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    Guilde des Shifters - Béta.
    Analynn Marshall
    Ven 25 Déc - 16:53.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t102-ce-sont-des-choses-qu
    Tu ne te rends même pas compte, que tu sombres dans le sommeil, à peu près a mis chemin. Il fait froid, pourtant, et tu as toujours eu un problème avec le froid, surtout le soir. Tu n’as jamais su t’endormir, tant que tu ne te sentais pas complètement au chaud, alors, là, c’est très probablement que sa présence, dans ton dos et contre toi te réchauffes assez pour te permettre de fermer les yeux, et t’abandonner au sommeil. Bien évidemment, ça ne dure pas bien longtemps, juste le temps que le trajet jusqu’au Centrum, et jusqu’à chez lui se termine. Ensuite tu sens que ça bouge, légèrement, tu te sens même glisser du cheval, mais maintenue, puis portée jusqu’à l’intérieur et c’est seulement là, quand l’odeur maintenant familière de la maison, ainsi que la chaleur de l’intérieur viennent t’envahir, que tu ouvres les yeux, et que tes prunelles se posent à nouveau sur le Major.

    Tu es presque immédiatement redéposée sur le sol, mais pas abandonnée pour autant, puisqu’il reste près de toi, et que la main qui se trouve dans ton dos, elle, ne s’éloigne pas, du moins, pour un temps. Il finit par s’éloigner, en prenant ta veste, la sienne, pour aller tout abandonner dans l’entrée, tout en t’annonçant qu’il sera à la maison dans les jours à venir. Pas de travail. Pas d’allers et retours jusqu’au QG pour son boulot. Il sera là, toute la journée, et c’est presque un signe, tiens, tant on pourrait dire que ça tombe à pic, vu les circonstances. Et pourtant, encore une fois, honteuse sans doute, tu ne trouves rien à répondre, et comme une enfant, tu ne fais que hocher la tête. C’est fou, comment tu te sens maintenant, Analynn, et pourtant, encore une fois … et bien tu ne peux t’en prendre qu’à toi-même, parce que c’est toi qui as décidé de partir, toi qui as entrepris de le faire jusqu’à te retrouver aux abords de ce tunnel et encore toi, qui a finalement décidé de rester, alors, forcément, maintenant, tu n’as plus qu’à assumer les conséquences de chacun de ces choix-là.

    Et c’est vers la table que tu finis par te tourner. Ce n’est pas la même que l’autre, mais elle est absolument magnifique. Une table hors de prix, probablement, mais de bon goût, de bonne facture, et elle donne assurément un charme tout particulier au salon. D’ailleurs, le changement est pour toi flagrant, comme si elle seule, elle donnait l’impression d’avoir redécorer tout le salon. C’est le nœud bien rouge, qui te fais pourtant baisser les yeux, à nouveau, néanmoins, alors que Léandre s’avance à travers la pièce pour servir du whisky, tu t’avances tout de même vers le meuble, tu passes ta main sur le bois, tu effleures le ruban doux, et tu finis par t’appuyer dessus, quand il est de retour, et qu’il vient te mettre dans les mains ce verre d’alcool. Il en vient à parler de vêtements … et c’est vrai, Analynn, que tu n’as pas grand-chose. Les vêtements que tu avais à ton arrivée sont fichus, ils ont été mis à la poubelle dés le premier jour, alors, tu te contentes depuis lors de chemises qui sont à lui, de sa veste quand il t’arrive de sortir, et de vêtements que sa fameuse sœur à laisser chez lui. Rien ne t’appartient, rien n’est réellement dans tes goûts à toi. « Ce n’est pas obligatoire … » Non, mais tu sais qu’il le fera, de toute façon, et que si tu refuses de l’accompagner, il te ramènera une armoire complète, à son goût à lui, et autant dire que, commençant à connaître l’animal, tu risquerais d’avoir de sacrées surprises, Ana.

    Sa main revient contre ta joue, elle est chaude, elle contraste avec la température de ton visage, et comme toujours, tu te retrouves à ne pas savoir quoi dire, ou comment réagir face à ses gestes. « Tu n’as aucun besoin de me couvrir de cadeaux, je te l’ai déjà dit. » Et si tu réponds quelque chose d’aussi flou, c’est simplement parce que tu n’as pas d’autre réponse à lui donner. Tu ne veux rien, du moins, probablement rien de matériel, pour commencer. Quand au reste et bien, ça reste confus. Flou. Problématique, aussi. « Je l’aime bien cette table. Plus que l’autre je crois… » Tu finis par lancer, en t’échappant à nouveau pour longer le meuble, boire une gorgée de ton verre, et reposer ce dernier sur la table, justement, pour te mettre à en contempler les détails, les nœuds dans le bois …
    Analynn Marshall
    Gif : [DONE] Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver. (Léandre) - Page 2 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : [DONE] Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver. (Léandre) - Page 2 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2905
    Forces Armées - Major.
    Léandre A. Stellaa
    Ven 25 Déc - 17:13.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t55-leandre-on-ne-reveille
    Vous revoilà chez toi, Léandre, à la maison. Et tu vois, ça a beau être ta maison depuis très longtemps, depuis que tu t’es marié à Rose d’ailleurs, tu as l’envie aujourd’hui que ce soit également un peu la sienne, à elle qui est si loin de son foyer. C’est une idée que tu te notes, comme une manière supplémentaire de la convaincre de rester. Peut-être que c’est cela qui lui manque, après tout ? Une maison bien à elle ? Si ce n’est que ça, tu partageras la tienne sans hésiter !

    Tu reviens lui mettre ce verre d’alcool fort, au goût particulier et à la force de vous réchauffer directement d’en dedans sa main, alors que la tienne revient capturer sa joue. Tu ne sais pas pourquoi tu as tant besoin de la toucher, de l’effleurer, de l’approcher mais le fait est là, sous ton nez Léandre. Tu reviens sans cesse à ça. Et bien entendu, tu parles de lui offrir tout ce dont elle a besoin, alors elle refuse.

    « Je n’en ai pas besoin, ça me fait juste envie… plaisir. Tu n’es pas certain du terme, pour le coup et plutôt tu relèves soudainement les yeux à sa remarque sur la table. Je l’ai choisie pour toi. Cerisier rouge, parce que le rouge te va bien. »

    Comme quoi, Léandre, tu peux te montrer sensible parfois, avec un goût des belles choses, du bon arrangement de couleur qui ferait grogner de plaisir ta soeur. Tu as peut-être permis à Enyo de savoir se défendre, mais elle t’a appris les belles choses pour sûr. En attendant, tu n’as pas vraiment le temps de comprendre ce qui se joue en toi qu’Analynn t’échappe encore. Elle fait le tour de la table et tu l’observes, en sentant cette frustration puissante revenir te griffer en dedans. Tu voudrais la garder près de toi, elle recommence déjà à s’échapper, son attention entière posée sur la table. Et ça finit par te faire grogner de mécontentement.

    « Vas-tu me fuir encore ? Que tu lâches tout à coup. Tu m’as donné un mois, mais est-ce un mois où tu n’auras de cesse de détourner les yeux et de t’éloigner ? »

    Honnêtement, si ça ce joue comme ça, tu préfères être prévenu, parce que tu changeras ton comportement en conséquence. Il faut dire, Léandre, que tu es plutôt doué pour forcer les gens à te voir, à te remarquer, pour être toujours dans leur centre de vision ou leurs pensées. Et d’ailleurs, ça te frustre déjà tellement que tu reviens vers elle d’un bon pas. Tu avales cul sec ta boisson, avant de l’abandonner sur la table patinée et tu viens relever son visage vers toi, en la tenant par le menton, en tâchant de ne pas la blesser.

    « Regarde-moi. Tu lui demandes, d’une voix dure. Tu auras tout le temps que tu veux pour admirer cette table ! »
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : [DONE] Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver. (Léandre) - Page 2 Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3364
    Guilde des Shifters - Béta.
    Analynn Marshall
    Ven 25 Déc - 17:58.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t102-ce-sont-des-choses-qu
    C’est plus facile, pour toi, de t’intéresser à la table. Il t’en a parlé, tout à l’heure, elle est là, il n’a rien ajouté à son sujet depuis votre retour dans la maison, alors, tu décides de le faire, de la regarder, de faire savoir qu’en effet, elle te plait bien. De toute façon, à choisir, tu préfères rester sur un sujet aussi léger que celui d’un meuble – aussi beau soit-il – que de revenir sur les sujets qui fâchent, parce qu’honnêtement, il est bien évidemment que n’a pas plus avancé que ça, dans ta tête, depuis tout à l’heure.

    Le hic, Analynn, c’est que ça, ça n’a pas l’air d’être à son goût. Tu t’es encore échappée de sa présence si proche, et visiblement, il compte bien désormais te faire remarquer les moments où tu fais ce genre de chose. « Le rouge … ça explique bien des choses. » Tu as léger sourire, en disant cela, simplement parce que tu repenses aux roses, au bracelet, aussi, et puis, forcément, en plus de la couleur si particulière du bois de la table, il y a ce nœud énorme. C’est bien la première qu’on te fais remarquer une telle chose, d’ailleurs. « Je ne te fuis pas. » Si. Un peu. En partie. Disons simplement que visiblement, tu essaies de conserver une certaine distance, une distance que tu qualifierais, toi, comme raisonnable. Mais une distance qui semble le gêner, le contrarier, au point où il finit par l’effacer, à nouveau, pour te rejoindre. En quelques secondes, il est déjà de nouveau pratiquement contre toi, Analynn, et à nouveau, tu cherches le moyen de te sortir de là, c’est presque automatique. Tu te sens comme une brebis que le loup approche de trop près, comme s’il allait te dévorer d’une minute à l’autre.

    « Je ne trahirais pas ma parole, Léandre … » Tu finis par souffler, en osant relever le nez, pour guetter sa réaction. « Ce sera un mois, un mois entier, pas un jour, pas une minute de moins. » Mais tu sais que ce n’est pas sa question, Analynn. Le problème, c’est que tu ignores quoi répondre à ça, tu es là, mais visiblement, ça ne suffit plus, d’être dans la même pièce, voilà qu’il en est vraisemblablement à se demander si tu vas, oui, ou non, rester là, juste là, à ses côtés. Si ton regard va se poser sur lui, ou s’il va dévier. Et justement, alors que tu continues d’observer cette table, il vient te chercher, il détourne lui-même ton visage, il ramène ton regard jusqu’à lui, il te demande de le regarder, lui, et c’est exactement ce que tu fais. Tu le fixes, tu te permets même d’envoyer ton regard directement dans ses iris claires. « Tout comme j’ai au moins trois jours entiers pour te regarder, non ? » Le problème, tu vois, Analynn, c’est que, tu te rends compte que, quand tu le regardes, quand tu le regardes pour de vrai, tu ne vois fatalement plus que lui. Et te voilà à pencher la tête légèrement sur le côté, à lever la main, pour que tes doigts viennent effleurer son visage, suivre ses traits, se perdre dans la barbe de quelques jours.
    Analynn Marshall
    Gif : [DONE] Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver. (Léandre) - Page 2 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : [DONE] Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver. (Léandre) - Page 2 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2905
    Forces Armées - Major.
    Léandre A. Stellaa
    Ven 25 Déc - 19:25.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t55-leandre-on-ne-reveille
    Ca pourrait te faire hurler de rage, briser à nouveau la table, tiens, de l’entendre te dire qu’elle ne te fuie pas. Elle est là, oui, c’est vrai. Elle a accepté que tu la ramènes chez toi. Elle te donne un mois, mais la vérité, c’est qu’elle continue à fuir. Elle fait toujours un pas sur le côté quand tu tends la main vers elle. C’est comme une chasse, toi le terrible chasseur, elle la biche angoissée qui ne veut pas se laisser attraper. La vérité, Léandre, c’est que si tu as été le chasseur au départ, tu es juste devenu un curieux, qui veut s’approcher de l’animal égaré. Juste ça. Est-ce trop demandé ?

    Tu fonces sur elle quand tu la vois se passionner d’une manière bien trop dérangeante pour cette table. Et tu lui demandes ce qu’elle compte faire, comment ça va se passer. Et c’est peut-être ça le pire, mon vieux, parce qu’elle te promet de rester, de te donner tout le temps qu’elle t’a confié, tout jusqu’à la minute près. Et pourtant elle te fuit !

    « Je ne veux pas d’un mois où tu vis simplement ici. Je veux un mois où je peux venir à toi. Tu grognes, l’air toujours pas bien content. Un mois où tu me laisseras tenter de te convaincre de rester avec moi ! »

    Quel mauvais joueur tu fais, mon bon Léandre. À attraper son visage comme si tu étais jaloux d’une pauvre table que tu as payée toi-même. Tu exiges ce regard que tu juges avoir le droit d’avoir, peut-être même le mérité et elle finit par céder. Elle relève ses yeux noisette dans les tiens, et bon sang, Léandre, tu comprends que tu ne lui laisseras plus jamais détourner les yeux de ta personne.

    « Un mois. Tu souffles en secouant la tête. Un mois à me regarder, c’est notre marché ! »

    Tu es clairement en train de modifier un peu l’accord en ta faveur mais c’est habituel avec toi, mais ce n’est pas de ta faute, ce mouvement de main qu’elle a pour toi te fait cesser d’être sage. Ce qui l’est tout autant, c’est que tu avances, tu la forces à reculer, jusqu’à ce qu’elle soit coincée par la table. Et là mon vieux, tu te dis que tu vas lui offrir ce meuble qui l’intéressait tant à ta manière. Tes mains glisses sur ses flancs, jusqu’à la soulever brusquement pour la reposer assise sur la table en bois rouge sombre, et tu lui coupes toute fuite en te glissant devant elle, entre ses jambes.

    « C’est cours un mois, et je ne pourrais pas quitter mes responsabilités au QG, alors je réclame chaque minute où je serai là avec toi. Tu reviens caresser son visage du bout des doigts, glisser tes doigts dans ses cheveux pour les repousser en arrière. Je ne te demande pas ton accord, ce sera comme ça, et pas autrement. »

    Et tu vois, tu ne l’as pas lâché des yeux depuis qu’elle a accepté de relever la tête vers toi. Parce que toi, Léandre, tu n’as pas envie de regarder ailleurs ou de fuir...
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : [DONE] Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver. (Léandre) - Page 2 Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3364
    Guilde des Shifters - Béta.
    Analynn Marshall
    Ven 25 Déc - 20:01.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t102-ce-sont-des-choses-qu
    Pourquoi ressens-tu maintenant le besoin de le toucher, hein ? C’est pourtant l’une des choses que tu voulais éviter, à la base, mais voilà que tu rentres dans son jeu, en quelques sortes. Tu es bien sûr bien plus sage qu’il n’a l’habitude de l’être avec toi, tu ne fais que passer tes doigts sur son visage, soutenir son regard aussi, puisque, c’est ce qu’il semble vouloir de toi, maintenant, Analynn. Que tu le regardes. Le problème, en réalité, c’est justement que c’est ça, le problème, tu vois. Cet homme s’approche de toi d’une manière trop significative, tout en mettant de côté toutes les choses qui vous séparent. Vos origines, pour commencer. Toi, tu n’arrives décidément pas à passer outre … du moins, pas encore, alors, forcément, quand il commence à te dire qu’il veut ce mois à pouvoir venir vers toi, un mois où il pourra essayer de te convaincre, à sa manière à lui, et bien, tu te mords la lèvre, parce que, ça te fait réfléchir et te demander si tu peux réellement te permettre d’accepter une chose pareille. Tu ne t’attendais pas à ça, Ana, quand tu as parlé de rester un mois de plus, tu t’attendais sans doute à ce que rien ne change, mais ce que tu as fais ce soir semble avoir tout bouleverser, en quelques sortes, et maintenant, il te réclame chacun de tes regards …

    En fait, il a une telle manière de te dire les choses, Ana, que ça vient te faire rougir. Et quand tu sens ses mains sur tes flancs, quand il te soulève pour t’asseoir sur cette table et qu’il s’avance, là, entre tes jambes, tu te sens littéralement fébrile. Tu as de nouveau l’air d’un agneau, Analynn, à la différence que cette fois-ci, tu n’oses pas le repousser, pour ne pas le décevoir, par contre, tu n’oses pas le toucher, non plus, alors, tu poses tes mains, à plat sur la table, derrière toi, pour te maintenant à distance – autant que tu le peux – et tenir en équilibre.

    Il ne te demande plus ton avis, cette fois. Il a déjà décidé, et il l’a fait pour vous deux. « Léandre … » Mon dieu, voilà que ta voix est tremblante, maintenant, et toi qui refuse toujours d’admettre, et surtout d’accepter que cet homme te fait de l’effet … ça se voit, ça se voit complètement, ça ne peut même pas lui échapper, à lui. « On fera comme ça, autant que possible. » Tu fais tout de même l’effort de t’exprimer. Oui, tu lui accorderas tout ce temps, quand il sera rentré de son travail, tu seras là. « Chaque soirée. Chaque jour de repos. » Et oui, tu viens tout de même, subtilement, poser une limite qui te parais presque normale, sur le coup. Celle de la nuit, parce que, rappelons-le, tu dors dans ta chambre, et que tu doutes de pouvoir passer chacune de tes nuits éveillée. Ce serait étonnant qu’il y parvienne aussi d’ailleurs. Comme tu es naïve, parfois, hein.
    Analynn Marshall
    Gif : [DONE] Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver. (Léandre) - Page 2 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : [DONE] Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver. (Léandre) - Page 2 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2905
    Forces Armées - Major.
    Léandre A. Stellaa
    Ven 25 Déc - 20:16.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t55-leandre-on-ne-reveille
    Tu viens encore en prendre, plus toujours plus. Après être venu vers elle de force, avoir relevé sa tête, lui avoir demandé de te regarder, tu fais courir tes mains sur elle. Tu viens l’asseoir sur cette table que tu as choisi pour elle, parce qu’elle a eu le culot de te dire qu’elle aimait l’ancienne. Tu ne lui laisses plus aucune chance de s’en sortir, de partir et de fuir. Tu t’imposes, Léandre, comme tu sais si bien le faire, et tu vois sa rougeur oui, tu entends surtout le tremblement dans sa voix quand elle prononce ton prénom. Et ça te plait… Oh oui, Dieu que ça te plait !

    « On fera comme ça tout court. Tu la corriges, en continuant de la bouger, alors que tu as toujours une main dans ses cheveux fins, doux. Chaque jour qui passe, où je serai là, tu seras à moi. »

    Et tu continues en faite, Léandre. Tu modifies lentement mais sûrement les termes de votre marché, pour obtenir ce que tu veux vraiment. Ca te fait te rendre compte de ce que tu veux, justement. Ce n’est plus une histoire de gagner ou de perdre. Ce n’est même plus en lien avec ces informations sur le camp adversaire. C’est elle, sa personne, que tu veux. C’est pour cela que tu vas te battre pendant un mois. Tu veux pouvoir l’attraper et la tenir dans tes bras sans qu’elle ne s’éloigne. Tu…

    « Je ne perdrai pas, Ana. Que tu lui apprends, alors que la compréhension se fait lentement dans ta tête. Je ne peux pas perdre. »

    Parce que tu deviendrais probablement encore plus dur et incontrôlable que tu ne l’es déjà. Tu le sais, Léandre, si elle quitte Widerstand, tu mèneras tes trouves sur Fortschritt pour la retrouver. Tu raseras la ville, ne lui laissant plus que le choix de revenir avec toi. Parce que tu n’as aucune limite, c’est ce que tu découvres. Et finalement, mon vieux, tu reviens vers elle. Elle se tient en arrière pour t’échapper, alors tu te penches sur elle, vers elle, pour recommencer. Tu veux l’embrasser, c’est un fait, ça te trotte dans la tête depuis plusieurs jours. Et pourtant, tes lèvres sont à une once des siennes, les effleurant presque quand tu comprends que tu ne peux pas faire ça… pas sans son accord.

    « Fais chier.Que tu murmures, en laissant ta tête retomber sur son épaule à la place. Je suis crevé… J’ai besoin de dormir. »

    De te calmer et de prendre une douche froide aussi, d’ailleurs. Ceci dit, tu agis, réagis comme tu le fais toujours. Tu l’attrapes, la hisses dans tes bras avant de littéralement traverser la maison à grands pas. Et ce n’est pas dans sa chambre que tu la mènes mais dans la tienne, toute de teintes d’or et d’argent colorée. Tu la déposes sur ton lit, avant de te redresser et commencer à déboutonner ta chemise.

    « Je veux être certain que tu ne partiras pas cette nuit. Que tu lui apprends, d’une voix qu’on ne conteste pas. Je ne te ferai pas de mal, je ne te toucherai pas… Reste juste dormir avec moi. »
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
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    Guilde des Shifters - Béta.
    Analynn Marshall
    Ven 25 Déc - 20:44.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t102-ce-sont-des-choses-qu
    Il est littéralement en train de te rendre dingue. Il n’y a pas d’autre mot. Tu es coincée sur cette table, et tu es complètement à sa merci. Alors, oui, tu essaies quand même de lutter, tu essaies de garder un peu de cohérence dans votre nouvel accord, qui, finalement, ne fait que changer depuis tout à l’heure, qui se voit garni de nouvelles règles depuis que vous êtes rentrés, et toi, tu te rends compte que tu ne contrôles rien, que ça loin, de plus en plus loin, et que tu n’y peux littéralement rien. Et le pire ? Il ne compte pas échouer. Perdre, ce sont ses mots. Il ne perdra pas. Il compte bien réussir à te convaincre, à faire en sorte que tu finisses par rester ici, avec lui, et ça te fais comprendre plus clairement encore qu’il sera prêt à employer tous les moyens possibles et imaginables pour y arriver.

    Pour autant, Analynn, il arrive un moment où, finalement, tu passes outre ces histoires d’accord. Tu ne penses plus qu’à une chose : qu’il s’éloigne. Tu aimerais qu’il se redresse, qu’il fasse un ou deux pas en arrière et qu’il te laisse quitter cette table, te remettre sur tes jambes et … oui, t’échapper. Le problème, c’est qu’il a été très clair, il ne veut absolument plus que tu le fuis, alors, il est bien évident qu’il ne va pas t’offrir une occasion de le faire. En fait, il fait pire. Parce qu’au lieu de reculer, il avance, il se penche sur toi, et tu as un moment de panique, Ana. Parce que sa bouche s’approche dangereusement de la tienne et dans ta tête, c’est clair, il va revenir t’embrasser, et toi, s’il fait ça, tu pourrais bien craquer, t’y abandonner et ne plus penser à le repousser.

    Heureusement – on suppose – il s’arrête. Au moment où tu t’imagines déjà ses lèvres sur les tiennes, il se relâche et sa tête retombe dans le creux de ton épaule, tandis que tu soupires, que tu souffles un grand coup, en fixant intensément le plafond du salon, les yeux grands ouverts. Il est fatigué, il a besoin de dormir. Et ça te soulages, Analynn. Sauf que ça ne dure que quelques secondes, comme quoi, cette soirée n’est faite que d’ascenseurs émotionnels parce que pendant que tu te dis que tu vas pouvoir souffler une fois de retour dans ton lit, tu sens ses bras se refermer sur toi, puissamment, il t’attrape et te soulève, il t’emporte, il traverse le salon, il monte les escaliers et … et c’est dans sa chambre qu’il entre, c’est sur son lit qu’il te dépose. « Qu’est-ce que tu fais ? » Tu demandes alors, cédant à une sorte de panique qui est montée en toi, subitement, au moment où tu as passé la porte de cette chambre. C’est pire encore, quand il te relâche, qu’il se redresse pour se mettre à déboutonner sa chemise devant ton nez. Cette fois, il n’est pas décidé à prendre le moindre risque, il va te surveiller, Ana. Jour, et nuit. « Je t’ai dit que je resterais trente jours, je ne vais pas m’enfuir au beau milieu de la nuit ! » Tu protestes, oui, parce que, même s’il promet, même s’il a l’air sincère, pour le coup, en te demandant simplement de rester dormir ici et bien … ça veut tout de même dire pour toi de passer la nuit dans le lit d’un homme, et avec l’homme en question. « Tu peux m’enfermer dans ma chambre, si tu veux ! » Et tu roules sur le lit, oui, pour t’échapper – encore – et faire quelques pas dans la pièce pour t’éloigner du lit. « On n’a pas besoin d’en arriver là, si j’avais voulu partir, je l’aurais fait, Léandre. »
    Analynn Marshall
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    Forces Armées - Major.
    Léandre A. Stellaa
    Ven 25 Déc - 21:00.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t55-leandre-on-ne-reveille
    Tu ne réfléchis pas en faite. Tu voulais l’embrasser et les dernières miettes de ta retenue vont pour t’empêcher ce geste. Ensuite, tu te raccroches juste à quelque chose pour te calmer, pour passer à autre chose. Et c’est la fatigue qui met tes muscles en miettes qui vient trinquer. Tu n’as pas fait de nuit longue depuis des jours, pour ne pas dire des semaines. La chercher a brûlé de l’énergie. L’angoisse a dévoré ce qu’il restait, alors tu en arrives à la conclusion qui te faut dormir. Et ce, avec elle bien entendu.

    C’est comme ça que tu traverses toute la maison avec la jeune femme dans tes bras. Regarde-toi à l’emporter avec toi comme si elle était ta femme, ta princesse, alors qu’elle a quoi ? 3 ans à peine de plus que ta soeur. Ca ne devrait pas être ainsi, ça ne devrait surtout pas te sembler normal, mais tu le fais quand même, jusqu’à la déposer sur ton lit dans ta chambre, avant de te tourner à moitié pour retirer ta chemise. Tu n’as plus que ça en tête : dormir.

    « Je vais me reposer ? Que tu grognes à sa question, que tu ne comprends pas sur le coup. »

    Et bien entendu, elle ne va pas gentiment accepter que tu la gardes avec toi. La voilà qui refuse, qui jure encore de ne pas partir. Elle se met même à te dire que tu n’as qu’à l’enfermé dans sa chambre, si tu crains tant et toi tu fronces les sourcils, en te retournant vers elle. Tu ne l’as jamais enfermée, pourquoi commencerais-tu maintenant ?! Ceci dit, tu n’as même pas le temps de le lui dire, qu’elle roule sur le lit et…

    « Ah non ! Tu claques tout à coup en utilisant ce gène mutant pour littéralement venir lui couper la route avec une vivacité extraordinaire. Tu vas encore me fuir ! Que tu tentes de lui faire remarquer, pour qu’elle cesse ça, mais tu sais aussi qu’elle va te trouver de bons arguments pour prendre la poudre d’escampette, alors tu poses une main sur son épaule pour la stopper et tu captures ses yeux dans les tiens. Pourquoi tu pars ? Pourquoi tu ne veux pas rester ?! Je t’ai dit que je ne te ferai pas de mal, je tiens toujours mes paroles ! La colère revient ourler les traits de ton visage alors que tu continues de parler sans vraiment réfléchir. Je ne veux pas dormir loin de toi. Je veux sentir ta présence près de moi et te voir t’éveiller demain matin… Tu vas me dire que ça c’est inacceptable ? »

    Et… plutôt non, pour des gens qui ne sont pas ensemble, pour une femme qui est censée avoir déjà un compagnon, mais tu t’en fiches Léandre. Tu repousses tout cela loin de toi, tu fulmines, et quand tu sens que tes muscles se bandent, d’une manière bien peu sereine, tu retires ta main d’elle. Tu ne veux pas la blesser, c’est une constante depuis qu’elle est entrée dans ta vie. Alors tu recules, tu fais volte face et tu t’en retournes vers la chaise pas loin du lit, pour finir de retirer ta chemise avec des gestes rageurs.
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : [DONE] Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver. (Léandre) - Page 2 Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3364
    Guilde des Shifters - Béta.
    Analynn Marshall
    Ven 25 Déc - 21:27.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t102-ce-sont-des-choses-qu
    Il est tombé sur la tête. Tu n’as pas d’autre explication que ça, à ses réactions. C’est n’importe quoi, c’est complètement ridicule. On n’a pas idée de faire des choses comme ça, et d’en plus, les faire le plus naturellement du monde comme lui. Parce que oui, tu as l’impression de voir un couple de jeunes mariés, là, et bon sang, rien que cette pensée vient de frapper, c’est comme un bon coup de poing dans l’estomac. Et tu le sais, que tu avais dis que tu ne fuirais plus, mais là, c’est comme un automatisme, dés que tu sens que tu as la possibilité, tu roules sur le lit pour t’enfuir un peu plus loin. Et tu n’es pas bien loin de la porte, tu pourrais sortir dans la foulée, mais, visiblement, tu te retiens quand même pour prendre le temps d’essayer de marchander. Le truc, c’est que c’est complètement … étrange ce que tu racontes, même si, sur le moment, ça te parait avoir du sens, tu vois bien qu’il n’en est rien quand il approche vivement, et que sa main se pose sur ton épaule pour te retenir.

    Et c’est reparti, Analynn. Il râle. Il est mécontent. Tu le fuis à nouveau, et ça lui déplait carrément, alors il en vient à te questionner, puis à te donner ses raisons à lui et bon sang, ça te rend complètement chèvre alors, ça finit par éclater en toi, alors qu’il s’éloigne à nouveau pour finir de se défaire de sa chemise. « Pourquoi ?! Tu me demandes pourquoi ? » Est-ce que c’est si compliqué à comprendre, hein ? Comme si tu étais normal, entre vous depuis quelques jours. Comme si sa manière d’agir avec toi, était normale, bon sang. « C’est ta chambre, et c’est ton lit. » Oui, ça, tu n’as pas trop de doutes sur le fait qu’il le sache, m’enfin, bon. Soit. « Je suis … une femme, et tu es un homme ! » Oui, bon, alors ça aussi, c’est encore quelque chose qu’il n’ignore pas, assurément. Et pourtant, tu vois, sur le moment, ça te parait presque logique, et normal de lui rappeler tant il semble avoir oublier certaines choses complètement élémentaires. « Je ne dormais même pas avec mes amis enfance et toi, toi, tu me demandes le plus naturellement du monde de partager ton lit. »

    Ouais, là, clairement, tu espères qu’il commence à comprendre ton cheminement de pensée, parce que … c’est un homme qui a de l’éducation, et des manières, et tu le sais, tu l’as déjà constaté, parfois, il est même atrocement vieux jeu, vieux jeu mignon, c’est vrai, mais vieux jeu quand même, citons comme exemple ce genou posé au sol pour t’offrir des roses. Alors … comment peut-il penser que te mettre dans son lit pour « sentir ta présence » soit normal ? « C’est quoi ton problème, est-ce que … est-ce que j’ai raté un épisode ? Est-ce qu’on est mariés, ou quelque chose comme ça ? Non parce que, si c’est le cas, excuse-moi, alors, je suppose que je peux me permettre moi aussi. » Et ouais, t’as complètement perdu les pédales, pour le coup, parce que, te voilà à l’imiter, à retirer les boutons de ton chemisier, à tirer dessus pour le sortir de ton pantalon, pour le laisser finalement lâche, ouvert, les deux côtés reposant heureusement sur ta poitrine pour la dissimuler et l’ouverture n’offrant une vie que sur ce qui se trouve entre. « Et ça, alors, ça te parait normal encore ? »
    Analynn Marshall
    Gif : [DONE] Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver. (Léandre) - Page 2 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : [DONE] Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver. (Léandre) - Page 2 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2905
    Forces Armées - Major.
    Léandre A. Stellaa
    Ven 25 Déc - 21:59.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t55-leandre-on-ne-reveille
    Ca pourrait te donner envie de tout casser dans la chambre et ce serait bien dommage, Léandre, parce que tu l’aimes bien ta chambre. Tu y as tout arrangé à ton goût, pour en faire ta pièce. Ca a été ta manière de chasser ton ex-épouse de ta vie et de ta tête. Tu l’as effacée, pour n’y faire trôner que ta présence et aujourd’hui encore ta chambre, c’est un peu ton cocon, l’endroit où tu ne laisserais personne entrer sans ton accord. Force est de constater que c’est exactement ici, dans ton intimité et ton cocon que tu as mené la jeune femme. Tu commences à voir le truc venir ?

    « Je ne suis pas idiot ! Tu claques alors qu’elle t’énonce des faits que vous savez tout les deux pertinemment. Ce n’est pas parce que je suis un homme et qu’il y a une femme entre mes draps que je vais me jeter dessus ! Je sais me tenir, s’il te plait ! Et tu continues de rager, quand tu retournes la tête, pour venir planter ton nez à deux centimètres du sien, en provoquant encore les choses. C’est toi le soucis ? Tu ne peux pas dormir avec un homme sans te jeter dessus ?! »

    Ca te ferait bien rire, tiens. Elle qui semble avoir fait de sa vie une chose qui ne lui plaisait pas pour plaire au regard des gens, tu l’imagines bien mal être allée se jeter dans le bras d’autres quand elle pouvait se retrouver dans leur chambre. Et ça t’enrage tellement, mon vieux, que tu t’éloignes pour ne pas avoir un geste malencontreux. Tu retires ta chemise avec des gestes rageurs et quand tu te retournes, elle continue de s’énerver. Elle lance tout ce qui doit lui passer par la tête et quand elle se met à faire comme toi, a retiré sa chemise, tu ouvres de grands yeux. À quoi elle joue, exactement là ?

    « Analynn… Tu peux toujours l’appeler elle ne t’entend même pas. Et quand elle te demande si ça te paraît normal, tu t’empresses de revenir vers elle. Tu refermes son vêtement en le tenant d’une main, pour ne pas être tenté de l’ouvrir plus encore. Alors tu te déshabilles à moitié devant moi sans soucis, par colère, mais dormir avec moi sans qu’il n’y ait rien entre nous t’es impossible ? Tu es vraiment bornée, ma parole ! »

    Et c’est qu’elle a vraiment réussi à te mettre de travers, la jolie brune. C’est pour ça, sûrement, que tu l’attrapes à nouveau et que tu la jettes sans forme sur le matelas avant de la rejoindre dessus. Tes doigts s’entremêlent aux siens pour lui retirer l’idée de s’enfuir aussi sec et tu es tellement excédé, en faite Léandre, que tu lui balances :

    « S’il ne faut que ça pour que tu cesses de me casser les pieds, tu n’as qu’à m’épouser ! Je te trouverai tout ce que tu veux. Robe, bague, souliers ! Tu aurais ta raison pour rester et moi j’aurais le droit de dormir, ENFIN, en t’ayant prêt de moi. Tu l’attires dans tes bras, de forces oui oui, et tu poses ta tête sur l’oreille, yeux clos, épuisé. On verra ça demain, sois gentille, arrête de me prendre la tête ! »

    Et au fond de toi, t’es pas certain que ce soit le meilleur moyen possible pour la calmer hein.
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : [DONE] Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver. (Léandre) - Page 2 Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3364
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