce qu’il y a des aspects de toi qu’il ne connait pas encore très bien, après tout, cela ne fait pas si longtemps que la vie t’a placée sur sa route, tu ne peux pas le blâmer de faire des erreurs sur ta personnalité, ou ton tempérament. Au moins, pour la prochaine fois, il saura.

    Quand sa voix tonne à nouveau, par contre, tu ne comprends pas … de nouveau, tu plisses simplement les yeux alors qu’il se rue sur toi, pour t’attirer contre lui, et il referme ses bras sur toi, et, pour la seconde fois, tu as face à toi un homme qui semble aussi sincère que perdu, Analynn, et ça te frappes. Parce que parfois, oui, tu continues de douter de lui, tu te demandes encore si tu peux avoir confiance et bien, tu vois, c’est dans ces moments là que tu as envie de balancer tous tes doutes à la poubelle. « Rien de tout ça n’était de ta faute, enfin … » Tu souffles contre lui, pas vraiment certaine que ça puisse vraiment être rassurant, ou même qu’il puisse y croire. Tu le sais maintenant, quand il a quelque chose en tête, il est difficile de l’en défaire.

    Tu le laisses, contre toi, quelques minutes, et puis, tu lèves la main, tu viens chercher son visage, tu poses ta main froide contre sa joue abimée, rougie par le coup qu’il a pris. « Comme quoi, il y a encore bien des choses que tu ignores de moi. »Tu laisses cette étreinte prendre fin d’elle-même, sans forcer, et une fois qu’il semble décidé à bouger, tu te remets en route, attrapant tes chaussures, au sol, au passage, tu continues de marcher pieds nus, trop pressée de rentrer finalement, désormais, pour te permettre de t’arrêter pour les remettre. Le chemin est pavé, de toute façon, et même si c’est froid, ce n’est pas si désagréable.

    Une fois à la maison, tu le laisses déverrouiller la porte, et tu te glisses à l’intérieur avec un soupire à la fois las, et rassuré, ton manteau ne tarde pas à glisser de tes épaules, tes chaussures sont abandonnées illico dans l’entrée et quand tu reviens vers Léandre, c’est pour repousser sa propre veste de costume, et même te mettre à détacher les boutons que tu avais toi-même fermés, sur sa chemise. « Montre-moi ton bras. » Tu ordonnes, décidée à ne pas le lâcher avant d’avoir vérifier la gravité de la blessure.
    Analynn Marshall
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 3 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 3 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2917
    Mar 29 Déc - 22:54.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t55-leandre-on-ne-reveille
    Tu ne veux plus la lâcher. Tu t’en rends compte quand ta main remonte le long de son dos et que la serres plus encore contre toi. Tu es complètement… accro. C’est sûrement ça, tu vois, et toi qui passe une sacrée partie de ton temps avec ton cousin à penser à cette tendance qu’il a d’avaler de l’alcool, toi qui t’es toujours dit que tu ne comprenais pas la sensation dépendance, et bien là, tu as l’impression d’y être propulser. Sauf que… ca n’a pas de sens, non ? C’est une femme, on ne peut pas avoir d’addiction de ce genre ?

    Tu sens sa main contre ta joue, et si elle t’a parlé, avant, tu n’as même pas chercher à répondre. Tu ne dis rien, tu cherches juste son contact, tu te rassures sur son état en la sentant contre toi, chaude et vivante. Et finalement, elle parvient quand même à te faire redresser la tête, t’arrachant une moue parce que ta joue est endolorie, brûlante et que sa main est sacrément froide.

    « Oui. J’aimerais déjà tout connaitre de toi, ceci dit… »

    Au moins, tu aurais pu anticiper ses réactions et éviter de t’inquiéter autant pour elle. Quoique… Tu finis par soupirer. Ta main viens chercher la sienne, sur ta peau, et tu l’attires à tes lèvres simplement pour y déposer un baiser chaste avant de la relâcher et de la laisser récupérer ses affaires. Si tu repasses l’écharpe autour de ta gorge, tu viens poser ton manteau par-dessus le sien, avant de refermer ton bras autour de ses épaules et de la garder contre toi.

    Si l’aller était doux, tu es tendu, énervé et inquiet sur le retour. Ce n’est qu’en arrivant à la maison que tu acceptes enfin de la relâcher pour ouvrir la maison et la laisser y entrer en premier. Dès que vous vous retrouvez dans le hall chaud, tu refermes à clé, tu te débarrasses de tes chaussures et de ton écharpe et tu voudrais aller t’asseoir mais elle t’arrête.

    « Ce n’est pas grand-chose… »

    Tu marmonnes ça, mais elle ses mains sur toi, alors tu comprends que tu ne gagneras pas contre elle. Te voilà donc à la laisser déboutonner ta chemise, après avoir retiré ta veste. Et quand elle en termine avec ça, tu arrêtes ses mains, un instant, pour l’observer, et murmurer, las :

    « Va chercher la trousse dans la salle de bain, je t’attends sur le canapé. Tu reviens effleurer son visage, t’empêchant de force de la reprendre dans tes bras. Je te laisserai me soigner, je me doute que tu vas être infernale sinon. »

    Un vague sourire court sur tes lèvres quelques instants et tu la laisses aller chercher ce qu’il faut pour te soigner. Tu reviens ouvrir ta bouteille d’alcool, et c’est une bonne rasade que tu t’avales cul-sec pour faire passer la douleur et la honte en même temps. Le temps qu’elle revienne, tu t’es sagement assis sur le canapé, après avoir retiré ta chemise, et tu la regardes.

    « Je suis désolé. Que tu lâches, le plus sérieusement du monde. Je n’ai pas su te protéger. »
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 3 Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3376
    Mar 29 Déc - 23:18.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t102-ce-sont-des-choses-qu
    Tout comme il le ferait, si les rôles étaient inversés, tu ne lui laisseras pas la paix, tant que tu ne te seras pas assurée que cette blessure n’est pas grave. Ça saigne, et dans tous les cas, tu sais qu’il a besoin d’un minimum de soin, alors, oui tu viens directement à lui, et sans la moindre gêne, ou hésitation, tu fais glisser sa veste, avant de t’attaquer à sa chemise que tu déboutonnes rapidement pour l’inciter à la retirer, elle aussi. Pourtant, il t’arrête, et à ce moment, tu as le réflexe de froncer les sourcils, comme pour lui faire comprendre que tu n’es pas d’accord mais … non, en fait, il te demande simplement de monter récupérer la trousse, dans la salle de bain. Il t’attend. Alors, tu hoches la tête, et tu te dégages, t’éloignes pour monter rapidement les marches de l’escalier, traverser un bout du couloir, entrer dans la salle de bain pour attraper le nécessaire et enfin, redescendre aussi vite.

    Comme promis, Léandre à pris place sur le canapé, et tu viens le rejoindre, t’asseyant à ses côtés, du côté de la blessure, tu poses la trousse, ouverte, sur la table basse devant vous, avant de poser les yeux sur la coupure, avec une grimace. Tu prends le temps de tirer un peu sur la peau, pour vérifier la profondeur, et, heureusement, visiblement, la lame n’a fait que l’effleurer. Ce n’est pas profond, c’est ouvert, oui, mais juste assez pour faire saigner, rien de plus. Même pas besoin de points de suture, et franchement ça te rassure, parce que tu n’aurais pas aimé avoir à faire ça. « Je m’en fiche. » Que tu finis par lâcher, alors que tu t’es penchée sur la table, pour attraper un linge blanc, et de quoi désinfecter et nettoyer la plaie. « C’est toi qui avais décidé ça, pas moi, alors pour moi, ça n’a pas d’importance. » Tu te doutes, que s’il dit ça, c’est probablement en partie à cause du fait qu’il doit penser qu’il vient de te donner une probable raison de partir, à la fin du mois accordé … mais toi, ce n’est pas ce que tu attends de lui. « Je ne suis pas le genre de femme qui a besoin d’un homme pour se défendre de tout et rien. » Tu tapotes doucement la coupure, pour en retirer le sang, et désinfecter, et puis, tu relèves les yeux vers lui, tout en continuant ta tâche, avec prudence et douceur. « Et puis je vais très bien. » Et tu évites de lui faire remarquer que c’est lui qui est blessé, parce qu’encore une fois, tu sais sa fierté, désormais, et que tu n’as pas spécialement envie de l’abimer plus qu’elle ne l’est probablement déjà. Le fait est que sa protection, ce n’est pas ce que tu demandes, bien entendu, Ana, il est appréciable de se rendre compte qu’un homme est prêt à tout pour te protéger, te préserver, et te garder, mais ça ne fait pas tout, et ce n’est certainement pas ce que tu attendais de pouvoir juger, durant ces trente jours.

    Tu en termines, avec la plaie, elle saigne encore un peu, mais le désinfectant est posé, et il fait son effet, alors, tu viens simplement bander l’ensemble, solidement, et avec soin, pour éviter que les frottements sur la plaie ne soient trop désagréables, et que le sang ne vienne tacher ses vêtements, ou ses draps, plus tard dans la soirée. Quand tu en termines, Ana, tu repousses la trousse, sur la table, puis, tu te lèves … mais c’est simplement pour remonter un peu ta longue robe sur tes jambes afin d’être plus à l’aise pour venir t’installer à califourchon, sur lui. Tes bras viennent prendre place derrière sa nuque, et si tu penches la tête, pour observer un peu sa joue, certes un peu bleuie, mais pas si abimée que ça, finalement, tu finis par te redresser, pour plonger ton regard dans le sien. « Je n’aurais pas eu l’occasion de me pavaner bien longtemps dans cette robe… » Tu en serais presque déçue, cependant, tu ne peux pas nier qu’en définitive, tu te sens probablement bien plus à l’aise, et plus en sécurité ici, dans cette maison, du moins, pour ce soir. « Quel dommage, il semble que tu seras le seul à en profiter. »
    Analynn Marshall
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 3 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 3 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2917
    Mer 30 Déc - 11:51.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t55-leandre-on-ne-reveille
    Elle revient et tu ne peux pas te retenir de prononcer ces paroles qui bousillent aussi sec ton égo disproportionné et qui te font douter quant à la réussite de ton plan pour la retenir. Sauf que tu le reconnais et tu le lui dis, avant de la laisser venir à toi. Elle effleure ta peau, elle regarde la blessure et tu serres les dents pour ne pas te comporter mal, jusqu’à entendre sa réponse, alors qu’elle s’occupe en même temps de te soigner. Et tu aurais dû t’en douter, Léandre, parce qu’elle n’accepte pas ton échec. Elle te rappelle qu’elle s’en fiche de ta protection et bordel, ça te remue à l’intérieur.

    « Tu es vraiment étonnante. »

    Voilà tout ce que tu trouves à lui répondre, alors que dans ta tête les mots sont plutôt différent. Une lionne, une tigresse, une sauvage, une force que tu avais sous-estimée. Il n’empêche que du coup, tu la laisses terminer avec ton bras en l’observant, la bouche close et les yeux accrochés à son visage, avec l’air presque interrogateur. Au final, tu te retrouves assez rapidement avec un bandage autour du biceps et tu t’apprêtes à te lever, et aller préparer à manger (puisque personne ne l’a fait pour vous) sauf qu’elle ne te laisse pas le temps.

    Tu lui coules un regard surpris, interrogateur, alors qu’elle vient relever sa robe et que tes yeux glissent sur ses jambes. Tout ça pour venir s’installer directement sur tes genoux, à califourchon et déclencher la même bouffée de chaleur qu’à chaque fois qu’elle s’approche de toi. Tu la laisses observer ton visage bleuit et quand ses yeux reviennent à toi, tu grognes d’envie et de frustration mêlée.

    « Ca me va. Tu peux te pavaner dans la tenue que tu veux devant moi… moi seul. »

    Tes bras passent dans son dos et tu l’attires plus clairement vers toi. Cette fois-ci, tu te montres bien moins sage qu’à l’extérieur, tu reviens prendre ses lèvres des tiennes, alors que tes mains glissent sur la robe avant de profiter du baiser pour faire sauter quelques attaches de son vêtement. Tu ne cherches pas à le lui retirer, non, tu viens juste poser tes mains brûlantes sur sa peau encore bien fraiche, et tu approfondis un peu le baiser avant de devoir relâcher ses lèvres pour respirer.

    « Tu me fais perdre ma contenance. Que tu lui apprends, alors que ton nez glisse sur son visage, doucement, et que tes mains caressent son dos. Quand tu m’approches, mais aussi quand il t’arrive quelque chose. J’aurais voulu les tuer pour ce que ce salaud t’a dit ! »

    La pure et entière vérité. Si tu n’as pas attenté à leurs jours, c’est uniquement parce que tu ne voulais pas montrer cette façade de toi à la brune, que tu as préféré la choisir elle plutôt que ta vengeance. Maintenant que tu es loin de tout ça, c’est bien plus simple pour toi de le reconnaître, avant de revenir l’embrasser en ramenant une de tes mains le long de sa colonne vertébrale, jusqu’à sa nuque pour l’empêcher de s’enfuir.
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : Jamais le temps à tes côtés ne me paraîtra assez long ; Commençons par l’éternité… (Léandre) - Page 3 Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3376
    Revenir en haut
    Permission de ce forum:
    Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum