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    Guilde des Shifters - Béta.
    Analynn Marshall
    Ven 25 Déc - 22:37.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t102-ce-sont-des-choses-qu
    Tu es complètement à bout, maintenant. C’est insupportable, tu as l’impression d’être claire dans tes paroles, mais de ne pas réussir à te faire comprendre pour autant, et pourtant, c’est simple, non ? Bien sûr que ça l’est, mais lui, encore une fois, il déforme tout, il ramène tout ce que tu dis à un tout autre sujet encore et ça te donnes envie de le frapper alors qu’en règle générale, tu n’es pas quelqu’un de violent, du moins, pas si facilement. Non mais écoute le, Analynn, avancer le fait qu’il peut parfaitement mettre une femme dans son lit sans lui sauter dessus … tu n’en doutes pas une seconde, hein, parce que, encore une fois, tu le répètes, mais tu n’es pas femme à penser que tous les hommes du monde sont des animaux obsédés. Par contre, quand il ose retourner ça contre toi, tu ne sais pas pourquoi, mais ça te met dans une rage folle. Déjà parce que c’est complètement faux, même dans une relation soporifique depuis dix ans, tu n’as eu l’envie ou l’intention de sauter sur un homme. Bien sûr que tu sais te retenir, et de toute façon, il n’agit pas de ça … ou si, en fait, peut-être. C’est compliqué. La vérité, tu l’as au fond de toi. Tu es frustrée. Tu ne t’en rends absolument pas compte, bien évidemment, mais c’est exactement ce qui est en train de se passer. L’origine de tout ça ? Le premier soir, et ce baiser volé. Forcément, Ana, voilà dix ans que le même homme t’embrasse sans que tu ne parviennes à ressentir l’envie à travers ses lèvres, ou le désir de plus. Alors, oui, quand il t’a embrassée, il a très probablement réveillé quelque chose en toi, un feu qui ne cesses qu’à chercher à grandir et que tu mets bien trop d’énergie à tenter d’étouffer pour on ne sait quelle raison d’ailleurs. Et lui. Lui, Analynn, il provoque, c’est comme s’il le nourrissait derrière ton dos, tandis que tu te casses le dos à l’éteindre, alors, on peut comprends à partir de là, que tu cherches à le fuir, ou que tu lui fasses un peu la misère, non ?

    Et tu perds complètement les pédales, c’est comme si rien de réussissait à le convaincre, alors, tu te mets à essayer de passer par les actions pour prouver tes dires. Il retire sa chemise ? Bien. Tu en fais de même, du moins, tu ouvres la tienne, sans pour autant t’exposer autant qu’il le fait sous ses yeux, et te voilà à lui demander s’il trouve ça normal, et à ta grande surprise, s’il approche, c’est uniquement pour venir tenir ton chemisier bien fermé. En plus, avec ses mots, il parvient à te rabattre le caquet avec violence, parce que … c’est vrai ce qu’il dit, Ana, tu étais à deux doigts de lui dévoiler une partie de ton corps si précieuse pour une femme, alors que tu hurles justement pour ne pas dépasser certaines limites de la bienséance. Le monde à l’envers, comme quoi, tu te laisses complètement submergée, dépassée par cette saleté de frustration qui a pris ses quartiers chez toi, et qui, malheureusement pour toi, est probablement là pour un séjour de longue durée. « Tu m’énerves. » Que tu grognes. Et tu vas probablement pour lui retirer ton chemisier des doigts, tu vois, mais il t’attrape, pour complètement te balancer sur son lit, avant de t’y rejoindre. Il t’attire contre lui, comme si tu étais une peluche douce et lui, un enfant épuisé, et tu te retrouves prise dans ses bras, alors qu’il s’est installé, tête sur l’oreiller, prêt à démarrer sa nuit.

    « Pardon ?! » Alors là, là, franchement … tu es carrément en train de te demander si tu n’es pas en train de vivre un cauchemar, parce qu’après tout ça, il vient carrément de te dire que, tant qu’à faire, si ce n’était que ça, ton argument, tu n’avais qu’à l’épouser. « Comment tu peux dire ça aussi légèrement ? » Et tu râles, tu râles, et tu finis par te tourner vers lui … et tu te retrouves pratiquement nez à nez, avec lui, et tu l’observes, en silence. Il a presque l’air paisible, comme ça. Et tu as son odeur dans le nez, Analynn, alors, ça te donnerait presque envie de te taire, et de venir te blottir contre lui. Tu pourrais même avoir l’idée de revenir chercher ses lèvres tiens … Mais à la place, tu lui tournes rageusement le dos, lui envoyant un coup de pied au passage, pour l’éloigner un peu de toi, tu t’installes sur le côté, pratiquement tout au bord du grand lit. « On ne verra rien du tout, jamais je ne t’épouserais. »
    Analynn Marshall
    Gif : [DONE] Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver. (Léandre) - Page 3 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : [DONE] Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver. (Léandre) - Page 3 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2903
    Forces Armées - Major.
    Léandre A. Stellaa
    Ven 25 Déc - 22:58.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t55-leandre-on-ne-reveille
    Tu l’énerves, c’est ce qu’elle te dit avant que tu ne l’attrapes dans tes bras pour la jeter sur le lit et venir te blottir près d’elle… ou plutôt venir la blottir contre toi. Tu es crevé, mon vieux. Tu n’as pas pour habitude d’être ainsi dévoré par la fatigue, mais tout cela a tiré dans ta réserve, et tu ne l’as pas alimentée correctement ces derniers temps. Tu paies par là où tu as pêché, en soi. En attendant, Léandre, tu veux dormir, et pour dormir, il faudrait encore qu’elle se calme. Alors tu ne réfléchis pas, tu fais comme d’habitude et tu règles les problèmes avec des solutions que tu prends au pied de la lettre. Si vous étiez mariés, elle ne s’enfuirait pas… Autant l’épouser non ? Encore plus qu’elle n’est pas engagé auprès de l’autre idiot.

    Et ça lui tire une réaction, tiens. Elle s’écrie, surprise, et puis tu la sens se tourner dans tes bras, et tu as même le culot de lui offrir un sourire angélique, yeux presque fermés, parce que tu te dis que tu as gagné. Mais c’est mal connaître madame Analynn. Parce qu’elle recommence à râler et toi, tu soupires sourdement.

    « Pourquoi pas ? Ca m’irait, moi, de t’épouser. Ca simplifierait bien des choses, et je n’aurais aucune honte à t’amener au bout de mon bras en diner, au palais ou même en ville. Tu soupires, t’apprêtes à tenter de l’étouffer dans ton torse pour qu’elle se taise, mais avant d’y parvenir, elle se retourne et… Aie ! Mais tu es pas possible ! Je te dis que je suis crevé et toi tu me fiches un coup de pied… »

    Tu ne peux même pas te reposer en paix… Ca te fait grogner, et sa réponse plus encore. Jamais qu’elle te dit. Bah tiens hein ! En attendant tu te redresses le temps de tirer les couvertures sur vous, puis tu te recouches, en éteignant la lumière e chevet et même si elle est loin, tu tends la main pour poser ta paume brûlant entre ses omoplates et… tu sombres en deux minutes.

    ¤ ¤ ¤

    Tu dors profondément oui, mais surtout tu dors bien. Et s’il y a une chose de certaine, Léandre, c’est que tu cherches sa présence dans ton sommeil. Tant est si bien que, si elle te fuit, tu reviens vers elle dans ton sommeil, passant à minima ton bras par-dessus sa hanche, alors que ta tête glisse de l’oreiller pour finir contre son épaule. Son odeur t’apaise, et tes rêves se font plus agréable.

    Comme toujours, avec toi, le sommeil te quitte tout à coup, comme si tu étais une batterie de téléphone. Tu dors, tu dors, et puis bam, tu es rechargé et tu ouvres doucement les yeux sans bouger, sans bailler, sans même chercher où tu es ou pourquoi. Tu es réveillé, et silencieux. Heureux ou calme tout du moins.

    Analynn est toujours là, c’est la première chose que tu vois. Endormie dos à toi, comme si elle t’avait fuie toute la nuit. Avec un sourire doux, bien étrange pour toi, tu te bouges. Tu viens pratiquement te coller à elle avant de t’appuyer sur ton bras pour la surpasser et l’observer. Elle a l’air si calme, si sereine, que ta main ne résiste pas à aller vers elle, tes doigts glissent sur ses cheveux, jusqu’à son épaule dénudée, où son corsage a glissé avec la nuit. Et tu recommences, une fois, puis une seconde, jusqu’à la sentir revenir doucement à la réalité. Et là, tu as le culot de te pencher vers elle et souffler d’une voix brûlante contre son oreille.

    « Tu es belle quand tu dors. Juste pour le plaisir de voir sa réaction. »
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : [DONE] Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver. (Léandre) - Page 3 Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3362
    Guilde des Shifters - Béta.
    Analynn Marshall
    Ven 25 Déc - 23:29.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t102-ce-sont-des-choses-qu
    L’épouser … non mais franchement. Tu le connais à peine, et il ne faut pas oublier, qu’à la base, tu es sous son toi contre ta volonté. Alors oui, c’est complètement surréaliste de te parler aussi facilement, et aussi légèrement de t’épouser juste pour … pourquoi, d’ailleurs ? Pouvoir dormir avec toi ? C’est ridicule. Ça n’a strictement aucun sens et par-dessus le marché, qui épouse quelqu’un pour des raisons aussi futiles, hein ? Non, vraiment, Ana, maintenant, il te met littéralement hors de toi, parce que si tu savais qu’il n’avait aucune limite, tu découvres ça dans la pratique, et honnêtement, tu n’aurais jamais pu imaginer ça toute seule.

    Le pire, c’est que tu as un moment d’hésitation, en l’observant, les yeux clos, avec ce sourire sur les lèvres. Tu pourrais presque te laisser attendrir, mais tu finis par te reprendre, lui balancer un coup de pied, le faire râler, et t’éloigner le plus possible. Encore une fois, tu cèdes oui, mais non sans protester, et sans faire savoir à quel point tu désapprouves. Notons tout de même que ça ne l’empêche pas de revenir chercher un contact physique avec toi, avant de finalement sombrer dans le sommeil.

    Finalement, tu t’endors assez vite, tu vois. Tu te serais imaginé avoir un mal de chien à sombrer, et c’est tout l’inverse qui se passe, vraisemblablement, tu lui fais confiance sans même t’en rendre compte, parce que ton corps se détends, et que tu finis par t’endormir. Et tu bouges, durant la nuit, un peu. Probablement que tu le sens aussi, contre toi, mais, à moitié éveillée seulement, tu ne trouves ni la force, ni la volonté de le repousser, ou de râler alors, tu le laisses simplement se blottir dans ton dos, et te retenir contre lui, parce que de toute façon, finalement, probablement que tu t’y sens bien …

    Tu étais fatiguée. Alors tu passes une bonne nuit, sacrément réparatrice, d’ailleurs. Au petit matin, il est réveillé bien avant toi, et tu es encore dans les bras de Morphée lorsqu’il s’approche de toi. Tu es revenue à ta position initiale, tu lui tournes le dos, et en t’endormant, tu as oublié que ton chemisier était ouvert, alors, ce dernier à bouger, il a dénudé l’une de tes épaules et c’est sur cette dernière, que tu sens ses caresses, et ce sont elles qui te tirent, lentement, délicatement de ton sommeil. Et toi, Ana, tu as toujours eu le sommeil difficile à éloigner, alors, tu remues, oui, tu papillonnes un peu, mais même si tu bouges légèrement, ça ne veut pas dire que tu es revenue dans le monde des vivants, du moins, pas complètement. Du coup, tu l’entends te parler, oui, et ça te fais te tourner dans sa direction, tout à coup. « Tais-toi … » Tu marmonnes, sans même ouvrir les yeux. Et tu continues de bouger, visiblement, tu as du mal à émerger, mais quand tu sens qu’il est près de toi, te voilà à venir te blottir contre son torse nu. Il est chaud. Son odeur est partout, forcément, et rappelons-le encore une fois : tu as encore un pied au pays des rêves. Du coup, tes limites ne sont pas les même et c’est pour ça que tu viens le chercher, plus encore, tu colles ton corps contre le sien, et te voilà à venir enfouir ton visage contre son cou, tandis que tes mains se posent sur lui. On le rappelle, Analynn. Frustrée. Tes rêves sont probablement complètement infectés par ce sentiment, alors forcément, quand tu les confonds à moitié avec la réalité … ça devient rapidement gênant. Pire encore quand tu t’en rends compte. Parce que là, tu te figes, tout simplement, incapable de bouger, alors que tes lèvres sont contre sa peau.
    Analynn Marshall
    Gif : [DONE] Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver. (Léandre) - Page 3 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : [DONE] Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver. (Léandre) - Page 3 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2903
    Forces Armées - Major.
    Léandre A. Stellaa
    Ven 25 Déc - 23:46.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t55-leandre-on-ne-reveille
    Tu en profites, elle est au pays des rêves et là elle ne peut pas s’enfuir et te rejeter comme elle ne cesse de le faire. Tu en profites aussi parce qu’une partie de toi se dit que sa réaction, endormie, sera probablement plus sincère que celle que s’efforce à avoir devant toi. En faite, tu es en train de tenter le destin pour avoir un signe, pour te dire que tu vas dans le bon sens, que tu auras ce que tu veux. Tu lui as dit que tu ne perdrais pas à l’issu de ce mois, mais tu n’es pas Dieu, Léandre, quand bien même tu le voudrais, alors tu te rassures comme tu veux, tu cherches des signes là où il y en a.

    Et tu la sens s’éveiller doucement, ou en tout cas gigoter comme quelqu’un qui s’éveille. Alors tu as ce mouvement, pour faire courir ton souffle chaud contre elle et tu t’attends à voir sa chaire de poule, la voir sourire, ou au contraire s’éveillée comme une furie, parce que c’est un peu ce qu’elle est quand même. Sauf qu’encore une fois, elle te prend par surprise. La voilà qui se retourne, marmonne quelque chose et avant que tu n’aies pu dire ouf, elle vient contre toi.

    « Ana… »

    Un souffle, qu’elle t’emporte alors qu’elle se colle, que tu sens sa peau contre la tien, tu sens son visage contre ton cou. Et bon sang, Léandre, tu as bien dormi, tu es en pleine forme, alors tu ne peux pas empêcher ton corps de réagir. Tu viens refermer tes bras autour d’elle, en te disant que tu as gagné, sans vraiment savoir comment. Tu voudrais la dévorer, parce que c’est l’effet qu’elle te fait, sauf qu’alors que ses lèvres courent contre ta peau, que ta main fourrage dans ses cheveux, tu sens quelque chose se passer. Elle cesse de bouger, elle se tend, et tu cesses de bouger aussi.

    « Tu dormais. Ce n’est pas une question, tu as instinctivement compris ce qu’il se passe. Tu dormais et ton corps me réclame… moi ! Un drôle de sourire vient se mettre à trôner sur ton visage, alors que tu ressers un peu tes bras contre elle, pour la retenir et que tu enfouis ton visage dans ses cheveux. Tu peux bien dire ce que tu veux, Analynn, ton sommeil à parler pour toi. C’est pour cela que tu ne voulais pas venir dormir avec moi ? Si c’est le cas, ce soir, je te prendrai dans mes bras pour m’endormir ! »

    Et oui, tu es infernal, mais en même temps Léandre, tu es bourré d’énergie, ton corps la désire et tu es persuadé d’avoir le signe que tu voulais dans son sommeil. Autant dire que tu es ravi, fier comme un paon. Et que tu prends même le droit de la tenir encore contre toi, jusqu’à poser un baiser dans ses cheveux, avant de la relâcher doucement et te tourner sur le dos, avec ce sourire immense sur le visage, parce que tu es bien réveillé toi !

    « On peut continuer, si tu veux, hein. »

    Quel sombre infâme salaud tu peux faire, quand tu es victorieux, tu ne crois pas ?
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
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    Guilde des Shifters - Béta.
    Analynn Marshall
    Sam 26 Déc - 11:30.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t102-ce-sont-des-choses-qu
    Voilà. Il était là, le « danger » et en effet, il avait en partie raison, finalement, quand la veille, avant de se coucher, il avait osé te lancer que ça pourrait venir de toi. Tu te tenir, évidemment, et quand tu es en pleine possession de tes moyens, il est bien évident que tu es capable de réfléchir, et te t’imposer des limites. Malgré la manière qu’il a d’agir face à toi, tu t’efforces de garder en tête ce que vous êtes censés être l’un pour l’autre, et mine de rien, jusqu’à maintenant, ça avait plutôt bien fonctionné, malgré quelques légères dérives sans grande importance. Là, Analynn, sans aller jusqu’à dire que tu dormais encore, disons que tu n’étais pas complètement éveillée, qu’une partie de toi était probablement encore au pays de tes rêves, causant ainsi une confusion dans ta tête. Tu te fiches bien de lâcher prise dans tes rêves, ça ne concerne que toi, ça ne fait de mal à personne, alors, peu importe que la Analynn de tes songes se permette de s’approcher, de se blottir, de le coller, de chercher sa présence de cette manière. Tu ne fais que céder à une pulsion, tout en te disant probablement, quelque part, que tu ne seras toujours que la seule à savoir … malheureusement, tu n’es déjà plus dans ton rêve, ma grande, ce corps qui vient littéralement chercher le sien, c’est celui de la réalité, et quand tu sens ses bras se refermer sur toi, quand la chaleur de cette étreinte te percute, au point de te propulser complètement dans la réalité, et bien, tu te figes, et tu te crispes.

    Il ne t’a même pas repoussée – forcément, en fait – et tu n’oses même plus bouger. Continuer ? Hors de question, bien évidemment. T’éloigner, si subitement ? Pour quoi est-ce que tu vas passer, hein ? Dans tous les cas, Ana, ce que tu viens de faire un peu malgré toi – mais pas complètement – ça va te retomber sur le coin du nez, quoi qu’il arrive. Tu sais qu’à partir de maintenant, il ne manquera plus une occasion de te rappeler ça, alors, quelque part, tu cherches une excuse, une bonne excuse. Sauf que rien ne te vient, et qu’en plus, il te prend de vitesse en ouvrant la bouche. Il a compris, ça te surprend, d’ailleurs, et alors qu’il prononce ses premiers mots, tu te sens presque soulagée en te disant qu’il sait donc que ce n’était pas … vraiment ce que tu voulais. Sauf qu’on parle de Léandre. Et que Léandre, visiblement, est prêt à tout pour avoir raison – et il a raison, même si tu refuses de l’avouer – parce qu’il tire ses conclusions. Ton cerveau est visiblement la seule et unique barrière qui t’empêches encore de céder à la tentation que cet homme représente, quand il est débranché, ton corps est irrémédiablement tenté d’aller vers le sien et ça, ça, tu vois, c’est problématique. « Ne dis pas n’importe quoi. » Que tu grognes, alors que tu finis par bouger, remuer, pour tenter de te dégager de l’emprise qu’il a refermée sur toi. Cette proximité à de quoi te faire perdre pied, il te sert fort contre lui, rappelons que ta chemise est grande ouverte, alors, tu sens sa peau contre la tienne, littéralement brûlante tandis qu’il continue d’essayer de te provoquer. « Ce soir, je dormirais dans mon lit ! » Tu tentes, malgré le fait que tu sais qu’il refusera probablement à nouveau, et que la scène de la veille risque de recommencer.

    Il finit par te lâcher, de lui-même, non sans être venu enfouir son nez dans tes cheveux, non sans s’être empêcher d’y déposer un baiser. Il recule, s’installe sur le dos alors que tu souffles un grand coup et c’est quand il ose une énième remarque que tu repousses finalement rageusement les couvertures, le drap, et que tu sautes littéralement hors de son lit en prenant soin de tenir ton vêtement. « Hors de question. » Tu craches. « Tu peux bien tirer toutes les conclusions que tu veux pour … ça, tu te trompes, c’est tout. » Et pourtant, tu ne trouves pas de bonne excuse, et tu ne fournis pas d’explication en remplacement qui pourrait potentiellement te donner raison, non. Tu te contentes de reculer, dans la chambre, de frissonner, parce que la fraîcheur du matin vient agresser ta peau encore brulante et de finalement, faire volteface pour te précipiter vers la porte. « J’ai besoin d’une douche, à moins que ça non plus, je n’ai plus le droit de le faire seule. »
    Analynn Marshall
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    Forces Armées - Major.
    Léandre A. Stellaa
    Sam 26 Déc - 12:21.
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    « On verra bien ce soir… Que tu lances en prenant une dernière inspiration, le nez dans ses cheveux. Moi je sais que je veux dormir encore avec toi et toi, tu vas bien finir par reconnaître qu’une partie de toi veut la même chose ! »

    Et tu la lâches, pour reprendre ton souffle et puis aussi savourer cette belle victoire. Tu commences la journée sur un point extrêmement plaisant, et tu sais, Léandre, que tu vas pouvoir t’en enorgueillir toute la matinée, voire toute la journée si les choses vont dans ton sens. En attendant, tu regardes le plafond quelques instants, avant de ramener tes yeux à elle et la provoquer un peu, pour voir à quel point elle refuse la réalité… et bien entendu sa réaction ne se fait pas attendre.

    « C’est ça. »

    Tu répètes avec un sourire immense, pour te moquer de son non-argument. Et puis, tu finis par bouger, te retrouver assis sur le bord du lit et t’étirer de tout ton long comme un chat (ou plutôt comme un lion) alors qu’elle se lève et s’enfuit. Et c’est quand tu la vois passer la porte, que tu te remets debout, dans un geste instinctif pour la retenir. Tu arrives à la retenir par le bras, alors qu’elle parle de douche et tu te penches vers elle, avec toute ton expérience pour rendre fou les gens.

    « Tu as le droit à ton intimité, ne t’inquiète pas comme ça. Que tu lui apprends, avec un sourire calme, avant de venir te pencher plus, effleurer sa joue de la tienne, pour mener tes lèvres à son oreille. Froide, la douche, tu en as bien besoin. »

    Et tu la relâches, tu t’écartes vivement en la gardant à l’œil, au cas où ne lui prendrait l’envie de t’en coller une puis, une fois seul, tu te changes. Tu enfiles un pantalon à pince, noir, une chemise blanche, tu as même le plaisir de choisir tes boutons de manchette parmi ta petite collection. Quand tu ressors de ta chambre, tu es présentable et dans une tenue qui semble bien plus tirée à quatre épingle que cet affreux uniforme militaire que tu portes pour aller au travail.

    Tu pourrais descendre, préparer le petit déjeuner pour te faire pardonner, mais tu ne parviens pas à t’éloigner, alors tu t’installes contre le mur en face de la salle de bain, bras croisé et sourire amusé, jusqu’à ce que la porte s’ouvre. Et quand tu découvres la jeune femme de l’autre côté de la porte, tu viens juste lui lancer :

    « Petit déjeuner puis nous irons te chercher des vêtements, ça te va ? Avant de te décoller du mur pour aller vers elle, la dépasser en la frôlant et profiter de la salle de bain pour faire tes ablutions, en prenant garde à retirer ta chemise, tout de même. »
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
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    Guilde des Shifters - Béta.
    Analynn Marshall
    Sam 26 Déc - 14:50.
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    Furieuse, tu l’es très probablement. En vérité, tu n’as malheureusement pas tellement de quoi l’être contre lui, ce matin, même si tu préfèrerais, et même si ça arrangerait bien tes affaires. C’est toi qui viens de faire la bêtise du jour, et tu ne peux malheureusement – encore une fois – ne t’en prendre qu’à toi-même, étant donné que tu es celle qui n’as pas su se retenir, s’empêcher, se contrôler, tout ça en même temps. Alors tu t’éloignes, tu quittes le lit, surtout pour le fuir, lui, et tu fonces droit vers la porte avec la ferme intention de prendre une bonne douche, histoire de te remettre les idées en place. Et tu te fiches bien qu’il insiste, pour cette fois, tu sais bien que le même cinéma va recommencer ce soir, sauf que, pour le coup, tu décides que tu verras ça en temps et en heure. Et puis, tant pis, aussi, s’il ne te croit pas, tu as décidé, en plus du reste, que tu ne ferais pas un effort de plus.

    Ce qui te déranges d’avantages, tu vois, c’est qu’il se permette de te rattraper, encore. Tu as le droit à ta douche, toute seule – et encore heureux – et si à lui, ça lui permet bizarrement logique, vu son comportement ces dernières heures, avec toi, à toi, ce n’est pas si simplement compréhensible. En plus, il en profite pour te lancer une nouvelle pique et c’est donc plus rageusement encore que tu sors de là pour aller t’enfermer dans la salle de bain dont tu claques bien la porte, comme si tu cherchais encore à lui faire comprendre le problème.

    Tu prends le temps de prendre une douche bien chaude, et ça te fais du bien. Ça te détend, Analynn, si bien que quand tu sors de là, et que tu t’enroules dans une large serviette bien épaisse, tu te dis que tu vas finalement, peut-être, pouvoir aborder la journée sous un angle plus calme. Peine perdue ! Quand tu ouvres la porte pour ressortir de là, dans ta serviette, il est là, appuyé contre le mur d’en face, le voilà qui approche à nouveau, qui te passes à côté, et qui entre à son tour dans la salle de bain, retirant à l’occasion à nouveau sa chemise. « Ça me va. » Tu grognes alors, de bien mauvaise grâce, avant de lui tourner le dos, à nouveau et de t’éloigner, dans le couloir pour rejoindre ta chambre et enfiler quelque chose très rapidement. Un nouveau chemisier, un autre pantalon sombre.

    Tu te retrouves à la cuisine bien avant lui, et évidemment, comme toujours, le petit déjeuner est prêt, servi sur la table. Un choix impressionnant, plus qu’il n’en faut pour deux personnes. Sans l’attendre, tu viens te servir un verre de jus de fruit, tu attrapes une viennoiserie qui sent bon le beurre avant de t’installer debout, près de l’une des grandes fenêtres. Il fait beau, dehors, malgré l’hiver, tu doutes que la température soit idéale, néanmoins, le soleil à décidé de montre le bout de son nez.
    Analynn Marshall
    Gif : [DONE] Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver. (Léandre) - Page 3 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : [DONE] Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver. (Léandre) - Page 3 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2903
    Forces Armées - Major.
    Léandre A. Stellaa
    Sam 26 Déc - 16:16.
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    Tu ne perds pas une miette du spectacle, comme tu refuses de chasser la joie de ton visage. Il faut profiter des bonnes choses, et ce qu’il s’est passé ce matin était absolument une de ces choses. Alors oui, tu l’attends, tu laisses même tes yeux s’égarer sur sa peau qu’elle ne peut pas entièrement cacher, puis tu l’effleures avant de prendre un temps pour toi aussi dans la salle de bain. Pendant que tu fais tes ablutions, Léandre, tu passes et repasses ce qu’il s’est passé, et autant dire que lorsque tu sors de la salle de bain, profite, habillé et parfumé, oui, tu as toujours ce sourire sur tes lèvres.

    C’est dans la cuisine que tu la rentrouvres, attablée devant le petit déjeuné, que tu as demandé, à son premier jour ici, assez varié pour qu’elle trouve ce qui lui convient. Tu ne peux pas t’empêcher de lui adresser un regard quand tu passes le pas de la porte, et tu laisses la table de côté, le temps de récupérer une tasse de café noir que tu sucres de miel, avant de revenir, dans son dos.

    Et oui, bien sûr que tu vas continuer longtemps ce petit jeu, encore plus quand tu es dans cet état de joie. Tu viens poser une main sur son épaule, te penchant sur elle pour lui souhaiter un bon appétit, avant de la lâcher aussi rapidement pour prendre la place à table, près d’elle toujours debout. Tu attrapes un croissant et pendant quelques secondes, tu manges en silence, sans ne cesser de l’observer. Sauf qu’on te connait, Léandre, et que toi, tu ne tiens jamais ta langue bien longtemps, vois-tu.

    « Tu fais la tête ? Que tu demandes, en allant taper sans attendre dans son attitude. Qu’est-ce qui t’ennuie le plus ? Que j’ai eu raison, ou que je m’en sois rendu compte ? »

    Infernal, voilà ce que tu es. Tu termines ton repas pour faire simplement tourner ta cuillère dans le café, et tu finis par venir approcher la tasse de ton nez, humer le parfum des grains noirs réduits en morceau. Tes yeux l’observent, c’est une chose, mais tu ne te rends pas compte, Léandre, que tu es littéralement en train de graviter autour d’elle.

    « Il faut que nous te trouvions une robe, en plus de tout le reste. Que tu lui apprends tout à coup. Ca va être Noël bientôt, après tout ! »

    Et tu comptes bien profiter d’un repas avec elle habillée élégamment. Te connaissant, mon vieux, tu l’amèneras peut-être à tes parents, pour un des repas de fêtes, en la présentant comme celle sur qui tu as jeté ton dévolu, juste parce que ça t’amuse et que l’idée te plait bien !
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : [DONE] Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver. (Léandre) - Page 3 Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3362
    Guilde des Shifters - Béta.
    Analynn Marshall
    Sam 26 Déc - 17:35.
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    Aussitôt sortie de cette douche, que ça tourne de nouveau dans ta tête. Tu dormais certes à moitié, tout à l’heure, mais tu te souviens parfaitement du moment où tu t’es rendu compte des choses, la sensation brûlante de ta peau en contact avec la sienne, tes lèvres sur son épiderme, ses bras refermés sur ton corps, et son odeur, partout, dans tes narines, sur toi, autour de toi … Ca finira par te rendre complètement folle, ça vient ajouter à ce baiser, ça vient juste tout empirer, en fait, probablement, parce qu’à côté de ça, tu refuses encore et toujours catégoriquement d’admettre que tu le voulais, que ce désir était le tiens.

    Lorsque tu l’entends descendre, tu restes silencieuse. Tu ne dis pas un moment, te contenter de déguster ta viennoiserie et ton jus de fruit, dans un coin, à quelques pas de la table où a été servi le repas. Ton regard reste fixé sur l’extérieur, et si tu ne vas pas vers lui, si tes yeux ne reviennent pas à lui, c’est simplement parce que tu sais que tu n’auras probablement que quelques minutes de répit, avant qu’il ne se décide à avancer dans ta direction, à nouveau.

    Et ça ne manque pas, évidemment, si tu l’entends manger, se servir, profiter du petit-déjeuner, et bien sa voix ne tarde pas à se faire entendre dans ton dos. Il a remarqué ton attitude distante, et tu ne fais entendre, en guise de réponse, qu’un soupire. Si tu fais la tête ? Oui. Probablement. Par contre, sa question suivante vient te faire te questionner plus en profondeur et la réponse, contre toute attente est évidente ; les deux, surement. Sauf qu’encore une fois, impossible pour toi de l’admettre. « Tu n’avais raison sur rien du tout. » Tu continues de lutter, d’essayer de lui défaire cette idée de la tête, bien que tu saches qu’avec ce qui s’est passé ce matin, tu n’aies pour ainsi dire pas la moindre chance d’y parvenir.

    Tu finis par bouger, par venir reposer ton verre vide sur un coin de table, pour ensuite te frotter les mains afin de les débarrasser de quelques miettes qui traînent. « Une robe ? » Tu finis par t’exclamer. Et avec tout ce qui t’es arrivée, Analynn, tu en aurais effectivement presque oublié le Réveillon de Noël à venir. D’ordinaire, tu le fais en famille, évidemment, cette année, tu en es à te demander ce qu’il a derrière la tête, parce que, tu supposes que s’il glisse l’information, et la remarque, c’est forcément le cas. « Qu’est-ce que tu as prévu ? » Ce qu’il a prévu, lui, oui, parce qu’évidemment, s’il agit comme vous étiez pratiquement mariés, parfois, quand il s’agit de te demander ton avis, monsieur est aux abonnés absents.
    Analynn Marshall
    Gif : [DONE] Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver. (Léandre) - Page 3 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : [DONE] Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver. (Léandre) - Page 3 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2903
    Forces Armées - Major.
    Léandre A. Stellaa
    Sam 26 Déc - 17:47.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t55-leandre-on-ne-reveille
    Tu ne peux pas t’empêcher d’y revenir, de la provoquer, de la piquer parce que toi, tout ce que tu veux Léandre, c’est qu’elle admette la vérité. Ce serait bien plus simple pour elle, et tu es certain que ça rendrait votre cohabitation plus agréable. Le soucis, tu vois, c’est que tu as beau tenter de lui faire dire cette vérité, elle lutte. Et si tu dois lui donner une qualité, mon vieux, c’est qu’Analynn est sacrément résistante. Entêtée, bornée oui, mais résiliente. Et malheureusement pour elle, ça te donne envie de continuer ce petit jeu.

    « C’est ça. Je me demande quand tu accepteras de le reconnaître, au moins pour avoir la conscience plus légère. Tu lui souris, comme un rapace. Ca doit être énervant à force, non ? Frustrant ? »

    En tout cas, toi à sa place tu serais clairement sur les nerfs en permanence à lutter comme elle le fait. Ceci dit, tu viens aussi t’intéresser à autre chose : les achats. Tu veux qu’elle se sente bien chez elle, et pour commencer, qu’elle puisse s’habiller comme elle le souhaite. Tu es justement en train de mentionner la robe quand tu termines ton déjeuner. Sans attendre, tu te remets debout, et tu passes dans le hall en hochant la tête.

    « Une robe oui. Il faut bien marquer l’occasion quand même, que tu sois là-bas ou ici avec moi ! Tu attrapes la veste qu’elle t’a volé le premier jour et tu la lui tends, comme si elle lui appartenait maintenant. Un repas avec toi, à minima. Ici ou dans un restaurant, ce sera comme tu préfères, mais une robe sera de mise. Nous serons probablement invités aussi dans le Centrum. Et puisque je veux passer mon temps avec toi, tu viendras avec moi ! »

    Tu enfiles une paire de chaussure loin de tes bottes militaires avant de mettre un long par-dessus. Tu attrapes ton écharpe, prêt à la passer autour de toi quand tu te tournes vers elle. Elle n’en a pas, et il fait froid dehors en cette période. Alors ni une ni deux, tu vas à elle, et tu passes le tissu doux, emprunt de ton odeur autour de son cou, avant de rester devant elle, un air bien plus doux que moqueur sur le visage, tes mains agrippées à l’écharpe.

    « Tu es belle, laisse-moi en profiter en te trouvant une belle robe qui t’ira bien. Une rouge, peut-être. Et tu te penches un peu vers elle. Et si quiconque te regarde avec insistance, je me chargerai de lui détourner les yeux ! »

    Parce que… ? Tu es le seul qui pose les yeux sur elle, sûrement. En tout cas, c’est ce que tu te dis, avant de la relâcher et aller lui ouvrir galamment la porte, en lui faisant signe de sortir la première.
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : [DONE] Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver. (Léandre) - Page 3 Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3362
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