Serait-ce si mal, Analynn, si tu te mettais à te sentir réellement bien quand tu trouves à ses côtés, en sa compagnie ? Est-ce que serait une forme de trahison ? Tu ne le sais pas, et très honnêtement, sans doute n’as-tu pas réellement envie d’avoir une réponse à ces questions là. Tu ne sais même pas où tu vas, ma grande, mais visiblement, Léandre à tout pour te plaire malgré le défauts parfois très laids qu’il a déjà exposés à tes yeux. Il a ce pouvoir, celui de te faire vibrer, celui de faire réagir ton corps d’un geste, d’un baiser, d’une simple caresse. Tu continues pourtant de te méfier, et de tes questionner, c’est vrai, mais ce qui l’est tout autant c’est que l’envie de tout lâcher pour t’abandonner à lui se fait sentir davantage de jour en jour.
Te voilà donc ma grande, dans cette robe magnifique, dehors, accrochée à son bras comme si tu lui appartenait déjà. Tu le suis, oui, mais tu te blottis aussi contre lui pour lutter contre les basses températures, comme si finalement, il était devenu normal pour toi de l’approcher pour profiter sans limite de la chaleur de son corps. Il t’emmène dans un restaurant, et même si la mention de ses parents t’effraie durant un court instant, tu retrouves vite un léger sourire, tandis que tu avances près de lui dans une rue pavée. C’est drôle, hein, parce que même a l’extérieur, il semble n’avoir d’yeux que pour toi, et tu en fais de même, cette fois. C’est pour cela que, malgré vos instincts, aucun de vous ne semble voir venir le potentiel danger.
Il est là, pourtant, ce fameux danger. A quelques mètres derrière vous, profitant du fait que la rue que vous venez d’emprunter est déserte, il progresse lentement, mais sûrement jusqu’à décider de passer à l’action alors que de ton côté, tu t’apprêtais à questionner le Major sur ce qu’il pouvait bien entendre par « la suite » …. C’est un premier homme qui approche, de face, il vient brutalement bousculer Léandre, son épaule frappe celle du Stellaa avec force, au point de réussir à le faire dévier légèrement, et alors que tu te penchés, surprise par l’attitude de ce passant fort impoli, tu sens une main se refermer sur ton poignet. On te tire, fortement, et te voilà éloigné de Léandre en quelques secondes à peine. Bousculée, poussée, tu trébuches sur les pavés de la rue, manquant de chuter au moins deux fois, tandis qu’un homme se dresse devant toi, t’empêchent de rejoindre l’homme qui t’accompagnes.
« Qui êtes vous ? » Tu questionnes, rageusement, bien consciente que c’est fait exprès, mais pas pour autant décidée à te laisser faire. « Qu’est ce que vous voulez ? » Tu continues, bougeant la tête, essayant d’apercevoir Léandre derrière cette grosse brute qui te barres la route et te bouches la vue. « A la base, uniquement son fric à lui, mais maintenant que je te regarde … je veux pas mal de choses, tu vois. » Tu grimaces, tu retiens même un haut le cœur, bien consciente que, face à cette grosse masse, tu ne peux pas faire grand-chose, du moins, pas sans oser changer de forme, chose que tu refuses évidement catégoriquement de faire quoi qu’il arrive.
Te voilà donc ma grande, dans cette robe magnifique, dehors, accrochée à son bras comme si tu lui appartenait déjà. Tu le suis, oui, mais tu te blottis aussi contre lui pour lutter contre les basses températures, comme si finalement, il était devenu normal pour toi de l’approcher pour profiter sans limite de la chaleur de son corps. Il t’emmène dans un restaurant, et même si la mention de ses parents t’effraie durant un court instant, tu retrouves vite un léger sourire, tandis que tu avances près de lui dans une rue pavée. C’est drôle, hein, parce que même a l’extérieur, il semble n’avoir d’yeux que pour toi, et tu en fais de même, cette fois. C’est pour cela que, malgré vos instincts, aucun de vous ne semble voir venir le potentiel danger.
Il est là, pourtant, ce fameux danger. A quelques mètres derrière vous, profitant du fait que la rue que vous venez d’emprunter est déserte, il progresse lentement, mais sûrement jusqu’à décider de passer à l’action alors que de ton côté, tu t’apprêtais à questionner le Major sur ce qu’il pouvait bien entendre par « la suite » …. C’est un premier homme qui approche, de face, il vient brutalement bousculer Léandre, son épaule frappe celle du Stellaa avec force, au point de réussir à le faire dévier légèrement, et alors que tu te penchés, surprise par l’attitude de ce passant fort impoli, tu sens une main se refermer sur ton poignet. On te tire, fortement, et te voilà éloigné de Léandre en quelques secondes à peine. Bousculée, poussée, tu trébuches sur les pavés de la rue, manquant de chuter au moins deux fois, tandis qu’un homme se dresse devant toi, t’empêchent de rejoindre l’homme qui t’accompagnes.