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    Mer 23 Déc - 16:40.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t102-ce-sont-des-choses-qu
    Sérieusement, Analynn, comment est-ce que tu en es arrivée à discuter de ces sujets là avec un homme que tu ne connais même pas, et qui en plus, ne l’oublions pas, te retiens en otage chez lui ? Tu n’évoques même pas tout ça avec ta mère, mieux, tu n’as jamais pris le temps de discuter de tout ça avec … personne, en réalité. Tu ne sais même pas pourquoi, probablement que tu avais honte, ou alors, tu te posais encore la question de savoir ce qui pouvais être normal, ou pas. Ouais, c’est triste, Analynn, au final, c’est vrai que l’entendre porter ses jugements à la noix sur tout ça, et formuler ses remarques t’agaces au plus haut point, ça te fait te sentir clairement honteuse face à lui, et tu n’aimes pas cette sensation. Par contre, tu ne peux nier qu’une partie de ce qu’il te raconte est malheureusement très vrai, et qu’il parvient à te faire ouvrir les yeux mieux que n’importe qui ces dernières années.

    C’est pourtant ton esprit, clairement rebelle, qui te pousses à te défendre, et à essayer de l’envoyer balader. Tu fais comprendre ton mécontentement avec un peu de brutalité dans tes gestes, et surtout, tu viens lui dire clairement ce que tu penses de son comportement, ou plutôt, essayer de comprendre pourquoi ce genre d’histoires te concernant l’intéresse autant. Toi, tu y vois un comportement typiquement masculin, tu as cru remarquer ça, plusieurs fois, ces hommes qui se sentent obligés de se réjouir de la médiocrité des autres, parce que ça les fait se sentir plus puissants … Mais forcément, cet homme à réponse à tout. Et ça ne fait que t’agacer encore un peu plus.

    « Vingt-huit, pas vingt-neuf. » Comme si ça faisait une grande différence, sérieusement. Et te voilà, à boire, un peu trop, à avaler ce vin – qui est bon, d’ailleurs, et de qualité – comme si c’était un vulgaire jus de fruit, juste parce que tu es frustrée. D’ailleurs, ce vin, tu manques de le recracher quand tu l’entends te dire qu’il fera mieux. Il ne dit pas qu’il aurait fait mieux que ton compagnon, non, il fera mieux. « Vous f--… » Tu t’apprêtais à lui faire la remarque, mais finalement, tu te ravises. C’est stupide, bon sang, mais ça ne fait même pas deux heures que tu l’as en face de toi, et tu commences déjà à anticiper les moments où tu sais qu’il va te faire sortir de tes gonds si tu fais l’erreur de l’entraîner sur un certain terrain. Alors tu te tais, oui, tu ravales ça, aussi difficile que ça puisse être, et tu souffles un grand coup pour te retenir de lui envoyer ton verre au visage, tiens.

    Le pire c’est que tu n’es pas au bout de tes peines. Tu aimerais qu’il te lâche avec tout ça, et qu’il passe à autre chose mais, il te rappelle que c’est ça, ou les fameuses informations que tu refuses si catégoriquement de lui offrir. Il a malheureusement toutes les bonnes cartes en main, c’est lui mène le jeu, et si ça te déplait – tu es mauvaise perdante, assurément – et bien, tu sais aussi que tu ne peux pas y faire grand-chose, à défaut, tu préfères étaler ta vie personnelle que de lui fournir du grain à moudre sur l’endroit d’où tu viens. « Très bien … » Tu évites de dire clairement qu’il a gagné, et tu recules un peu, sur ta chaise, pour finalement venir piquer une pomme de terre et l’engloutir, n’oublions pas que tu as faim, tout de même. « Ce n’était qu’une relation de complaisance, si vous voulez tout savoir. C’est du moins la conclusion à laquelle je suis arrivée, et si rien ne m’était arrivée, ce soir, et bien je lui aurais annoncé que je voulais y mettre fin. » En clair, il avait raison, pour toi, la page est déjà tournée, et malheureusement, elle l’est depuis un bon moment. « C’était sympa, au début … mais je me suis rendue compte après quelques années que j’avais besoin de plus, malheureusement pour moi, mes parents me voyaient déjà mariée, de même que sa famille à lui. J’ai simplement évité le scandale en détruisant tout. Vous savez ce que ça fait, d'avoir quelqu'un qui vous embrasse tous les jours alors que ça ne vous fait rien du tout ? Moi oui. Pas de plaisir, pas de satisfaction. Rien. » Et du coup, tu t’es infligée plusieurs années supplémentaires, t’empêchant en plus d’essayer d’autres choses, et de rencontrer un autre homme. « Vous êtes satisfait ? » Que tu finis par lui demander. « Vous devriez vous trouver une femme bien à vous, au lieu de vous amuser à démêler les problèmes de couple des autres, vous savez. »
    Analynn Marshall
    Gif : [DONE] À quoi ça sert de sauver la vie quand on voit ce que vous en faites. (Léandre) - Page 4 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : [DONE] À quoi ça sert de sauver la vie quand on voit ce que vous en faites. (Léandre) - Page 4 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2911
    Mer 23 Déc - 17:41.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t55-leandre-on-ne-reveille
    Tu es vraiment un sale type, à travers un sourire presque agréable et un repas clairement de haute gamme pour cette époque. Tu le sais Léandre et c’est un des facteurs qui t’amuse le plus. Encore plus qu’elle, elle ne sait pas vraiment ce qu’on dit de toi. Tu continues de rouler des mécaniques, d’une certaines manière, et ton rire revient se faire entendre quand elle te corrige sur son âge. Attention, tu le sais à cause d’Enyo, mais te tromper d’un an pour une femme, ça peut être bien mal pris.

    « Vingt-huit, toutes mes excuses, mademoiselle ! »

    “Mademoiselle”, regarde comme tu continues à ramener cet homme qu’elle a dans sa vie à un simple résidu de poussière, que tu te feras ensuite un plaisir d’effacer et de chasser d’un mouvement de main. Tu es infernal, et ça t’amuse, encore plus que le fait de l’avoir attrapé ou de devoir la piéger chez toi le temps d’obtenir ce que tu veux. Tu es en position de force et tu le sais, alors tu en joues en gardant à l’esprit que ça se retournera peut-être contre toi un jour.

    Au final, elle rend les armes et accepte de te parler plus clairement d’elle, ou plutôt de cette prétendue relation qu’elle entretenait. Tu la laisses s’installer comme elle le veut, et tu reviens attaquer ton repas en te ravissant de ce qu’elle explique. Rien dans cette relation n’avait de sens, c’est quelque chose que tu comprends rapidement. Et il faut qu’elle te pose cette question rhétorique sur le faire d’être embrasser sans ne rien ressentir, pour que tu cesses de manger et relève ton visage souriant vers elle.

    « Absolument pas, mais j’imagine combien cela est désagréable. Ceci dit, c’est vous et non moi qui vous êtes bloquée toute seule dans cette relation pour simplement… quoi ? Plaire à votre famille ? Ton regard se fait dur, tout à coup, mais tu lui livres un peu de qui tu es en continuant sur ta lancée. Vivez pour vous-même, pas pour les autres, et vous ne serez plus jamais dans cette situation. Prenez ce que vous voulez, laissez le reste. Les jugements vous tomberont dessus que vous soyez parfaite ou pas, alors autant être libre. »

    C’est exactement ce que tu as fait, toi-même et tu t’en sors plutôt bien non ? Tu oublies d’omettre que la puissance de ton nom t’a évité de te retrouver au fond du gouffre de la société, inconnu et rejeté. En faite, tu n’y penses presque jamais, au fait que tu peux bien faire ce que tu veux, de base tu es un privilégié qui pouvait se le permettre.

    « Ma curiosité l’est, en tout cas. Tu réponds. Je ne cherche pas de femme, mais qui sait, je la trouverai peut-être un jour. En attendant, je me délecte de celles qui croisent mon chemin. »

    Et tu reviens t’attaquer à ton repas, plus silencieux qu’avant. Pendant un moment, tu ne dis plus rien. En faite, tu attends de finir ce qu’il y a dans ton assiette pour ramener ton attention sur elle, alors que tu as ton verre entre les doigts. Il te faut encore quelques minutes d’observation silencieuse avant que tu ne brises le silence.

    « Avez-vous encore faim ? Tu la resserviras si besoin en est. Si vous n’avez plus besoin de rien, je vous montrerai là où vous dormirez pour l’instant. Tu as toujours ce sourire en coin, en terminant ton verre. Je pars tôt le matin, mais je ferai en sorte de ne pas rentrer trop tard, je vous prierais de bien vouloir rester entre ces murs pendant mes absences. »
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : [DONE] À quoi ça sert de sauver la vie quand on voit ce que vous en faites. (Léandre) - Page 4 Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3370
    Mer 23 Déc - 18:42.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t102-ce-sont-des-choses-qu
    Il vaut mieux ça que Fortschritt, Analynn. Beaucoup trop de choses en dépendent, alors que la stupidité de ta vie amoureuse toute plate ne concerne que toi, alors, tant pis, si tu as honte de tout ça, tant pis, si tu dois subir les petites attaques du bonhomme, ton choix est bien évidemment vite fait. Et finalement, tu lui déballes tout ce que tu avais sur le cœur depuis bien trop longtemps, il y a d’ailleurs une certaine animosité dans ta voix, et le pire, c’est que tu sais parfaitement que si tu dois être en colère contre quelqu’un, et bien c’est contre toi-même tout simplement, parce que tu es celle qui a fait le choix de se taire et de laisser les choses se faire de cette manière. Et dire que tu aurais pu trouver quelqu’un qui te correspond mieux, le piment de ta vie, parce que, c’est bien de ça dont tu aurais eu besoin, Analynn, quelqu’un capable de t’enflammer du bout des lèvres, ou de la pulpe de ses doigts.

    Et évidemment, tu n’échappes pas à son avis, donné dans le moindre tact, et sans la moindre retenue. Heureusement, tu t’y attendais, alors, tu te contentes de l’encaisser … au fond, il n’a pas tort, tu n’as pas spécialement le droit de te plaindre d’une situation dans laquelle tu es restée de plein gré, et de ton propre chef, surtout. Si tu avais parlé, peut-être que finalement, les choses se seraient très bien passées. Malheureusement pour toi, tu ne le sauras jamais. « Tout à l’air si simple quand ça sort de votre bouche … » C’est vrai, hein. Il te dit les choses d’une telle manière, que ça te parait être d’une logique implacable. « Mais je vous l’accorde, c’est en grande partie de ma faute. »

    Et d’ailleurs, il a une vie, et une façon de vivre que tu pourrais envier … il n’est pas coincé dans quoi que ce soit, lui, déjà, parce qu’il refuse de l’être, qu’il fait ses choix et qu’il les applique en conséquence. Ça lui permet de profiter des choses que la vie met sur son chemin, ce qui n’a jamais été ton cas. Il est probable que ces dix dernières années, tu aies croisé un, ou plusieurs hommes qui auraient pu te convenir, évidemment, tu n’as rien vu, et tu as laissé passer ta, ou tes chances. Rageant, n’est-ce pas ?

    Tu te concentres sur ton assiette. Le silence est retombé, et tu viens satisfaire ton appétit, parce ton estomac te le réclame, et que Léandre semble t’offrir un peu de répit de par son silence. Quand tu repousses la vaisselle sur la table. « Absolument pas. » Tu as bien manger. Le repas était chaud, il était bon, réconfortant, et il a rempli le creux de ton estomac malmené par ces trop longues heures de jeun. Puis que tu es bien apprise, lorsque tu te lèves, c’est avec ton assiette, tes couverts, et ton verre entre les mains pour tout placer dans le large évier de la cuisine. « Pour l’instant … » Tu répètes. « Et vous vous attendez réellement à ce qu’une personne que vous retenez prisonnière reste sagement ici, à vous attendre, sans rien tenter, toute la journée ? » Ça te parait … surréaliste. Et franchement, tu ne te caches même pas du fait que tu vas forcément chercher à partir d’ici dés qu’il aura débarrasser le plancher. « Mais soit … allons-y, montrez-moi donc le reste de ma prison. »
    Analynn Marshall
    Gif : [DONE] À quoi ça sert de sauver la vie quand on voit ce que vous en faites. (Léandre) - Page 4 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : [DONE] À quoi ça sert de sauver la vie quand on voit ce que vous en faites. (Léandre) - Page 4 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2911
    Mer 23 Déc - 20:02.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t55-leandre-on-ne-reveille
    Tu passes somme-toute un agréable repas, Léandre. La jeune femme qui partage ta table, bien qu’elle soit ta prisonnière, a de la conversation et du répondant et tu mentirais si tu disais ne pas apprécier ça. Toi qui a pris l’habitude de manger en silence, en relisant des notes ou en écoutant un morceau de musique, tu ne peux qu’apprécier la compagnie de quelqu’un dans ta sphère privée. C’est exactement ce dont tu as besoin, plus encore que de soutien ou d’admirateur dans ton boulot. Tu veux vivre, et là, Léandre, tu te sens vivant.

    Si tu ne relèves pas sa remarque sur la simplicité de la chose, c’est uniquement parce que, juste après, elle vient reconnaître être la responsable (au moins en partie) de ce qui lui arrive. Pour toi, mon vieux, c’est une victoire de plus, que tu fêtes en finissant ton verre et sans parler. Tu la laisses finir tranquillement son repas également, et décliner ta proposition pour la resservir. Lorsqu’elle se lève, attrape ses couverts et son assiette, tu la regardes, avant d’en faire autant. La personne qui fait le ménage, en matinée, sera surprise de voir la table débarrasser, puisque tu ne le fais jamais, mais devant Analynn, tu veux visiblement te montrer sous un meilleur jour qu’auprès de ton personnel.

    « En effet, c’est ce à quoi je m’attends. Je pourrais vous dire que vous serez abattu à vue si vous quitter la maison, ou que je vous livrerai aux miliciens, mais je n’ai pas envie d’arriver à de telles menaces. Tu reviens vers elle, près vraiment. Vous êtes intelligente, Analynn, et je ne dis même pas ça pour gagner vos faveurs. Vous savez que vous avez tout à gagner à rester en sécurité ici, non ? »

    Ton sourire s’étire, vient peser sur elle comme on tente de faire comprendre un sous-entendu à quelqu’un. Puis quand elle t’autorise à la mener à sa chambre, tu hoches la tête. Ta main au bas de son dos, tu la pousses légèrement pour lui faire traverser la salle à manger, puis le salon. Tu lui présentes les pièces avant de revenir à l’escalier qui mène à l’étage.

    « Les chambres sont en haut. Ta main est toujours au même endroit, l’effleurant à peine. Allons-y. »

    Et te voilà donc à l’entraîner dans le couloir de l’étage, où elle connait déjà l’emplacement de la salle de main. Tu cognes un doigt contre une porte en lui expliquant que ce sont tes quartiers, avant de lui ouvrir la porte juste en face de la tienne. Tu allumes la lumière, laissant l’ampoule orangé éclairer une belle pièce, grande, possédait un grand lit pour deux, entourés de baldaquin. Des fauteuils dans un coin font un espace à part et une grande bibliothèque couvre le mur face au lit.

    « C’est l’une des chambres d’amis, vous devriez y être à votre aise. Tu t’avances dans la pièce, retire les coussins de décoration puis plie la couverture en partie, comme une invitation à aller se reposer. Il n’y a pas de volet, mais les rideaux suffisent amplement normalement. Tu reviens vers elle, calmement, jusqu’à devoir pencher la tête pour l’observer. Pas de cellule ici, je ne suis pas un monstre. Et tu te penches légèrement vers elle, avec ce sourire retenu, presque mystérieux. Ca vous ira quand même ? »
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : [DONE] À quoi ça sert de sauver la vie quand on voit ce que vous en faites. (Léandre) - Page 4 Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3370
    Mer 23 Déc - 20:26.
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    C’est drôle, parce qu’il expose ses menaces, pour finalement préciser qu’il n’a aucune intention d’en arriver là, et pourtant, toi, tu comprends bien que c’est une menace à peine voilée. Il ne le fera pas. Evidemment, il n’empêche qu’il a tout de même poser ça là, l’air de rien, et que tu ne peux pas t’empêcher de lever les yeux au ciel. Il approche, à nouveau, il vient bien trop près de toi pour t’offrir la suite de ses paroles. « La flatterie, ça ne fonctionne pas avec moi, Monsieur le Major. » Faux. Ça fonctionne même parfaitement, en réalité, mais tu n’as aucune envie qu’il ne se serve de ça contre toi. Par contre, il parvient tout de même à insinuer le doute dans ton esprit, Ana, et ça, tu sais que ce n’est pas bon du tout. Tu te demandes maintenant si ça vaut le coup de prendre potentiellement le risque de sortir d’ici … tu pourrais vivre une seconde très mauvaise journée, et honnêtement, tu doutes d’en avoir envie.

    Tu finis par le suivre. Tu sens sa main, frôler le bas de ton dos, tandis qu’il te guide jusqu’à l’escalier que vous montez tous les deux pour vous retrouver dans le long couloir que vous avez longé tout à l’heure. Ton regard se pose sur la porte de salle de bain, comme pour y mettre un repère mental, et tu en fais de même avec la porte de ses quartiers qu’il te montre brièvement. Tu ne pourras pas manquer cette dernière, d’ailleurs, puisque la chambre qui sera la « tienne » se trouve juste en face.

    Si tu t’attendais à te retrouver dans une petite pièce, avec tout juste un vieux lit, voir uniquement un matelas, c’est dans une chambre immense que tu te retrouves, décorée avec vous. Un lit à baldaquin atrocement élégant. Des fauteuils. Une bibliothèque. Tes pieds viennent effleurer le plancher de la pièce que tu parcours du regard avant de t’arrêter en plein milieu. Tu l’observes, lui, tandis qu’il retire le trop plein de coussin, et qu’il défait en partie le grand lit avant de revenir à toi. « Vous avez une drôle conception de l’idée de retenir quelqu’un prisonnier, vous savez ? » On pourrait presque croire que tu es une invitée de marque, à la place, tiens. Toi, évidemment, tu sais qu’il n’en est rien, que tu es là contre ta volonté. Et pourtant, de minute en minute, tu as l’impression que même ça, ça s’efface, petit à petit.

    Il se penche à nouveau sur toi, il te sourit, encore, et pour cette fois, tu t’échappes de sa présence pour lui fausser compagnon et aller t’asseoir sur le grand lit, sautillant légèrement, pour tester le matelas. « Le matelas m’a l’air un peu dur, mais je pense que ça fera l’affaire, effectivement. » C’est ça, Analynn, fait donc la maligne. Cette chambre est parfaite, bien évidemment, dans ton malheur, on pourrait presque dire que tu es sacrément chanceuse. Et puis, il t’intrigue, cet homme-là. Tu le trouves étrange, et ça te donnes envie de creuser … et pour creuser, il faudrait que tu restes dans ses pieds.

    Tu te permets finalement de t’allonger, et tu sais quoi ? Tu échappes un long soupire de contentement, parce que, ça te fait sacrément du bien, de t’étendre de cette façon. C’est comme rentrer chez soi après une longue et laborieuse journée de travail. « Je suppose que c’est le moment où je suis censée vous dire bonne nuit, et à demain, non ? »
    Analynn Marshall
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    Mer 23 Déc - 20:41.
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    Tu as un certain plaisir à lui présenter ta maison comme si elle n’était rien d’autre qu’une invitée que tu voudrais impressionner. Ce qui est drôle, en faite Léandre, c’est qu’il y a un peu de ça. Tu veux l’impressionné parce que tu aimes briller au regard des gens, mais surtout tu veux la convaincre de rester entre les murs de ton habitation pour éviter de lui courir après. Parce que tu n’as pas envie que quelqu’un d’autre mette la main sur elle. Peut-être aussi parce que tu crains de la perdre, et qu’on ne lui fasse du mal. Peut-être.

    Te voilà donc à remonter l’escalier, lui montrer où est ta chambre puis lui ouvrir la sienne. Et tu sais que tu as fait ton petit effet, quand elle te fait remarquer ton étrange notion d’avoir un prisonnier sous ton toit. Un sourire presque angélique revient auréoler tes lèvres, alors que tu reviens près d’elle, beaucoup trop près même.

    « Je préfère vous garder avec moi avec votre consentement. Si vous traitez comme vous le méritez me permet de ne pas vous perdre, je le ferai avec grand plaisir. »

    Bah tiens hein. C’est étonnant que tu le lui dises si franchement, pas que tu le penses. Et si tu t’approches encore un peu, pour l’observer de près, pour sentir son odeur aussi, elle finit par s’écarter de toi et aller tester le matelas. Et toi, Léandre, tu restes là, dans la pièce, les bras croisés et un air plutôt content sur le visage. Tu la laisses faire sa précieuse, chercher un pseudo problème du matelas en sachant pertinemment que la pièce est parfaite, et quand elle se couche sur le matelas, tu ne retiens même pas tes yeux qui glissent sur ses jambes nues, tentant d’attraper un peu d’interdit au passage.

    Au final, tu restes là à la regarder et il faut que tu entendes sa voix, te demandant comment ça se finit pour que tu te bouges. Tu pourrais partir, lui souhaiter bonne nuit et fermer la porte, mais ce serait bien mal te connaître. Tu as retenu tout ce qu’elle a dit, surtout certaines parties de ses confessions, et tu viens vers elle, tu te penches sur elle pour l’observer avec un sourire.

    « Il est temps de dormir, en effet. J’ai du personnel qui passera à la maison en journée, veuillez vous montrer respectueuse avec eux, ce sont eux qui tiennent la maison propre et ont préparé le repas que vous avez mangé. Ta main se tend, et tu viens simplement passer un index contre son front, remettant une de ses mèches de cheveux du bon côté de son visage. En cas de souci cette nuit, vous savez où je serai. »

    C’est une invitation ? Sûrement. Et tu pourrais partir, Léandre, sur ça maintenant. Mais non. Tu te penches. Tu ne lui laisses pas vraiment le choix d’accepter ou pas, de te repousser ou pas. Tu viens effleurer ses lèvres des siennes, un instant, comme pour la préparer à l’évidence, avant de lui voler tout bonnement un baiser léger certes, mais comme tu sais le faire si bien pour faire tourner la tête des femmes.

    « Bonne nuit, Analynn. Tu lui souffles avant de te redresser, comme si de rien n’était et traverser la pièce rapidement. Tu attrapes la porte, sort, et avant de refermer complètement le battant, tu ne peux pas t’empêcher de lui lancer, avec un sourire victorieux. Moi, je ressens des choses quand j’embrasse quelqu’un. »

    Du plaisir. De l’envie. Une bonne dose de victoire. Une pincée de douceur. En résumé, l’envie certaine de lui embrouiller complètement la tête.
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
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