Décidément … Tu aurais dû te retenir, aujourd’hui, Analynn. Prendre l’habitude de sortir était une chose, mais, visiblement, tu en étais arrivée à prendre trop de risques, surement à cause du fait que tu te sentais plus libre, de cette manière. Toujours est-il qu’en ce jour, rien n’est là pour t’aider à t’en sortir, et si tu pensais que tout irait, en montant dans ce fichu grenier, voilà que tu passes tout à coup à travers le plafond. Le fait de cogner sur les matériaux qui composent cette partie de la maison est déjà une épreuve qui, assurément, te laisseras de beaux bleus sur la peau, ma grande, mais le pire reste bien évidemment la chute, et plus particulièrement la réception.
Dans ton malheur, tu as un peu de chance – ou alors, est-ce de la chance que tu offres à ta comparse – puisque tu tombes pile sur deux des miliciens. Evidemment, ce n’est pas sans conséquence puisque, lorsque tu cognes le plancher, tu laisses échapper un cri de douleur ne laissant pas de place au doute quand au fait que tu viens de t’abimer quelque chose. Ta cheville, Ana, vient de craquer de façon fort inquiétante, mais tu n’as pas particulièrement le temps de t’en soucier puisque si tu viens bien malgré toi de mettre deux soldats hors course, le troisième, déjà, se précipite sur toi, littéralement fou de rage. Il approche, comme pour te ramasser au sol et, prise de panique, tu te décides à lui envoyer ton pied – celui qui se porte le mieux – directement dans les bijoux de famille en espérant que cela suffise à le calmer.
Dé d'attaque 4.
Dans ton malheur, tu as un peu de chance – ou alors, est-ce de la chance que tu offres à ta comparse – puisque tu tombes pile sur deux des miliciens. Evidemment, ce n’est pas sans conséquence puisque, lorsque tu cognes le plancher, tu laisses échapper un cri de douleur ne laissant pas de place au doute quand au fait que tu viens de t’abimer quelque chose. Ta cheville, Ana, vient de craquer de façon fort inquiétante, mais tu n’as pas particulièrement le temps de t’en soucier puisque si tu viens bien malgré toi de mettre deux soldats hors course, le troisième, déjà, se précipite sur toi, littéralement fou de rage. Il approche, comme pour te ramasser au sol et, prise de panique, tu te décides à lui envoyer ton pied – celui qui se porte le mieux – directement dans les bijoux de famille en espérant que cela suffise à le calmer.