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    Mar 22 Déc - 15:31.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t102-ce-sont-des-choses-qu
    « Pas grand-chose … » Tu souffles, à sa question, un peu étrange, finalement, parce que ce n’est pas dans tes habitudes de parler en faisant des sous-entendus. Tu préfères généralement dire les choses clairement, et comme elles sont, alors là, même toi, tu es dans l’obligation de prendre un petit temps de réflexion pour comprendre et savoir quel message exactement tu essayais de faire passer avec tes paroles. « Disons simplement que je trouve votre comportement très étrange. » Voilà. C’est ta seule et unique conclusion, Analynn. Rien de ce qui t’es arrivée ce soir ne colle, tu as l’impression face à plein de pièces de puzzle, mais qu’aucune ne provient du même, c’est déstabilisant.

    Finalement, tu cèdes un peu de terrain, ma grande, sans te rendre compte qu’il peut être dangereux pour toi d’agir de la sorte. Tu avais dit que tu serais muette comme une tombe, et il te faut un instant de faiblesse, un seul, pour dévoiler une partie de ta propre histoire. Qui dit que tu n’en viendras pas à donner des informations importantes au cours d’une discussion pleine de banalité ? Personne. Simplement parce que, visiblement, ce Léandre est bien plus doué que n’aurait pu l’imaginer pour obtenir ce qu’il veut obtenir. En revanche, si tu ne dis rien, pour ne pas provoquer de nouvelles menaces, tu sais que tu es prête est prendre les paris quant à celui qui aura l’ascendant sur l’autre, parce qu’au meilleur de ta forme, il est difficile de te dominer.

    Il a ces paroles, Ana … qui te frappent et te percutent. Non, il n’ira jamais se mêler d’affaires qui viennent de Fortschritt, tu aurais dû t’en douter, par contre, voilà qu’il t’offre presque trop généreusement une place ici, à Widerstand, et ça te fais souffler du nez tant ça te parait surréaliste. « Pourquoi faire ? » Tu demandes, avant de sentir ses mains dans tes cheveux, et ça, ça te déstabilise complètement, tu perds même le fil de tes mots, quand l’élastique saute de tes cheveux qui s’éparpillent à nouveau sur tes épaules. Tu as du sang dans les cheveux. Ce sont des mots simples, et pourtant, tu ne les comprends pas tout de suite. « Qu’est-ce qu--… » Tu sens ses doigts, sur ta nuque, il pousse en avant, et te forces à pencher la tête. Il propose, oui, mais finalement, tu n’as pas tellement d’autres choix que de le laisser faire et ça te surprends une nouvelle fois, parce que ça, tu aurais pu le faire toute seule.

    Et effectivement, durant le temps où tu te retrouves la tête penchée en avant, tandis que l’eau coule le long de tes mèches brunes, tu réfléchis. A ce qu’il vient de te dire, en effet, mais aussi et surtout, à sa façon d’agir, et franchement, même en profitant des quelques minutes à te disposition pour y penser … tu ne trouves pas de réponse. Ce dont tu te rends compte, par contre, c’est du contraste existant entre sa façon d’agir, et ses gestes. Que ce soit pour ton visage, ton dos, ou maintenant tes cheveux, il n’a pas été brusque, ou trop rapide, bien au contraire, alors, quand tu redresses la tête, tu attrapes toi-même une serviette posée non loin pour la jeter sur ta tête et frictionner ta tignasse, oubliant sans doute un instant que ton haut se trouve toujours sur le carrelage, plus loin. « J’ai une vie chez moi, vous savez. Des parents, de vrais parents. Et un … compagnon. » Tiens, tu as délaissé le mot fiancé, il faut dire que tu n’as jamais souhaité l’épouser, alors bon, finalement, ce n’est pas si indiqué que ça. « Qu’est-ce que j’ai ici ? Il n’y a pas un visage qui me soit familier … » Tu finis par laisser la serviette retomber sur tes genoux, et puis, tu te tournes légèrement, à nouveau, pour reposer tes yeux vers sur sa silhouette. « Vous en avez terminé ? Ou est-ce que vous comptez me donner le bain, maintenant ? »
    Analynn Marshall
    Gif : [DONE] À quoi ça sert de sauver la vie quand on voit ce que vous en faites. (Léandre) - Page 3 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : [DONE] À quoi ça sert de sauver la vie quand on voit ce que vous en faites. (Léandre) - Page 3 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2911
    Mar 22 Déc - 16:07.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t55-leandre-on-ne-reveille
    « Je vois. Tu reconnais quand elle parle de l’étrangeté de ton comportement. Vous finirez pas vous y faire. »

    Parce que tu ne comptes pas la laisser partir avant un moment et que d’ici là, ton comportement se fera certainement plus clair pour elle. Pour toi aussi, peut-être, ou en tout cas tu auras eu le temps de prendre du recul et réfléchir. POur l’instant, Léandre, tu agis beaucoup trop à l’instinct. Tu as choisi d’oublier quelques heures qui elle est et surtout d’où elle vient pour simplement la remettre sur pied. Et tu es assez bien élevé pour savoir traiter une femme avec une certaine forme de douceur.

    Si tu entends sa question, plus rhétorique qu’autre chose à ton sens, tu ne lui laisses pas un instant de répit et te voilà à faire basculer sa tête en avant. Elle semble surprise mais de toute façon, il est bien difficile de t’arrêter quand tu t’es mis une idée en tête, alors tu viens attraper ce pichet d’eau et tu humidifies ses cheveux, avant de les lui laver doucement, en faisant attention à ne pas tirer bêtement dessus. Quand tu en finis Léandre, tu as les épaules tendues, la nuque douloureuse et surtout ta chemise est tâchée d’humidité. Sans sembler t’en rendre compte tu laisses la jeune femme attraper une serviette et tu te redresses un peu, sans retenir tes yeux de glisser sur elle, un court instant.

    « Des gens que vous estimez tant que ce n’est pas vers eux que vous avez cherché à vous réfugier ? Tu lui rétorques, en retournant vers l’armoire de la pièce. Encore, je peux entendre pour vos parents, mais cet homme… Tu sors une chemise propre, avant de te tourner vers elle, un sourire dur et ravi à la fois sur le visage. Si vous n’êtes pas allez lui demander de l’aide, alors autant le rayer de la liste des gens qui comptent là-bas, Analynn, vous l’avez déjà mis de côté pour passer à autre chose. »

    Et bon dieu, tu es si certain de toi que ça doit en être hautain et désagréable de t’entendre dire ça, Léandre. Pourtant, tu t’en fiches de probablement la mettre à mal. Déboutonnant ta chemise, tu la jettes dans un panier sans pudeur avant d’enfiler une nouvelle sur toi et de la refermer en grande partie sur ton torse

    « Le mien finira par le devenir, non ? Tu lui demandes, sans la regarder, alors que tu fouilles à nouveau dans l’armoire. Et puis bon, vous ne m’avez pas dit que vous vous en sortirez toute seule ? Autant rester ici, donc. Et elle t’attaque sur le fait que tu t’es occupé d’elle, alors Léandre, quand tu te retournes à nouveau vers elle, un tissu doux, soyeux et noir dans les bras, tu ne te prives pas de la regarder. Non merci, j’ai mal au dos. Rude journée. Et un sourire satisfait s’étire sur ton visage. Sortez donc de là et dites-moi si ça vous va. »

    Tu poses sur une chaise la tenue que tu as dans les bras. Une combinaison pantalon noir, en satin brillant, avant de reculer d’un pas, et de lui dire :

    « C’est à ma soeur, vous faite sa taille et approximativement son poids. Ceci dit, si vous préférez, je peux toujours vous prêter une de mes chemises. »

    L’un dans l’autre, tu sais que tu vas apprécier ce que tu vas voir. Ta soeur a un goût remarquable pour choisir des vêtements chic et sexy, parfaitement taillé pour elle. Et même si elle ne te fait pas le plaisir d’enfiler la tenue, voire une femme dans tes vêtements ne va pas te déranger beaucoup plus. Comme quoi, Léandre, les astres s’alignent pour adoucir ta soirée.
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : [DONE] À quoi ça sert de sauver la vie quand on voit ce que vous en faites. (Léandre) - Page 3 Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3370
    Mar 22 Déc - 19:07.
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    Incroyable un tel discours, n’est-ce pas ? Comme si tu étais venue ici pour changer de vie, Analynn. Tu ne fais que fuir, toi, protéger ceux qui restent en quelques sortes. Tu ne sais pas si c’est la bonne façon de faire, et si ta disparition soudaine convaincra tes bourreaux de rester loin de tes parents, mais, c’est la seule solution qui t’est venue en tête et maintenant que c’est fait, tu ne peux décemment plus revenir en arrière. Tu aurais pu le faire, si les choses s’étaient passées autrement. Tu aurais pu rester à Widerstand quelques temps, et puis faire le chemin inverse à un moment donné … le temps que ça se tasse. Ouais, enfin, maintenant, tu sais bien qu’il est inutile d’y penser, et d’y réfléchir étant donné que tu es coincée ici, et que tu as bien compris que ce type n’était pas décidé à te laisser partir. Qu’on se le dise, ma belle Analynn, tu es dans de beaux draps …

    Tu fronces pourtant à nouveau les sourcils, quand il se permet quelques mots au sujet des gens que tu évoques. Tes parents ? C’est une raison valable, à ses yeux, en revanche, l’homme que tu as qualifié de fiancé, puis finalement de compagnon, c’est autre chose. Et tu veux connaître le pire, dans tout ça, Ana ? C’est qu’il a raison. Tu te posais énormément de questions ces derniers jours, quant à cette relation, tu te disais que c’était dommage, tu te disais que c’était plat, aussi, surtout. Tu t’ennuyais, Analynn, parce que, ton compagnon est un homme bon, et un homme bien, mais votre relation est ancienne, et elle n’a absolument pas évoluer dans le bon sens. « Je ne vous permets pas. » Que tu finis par cracher, tout de même. Et ça, c’est surtout que tu ne veux certainement pas admettre un échec … parce que, c’en est un, d’échec, une relation qui dure depuis presque dix années, et qui patauge, qui te donne l’impression d’aller droit dans le mur. Tu n’es pas vieille, et tu n’es pas perdue, mais ce qui t’ennuies, c’est l’idée que finalement, tout est à refaire.

    Tu as fini par te redresser, dans la baignoire, la serviette contre toi pour cacher ce qu’il y a cacher de ton corps, tu n’es pourtant pas encore sortie de là, tout simplement parce que tu es encore humide. Tant qu’à faire, tu aurais dû te défaire du reste de tes vêtements, parce que maintenant, tout est humide, Ana. Ton regard s’est arrêté sur le Major, contrairement à toi – il faut dire que c’est un homme, quoi – il n’a pas la moindre gêne à se défaire de sa chemise pour la changer sous tes yeux, et toi, pour le coup, tu n’as pas la politesse de te détourner. « Vous avez des arguments … » Tu ne peux que l’avouer, clairement. C’est vrai que, vu ton caractère, tu pourrais bien tout recommencer. Par contre, tu sais que tes parents finiraient par te manquer, et ce ne serait pas correct pour eux, que de les laisser en arrière. « Vous avez effectivement un visage que je ne suis pas près d’oublier. »

    Tu finis par te sortir de la baignoire, complètement. Tu jettes alors un regard perdu et désespéré au reste de ton chemisier, par terre. Tu ne peux pas le remettre, et que dire du pantalon que tu portes ? Humide. Sale, lui aussi. Cela dit, encore une fois, Léandre à la solution a ton problème et tu as la surprise de le voir te tendre un vêtement très … féminin. Tu lui lances un drôle de regard, tu n’as pas détecté la présence d’une femme dans cette maison, que ce soit dans le salon, ou cette salle de bain, alors forcément, tu es prise de court, jusqu’à ce qu’il évoque sa sœur. La combinaison est plus habillée que tout ce que tu as l’habitude de porter au quotidien … « On pourrait presque croire que vous aviez tout prévu. » Tu observes encore le vêtement, le retourne plusieurs fois entre tes doigts et puis, tu le lui rends. « Il est tard. Si je m’endors avec ça … elle sera fichue, et ce serait dommage. Je préfère froisser une de vos chemises. »

    Et tu sais quoi ? Même en ne portant plus sur toi que la chemise d’un inconnu, tu te rends compte à quel point ça te fais du bien, d’être propre, et sèche. Tu as l’impression de retrouver un peu de ta vigueur. « Et maintenant ? Vous avez aussi prévu un donjon, quelque chose comme ça ? Vous comptez me garder enfermée chez vous jusqu’à la nuit des temps ? Je vous préviens, je ne sais pas cuisiner et je suis nulle pour faire le ménage. »
    Analynn Marshall
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    Mar 22 Déc - 20:39.
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    C’est à peine si tu réagis à son grognement. Qu’elle te permette ou pas, tu t’en fiches comme de l’an quarante, Léandre. Tu fais ce que tu veux. Comme l’a si bien dit Galatéa Jakobsen à propos d’elle-même, tu es un électron libre. Enfin… tu tends à l’être, même si le cadre de ta famille, de leurs attentes posent tout de même des barrières qui te font souvent grincer des dents. Enfin, tu laisses tomber et tu passes à la suite, c’est bien plus simple comme ca.

    « Vous m’en voyez ravi. Que tu réponds en lui offrant un sourire. Tiens, tu espères qu’elle gravera cette expression là dans sa tête, ca lui sera bien plus agréable après tout. Comme ça, quand vous aurez un problème, vous n’hésiterez pas à venir me trouver et à me reconnaitre. Contrairement à d’autres, vous verrez que vous pouvez vous tourner vers moi. »

    Allez, bam, petite pique gratuite pour le fiancé-compagnon laissé de côté qu’elle n’a pas vraiment défendu juste avant. Tu es fier et victorieux quand tu te retournes pour prendre une des quelques tenues à Enyo qui traînent dans le coin (ta soeur a un savoir-faire tout particulier pour avoir toujours des vêtements de qualité où qu’elle aille. Une vrai diva) et la lui présenter. Tu souris innocemment à sa remarquer parce que pour une fois ce n’est pas prévu, même si tu retombes bien sur tes pattes. Et puis tu te retournes pour prendre une de tes chemises propres, de bonnes factures, et tu la lui tends.

    « Comme vous voulez, ça devrait vous aller tout pareil. Et tu sais ce que tu sous-entends, mon vieux. Elle n’est pas désagréable à regarder, nue ou habillée finalement. Avez-vous besoin d’autre chose ? Tu t’enquiers avec galanterie, avant de la laisser s’habiller puis aller vers la porte. »

    Il n’est pas si tard, Léandre, et tu as faim. Cette femme doit être également affamée, alors autant faire d’une pierre deux coups. Tu lui fais signe de te suivre à nouveau, même si tu évites de reprendre son poignet dans ta main et à sa question, tu ricanes de manière moqueuse. Elle s’imagine vraiment de drôle de chose sur toi…

    « Sans vouloir paraître grossier, je ne vous aurais pas laissé toucher à mon repas. Vous restez ma prisonnière pour l’instant, du poison pourrait être une idée pour vous débarrasse de moi. Tu t’arrêtes en haut des escaliers pour la regarder avancer en appréciant la vue. J’ai des gens pour s’occuper de ces tâches. En attendant, je ne vous amène pas à mes geôles personnes, creusées directement dans le sous-sol de ma main mais prendre le repas. »

    Comme si tu avais le temps de faire creuser des cellules, d’ailleurs. Ta cave, elle ne sert qu’à stocker ton vin et autres alcools, c’est tout. Ceci dit quand vous entrez dans la cuisine, une odeur flotte alléchante déjà dans la pièce. La cuisinière, qui connait tes horaires, a préparé le repas comme chaque jour et tu vas à la casserole brillante pour vérifier le contenu.

    « Sauté de porc et pommes de terre rissolées. Tu énonces, en revenant allumer le feu sous la casserole pour réchauffer le tout. Vous vous pensez capable de dresser la table sans casser quelque chose ou attenter à ma vie ? Tu reviens poser cet air clairement moqueur, provocateur aussi, sur elle, en t’adossant au plan de travail. La vaisselle est dans le meuble derrière vous. Nous mangerons ici, pas besoin de dresser la table de la salle à manger. »
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
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    Mar 22 Déc - 21:16.
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    Franchement, d’où lui vient l’idée de te proposer de t’habiller telle une princesse après tout ça, et surtout, à une heure aussi tardive, hein ? Tu n’as pas besoin d’être apprêtée de la sorte, et toi qui vient tout de même d’une bonne famille, tu sais que ce serait un affront de maltraiter un tissu aussi soyeux, et d’une aussi belle qualité que celui dans lequel est taillé cette jolie combinaison. A choisir, tu préfère donc te contenter d’une chemise, oui, elle est d’ailleurs bien trop grande pour toi, forcément, mais elle t’arrive au-dessus des genoux, et elle cache ce qu’il y a à cacher de toi, alors, oui, ça te va.

    Par contre, maintenant que tu te sens un peu mieux, maintenant que tes blessures et tes cheveux collants de sang ne sont plus un souci, tu viens poser la question de la suite. Parce que, non, Analynn, tu ne comptes pas rester ici une éternité. Ce n’est pas chez toi. Tu ne connais cet homme, et tu as bien d’autres choses à faire. Du moins … tu supposes que tu devrais avoir bien autre chose à faire. La vérité, c’est que tu ignores où tu irais, même s’il t’était donné l’autorisation de quitter cette demeure. Tu serais à nouveau à la rue, et sans le sou, incapable donc de te payer une chambre quelque part. Sérieusement, Analynn, tu ne sais pas ce qu’il attend de toi, parce que, toi, tu te connais, et tu sais que tu n’es qu’un poids dans une maison. Malgré tous les efforts du monde, tu restes incapable de cuisiner quoi que ce soit sans potentiellement causer un début d’incendie. Tu ne sais pas tenir un balai correctement, et même quand tu essayes de faire les poussières, tu ne fais que faire voler la matière grisâtre dans tous les sens, pour mieux la laisser se redéposer partout. Et dire que tes parents voulaient faire de toi une femme à marier … c’est un échec cuisant.

    Heureusement pour toi, c’est un Major, et il ne porte pas le nom des Stellaa pour faire joli. En plus de la grande maison pour lui tout seul, du moins, tu le supposes toujours, Monsieur à le personnel qui va avec et te l’annonces avec un naturel épatant. « Vous faites bien. » Que tu te permets de glisser entre ses propres mots, pour encore une fois appuyer le fait que, franchement, mieux vaut éviter de manger ce que tu as eu la mauvaise idée de tenter de cuisiner. Et tu continues de le suivre, tout en écoutant ses paroles, tandis que tes yeux se baladent un peu partout dans la maison. Une fois en bas, tu as ce mouvement de tête, et tes yeux se lèvent à nouveau vers les plafonds et puis, tu t’arrêtes en plissant les yeux, une fois à la cuisine, avant de poser tes mains sur tes hanches. Etrange, hein, on t’a toujours dit que tu ressemblais à ta mère dans cette position. Maintenant que tu sais qu’elle ne t’a pas mise au monde, ça parait assurément moins crédible… « Je ne sais pas trop, ils sont pointus comment vos couteaux à viande, sur une échelle de un à dix ? » Et tu te permets même un sourire, avant de t’avancer vers le fameux meuble pour y récupérer deux assiettes que tu viens déposer sur la table de la cuisine, puis les couverts, et enfin des verres que tu installes comme il se doit.

    Remarquons que pour cette fois, tu n’as pas protesté. En fait, Ana, l’odeur qui flotte ici est venu te rappeler à quel point tu as faim alors … tu laisses faire, juste pour profiter d’un repas bien chaud. « Vous vivez seul, si j’ai bien compris. » Tu finis par lancer, en t’appuyant contre la table, pour l’observer. « Vous qui critiquiez ouvertement ma vie affective, tout à l’heure, vous n’êtes pas marié ? Pas d’enfant ? Même pas une petite-amie ? » Et te voilà bien curieuse, tout à coup, et très impertinente, aussi.
    Analynn Marshall
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    Mar 22 Déc - 21:37.
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    Tu n’as pas hésité un instant avant de retraverser la maison en marchant devant elle, sans la restreindre pas des liens ou la garder à l’œil. Pas que tu ne penses pas qu’elle n’atteindra pas à ta vie, tu te doutes qu’elle finira pas se rebeller à un moment, mais tu as une confiance suffisante en tes capacités pour te défendre. Déjà parce que tu es un homme et un soldat, ça joue, mais aussi parce que tu es un mutant. Le truc, Léandre, c’est que tu n’imagines pas un seul instant qu’elle est aussi quelqu’un de spécial. Peut-être que tu aurais tout fait différemment si tu l’avais su.

    En attendant, tu entres dans la cuisine et c’est vers le poêle à bois que tu avances directement. Tu as faim et tu veux savoir ce que le repas de ce soir sera, presque comme un enfant. Tu trouves ensuite le culot de lui demander de dresser la table, pendant que tu relances le feu sous la casserole et que tu réfléchis à quoi boire avec. Et bien entendu, la question ne met pas longtemps à tomber.

    « 10, bien évidemment. Ce sont des couteaux à viande, s’ils ne sont pas tranchant et pointus, ils ne servent pas à grand-chose. Tu as ce sourire sur les lèvres, en continuant à la provoquer. Si vous voulez vous en servir contre moi, je tiens juste à préciser, avant que vous ne vous y laissiez tenter, que ça ne finira pas bien… pour vous j’entends. »

    Et tu es presque curieux de voir si elle va t’attaquer ou t’en balancer un à la tête, alors tu gardes un œil sur elle, mais non. Elle dresse la table proprement, te prouvant qu’elle est au moins capable de faire ça. Toi, tu te penches dans ton meuble contenant les bouteilles de vin à bois dans les mois à venir, tu sélectionnes un vin rouge et tu reviens vers elle en ouvrant la bouteille avec un savoir-faire certain.

    « Je vis seul. Tu confirmes, en venant attraper son verre, passant un coup de chiffon dedans avant de servir le liquide rouge à la moitié du réceptacle. Parce que je vous intéresse maintenant ? Tu reviens l’observer, et quand tu reviens poser son verre sur la table, tu te penches vers elle, bien trop près. Je vous plais, Analynn ? »

    Tu ne t’embarrasses ni des formalités, ni du fait qu’elle vient de croiser ton chemin et que tu es son geôlier. En faite, tu es presque ravi de savoir qu’elle se pose des questions à ton sujet. Après tout, Léandre, tu aimes parler de toi, même si ce sujet-là n’est pas celui que tu évoques avec tout le monde. Tu prends d’ailleurs le temps de te servir, puis tu poses la bouteille sur la table avant de prendre les assiettes et aller faire le service. Ce n’est qu’en te rasseyant devant elle, vos assiettes bien garnies devant vous, que tu réponds enfin.

    « Je suis divorcé. Tu attrapes ton verre, fait rouler le vin dedans en observant la couleur de la lumière dessus. Ca fait assez longtemps pour que je ne m’en soucie plus. Et tu viens avaler un peu de vin sans la lâcher du regard. Je n’ai pas d’enfant et je ne fréquente personne. Enfin… Tes lèvres s’étirent, moqueuses et piquantes. À part vous, Analynn, j’entends. »

    Il faut dire que si tu la tiens prisonnière ici quelque temps, tu seras bien obligé de la fréquenté au sens premier du terme. Et ça, ça te plait bien, parce que tu te dis que tu auras bien le temps de l’amadouer.

    « Et vous ? Ce compagnon slash fiancé ? Pas d’enfant ? Ca fait longtemps ? »
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
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    Mar 22 Déc - 22:27.
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    En vous regardant, comme ça, on pourrait s’imaginer tout et n’importe quoi. Un couple d’amis qui partage une soirée. Un couple, tout simplement. Ou alors deux personnes qui se tournent autour. Certainement pas deux parfaits inconnus, en tout cas, encore moins deux « ennemis » que tout oppose. Et pourtant, aussi étrange que cela puisse paraître, c’est exactement ce que vous êtes, même que tu n’imagines pas encore à quel point une telle affirmation est vrai, Ana. Néanmoins, vous êtes tout de même tous les deux, au beau milieu de cette cuisine, toi dans sa chemise, les jambes à nu, pratiquement face à face et votre discussion est pratiquement banale, normale. Voilà que tu as le culot et la curiosité de t’intéresser à sa vie personnelle, maintenant, tu as l’air d’avoir cessé de te débattre, et pour le moment, c’est surement le cas pour dire vrai. Demain est un autre jour. C’est une chose que ta mère te répète sans cesse, et tu comprends aujourd’hui à quel point cette affirmation est vraie parce que, demain sera assurément différent. Demain, tu auras surement plus de marge, du moins, tu oses l’espérer.

    Et bien entendu, il est libre de te répondre, ou pas. Tout comme tu continues de te réserver le droit de conserver bien des choses te concernant pour toi-même. Sauf qu’encore une fois, il vient te prouver à quel point vous êtes différents à bien des égards, parce qu’il se livre sans honte, et sans détour. Il vit seul, oui. Complètement seul et ce, malgré la taille de cette belle maison. Tu pourrais presque dire que c’est du gâchis, mais tu te retiens, parce que ce serait porter un jugement, et que tu veux éviter qu’il ne se permette d’en porter un nouveau sur toi. « Je fais juste la conversation. » Tu viens donc répondre, à sa question. Parce que finalement, c’est exactement ce que tu fais … tu es juste curieuse, alors pour toi, faire la conversation, ça consiste bien souvent à en apprendre plus sur les gens. Le jeu des questions et des réponses, c’est ton préféré, par contre, dans tous les cas, c’est toi qui poses les questions et non l’inverse, sinon, la tendance change. S’inverse. « Me plaire ? » Voilà que tu prends un air bien offusqué, maintenant, tu ne permets même un petit rire, pseudo moqueur, suivi d’un bruit de lèvres très enfantin – ça quand on te connait, c’est signe de malaise, heureusement, lui, il ne te connaît pas – et puis, tu lèves les yeux au ciel, en prime, encore, oui. « Ne soyez pas ridicule, vous n’avez pas grand-chose pour vous. » Difficile de dire si ce que tu affirmes là tends à être ironique, ou si tu essaies vraiment d’être agressive. Dans tous les cas, tu n’en penses pas un mot, malgré tout le mal que ça peut te faire de le reconnaître. Il faudrait être stupide pour avancer avec aplomb que cet homme n’a rien pour lui. Il a le physique, la carrure, la prestance, le charisme … d’autres diraient qu’il a le nom, aussi, la richesse, en prime, et une place de choix, mais ça. Détails.

    Fort heureusement, il se détourne de toi assez vite pour servir les verres, qu’il rempli d’un vin bien rouge à la robe somme toute agréable à l’œil, et les assiettes. Enfin, alors que tu prends place, il vient s’asseoir, pour attaquer son verre. Il est divorcé. « Ça alors … » Que tu glisses, comme pour sous-entendre que tu pourrais comprendre qu’une femme n’ait pas réussi à le supporter. C’est hâtif, après tout, tu ne connais pas les détails, mais puisqu’il s’est permis de critiquer tout à l’heure, tu te dis que tu peux bien glisser quelques remarques de temps à autre, toi aussi. De toute façon, il n’a pas l’air plus atteint que ça par cette séparation qui date, à l’entendre d’au moins un bon millénaire – sans exagération, bien sûr – et il ajoute qu’il n’a personne, non. Sauf toi. « Ne vous habituez pas trop à ma présence, je peux vous assurer qu’elle sera très éphémère. » Ça, c’est toi qui le dis, malheureusement, tu as bien compris, depuis tout à l’heure, que tu n’avais pas à faire au premier vu, et qu’il allait être compliqué de se défaire des griffes de ton geôlier. « Mais puisque vous m’avez répondu avec franchise, je vais en faire de même. Nous ne sommes pas fiancés, parce que je n’ai jamais souhaité me marier … » Stop. Tu veux te marier. Tu aimerais ça, porter une robe blanche et épouser un homme dont tu es réellement amoureuse. Plus exactement, tu n’as pas souhaité te marier avec ton compagnon. C’est différent. « Je n’ai pas d’enfants non plus, parce que je n’en ai pas voulu. » Même chose. Tu n’en as pas voulu … avec cet homme-là. Non mais vraiment, honnête, oui, mais tu oublies beaucoup de détails, et ils font la différence, mine de rien. « Et ça fait presque dix ans ... » Et au début, c’était mignon. Et aujourd’hui, tu t’ennuies à mourir, c’est ce que cri ton attitude, ton regard, le ton que tu as utilisé, et même ta posture alors que tu viens attraper ton verre de vin pour en boire une gorgée à ton tour. « Disons que c’est toujours mieux qu’un mariage arrangé. »
    Analynn Marshall
    Gif : [DONE] À quoi ça sert de sauver la vie quand on voit ce que vous en faites. (Léandre) - Page 3 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : [DONE] À quoi ça sert de sauver la vie quand on voit ce que vous en faites. (Léandre) - Page 3 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2911
    Mar 22 Déc - 23:09.
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    Elle fait la conversation, tiens donc. Tu ne savais pas que les prisonniers se sentaient assez à l’aise pour faire la conversation à leurs geôliers. Tu veux bien reconnaître que tu es plutôt agréable dans ce rôle mais elle avait pourtant l’air de dire qu’elle ne te parlerait pas, un point c’est tout. Alors tu souris, Léandre, sans répondre, mais tu souris. Et même quand elle refuse de reconnaître que tu lui plais, au moins assez pour qu’elle te fasse la conversation, tu ne perds pas ton expression.

    « Voilà qui est dommage. Tu reconnais, en posant les yeux sur elle pour dévorer chaque parcelle de peau visible. Parce que vous êtes plutôt agréable à regarder vous. »

    En faite, c’est comme si tu voulais faire tout le contraire de ce qu’elle fait avec toi. Elle refuse de dire que tu pourrais lui plaire (et honnêtement, tu ne doutes pas d’avoir de quoi plaire aux femmes, Léandre) pendant que toi tu lui apprends sans rougir et sans être gêné qu’elle est plutôt à ton goût. À vous deux, vous faites une sacré paire, non ? Tu finis par remplir les verres puis servir les assiettes et enfin, Léandre, tu peux te poser pour souffler un peu. Tu as eu une sacrée journée et alors que tu pensais rentrer directement chez toi, tu es tombée sur elle. Tu l’as ramené. Tu t’es occupé d’elle. Tu l’as soignée. Et maintenant, enfin, tu peux te détendre, fermer les yeux un instant pour profiter avant de repasser à l’attaque. Tu lui livres la vérité tout crue alors qu’elle refuse de parler d’elle, comme pour lui prouver que c’est faisable, et puis tu viens ajouter que tu n’es plus tout seul, puisqu’elle est là.

    « Bien sûr, bien sûr. J’imagine parfaitement qu’une jeune femme dans votre genre va vouloir s’enfuir. Ce qui est bien plus dommage, c’est que vous n’avez nulle part où aller, et que je vais bien entendu glisser l’idée à mon homologue de la Milice pour que le quartier où je vous ai trouvé soi surveillé de près. Je ne sais pas comment vous avez pu passer le tunnel que nous avons écroulé il y a des années, mais c’est visiblement dans cette zone. »

    Tu parles trop, c’est un fait, mais tu n’y peux rien, ça t’amuse de déconstruire les quelques idées qu’elle pourrait avoir pour s’enfuir. Tu n’as absolument pas envie qu’elle parte de chez toi pour l’instant, et c’est bien plus facile de garder quelqu’un ici si tu lui prouves qu’elle a tout à y rester. La contrainte devient vite problématique et tu n’es pas assez souvent à la maison pour pouvoir la garder constamment sous surveillance. Tu es d’ailleurs, en train de réfléchir au fait que tu demanderas, demain matin en partant, à un des hommes qui surveille ta propriété de la garder à l’œil quoi qu’il arrive quand elle te répond sur sa propre vie. Pas d’enfant, pas de mariage, soit. Mais quand tu entends la durée depuis laquelle est elle coincée dans ce couple, tu manques d’avaler de travers ton vin.

    « Dix ans. Tu répètes en toussant légèrement. Et en dix ans, vous n’avez pas été mariée ? Il ne vous a pas proposé ou vous ne vouliez pas vous unir à cet homme ? Et plus encore, tu penches un peu en avant, en braquant ton regard sur elle, yeux brillants. Et pas d’enfants, vous êtes certaine que ce n’est pas plutôt parce qu’il ne vous touchait pas ? À moins qu’il ne savait pas y faire ? »

    Tu viens piquer directement au milieu de ce que les gens détestent : le sexe et encore plus l’incompétence en couple. Tes lèvres s’étirent, alors que tu viens enfin attaquer le repas, tout en hochant la tête.

    « Absolument. Que ça vous étonne ou non, mon mariage n’était pas arrangé non plus. Maintenant, en tout franchise, allez-vous me dire pourquoi vous étiez avec cet homme ? Étiez, oui oui, parce que pour le moment, elle n’a aucun moyen de rester avec lui, vois-tu. »
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : [DONE] À quoi ça sert de sauver la vie quand on voit ce que vous en faites. (Léandre) - Page 3 Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3370
    Mar 22 Déc - 23:38.
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    Tu ne te laisseras pas abattre, Analynn. Lorsque tu lui rappelles qu’évidemment, tu chercheras à le fuir, lui vient appuyer sur la vérité, finalement, à savoir le fait que tu n’as nulle part où aller dans cette cité. Il t’annonce même déjà qu’il s’arrangera pour faire surveiller le quartier où il t’a trouvé, et ça, ça te privera assurément de l’occasion de repasser le tunnel pour retrouver Fortschritt. A ce stade, tu ne sais même plus ce qu’il serait le mieux pour toi, Ana. Tenter ta chance, et risquer gros ? Parvenir à rentrer, peut-être, mais potentiellement risquer d’être tuée, pire, de voir ta famille mêlée à tout ça ? Ou alors rester ici, bien sagement, ou presque, profiter du fait d’avoir un toit sur la tête, et un peu de compagnie, même si elle est loin d’être la plus agréable au monde, tu en conviens.

    Tu n’as pas envie de penser à tout ça maintenant, au final. Demain, Analynn. Demain, tu seras surement plus reposée, tu aurais surement plus d’occasions d’être seule, de tenter des choses, de réfléchir et d’élaborer un vrai plan, et plusieurs sorties de secours, comme on t’a appris à la faire à la Guilde. Le pire, c’est que tu ne peux même pas réellement lui en vouloir de te mettre des bâtons dans les roues, ma grande, vu sa position, son nom, c’est … normal. Surement qu’à sa place, tu n’aurais pas été plus tendre que ça avec toi-même. C’est surement en partie pour ça que tu restes si calme, et que tu te contentes de discuter, oui. Tout bêtement et simplement.

    Et encore une fois, toi qui avais assuré que tu ne dirais pas un moment, et bien, te voilà à t’ouvrir plus encore. Tu ne rien qui pourrait se retourner contre toi, qui pourrait faire en sorte qu’on t’accuse de haute trahison, tu ne parles finalement que de toi, de ta vie amoureuse, surtout, puisque c’est là-dessus que portent ses questions. Tu aurais dû t’attendre à une telle réaction. Dix ans, c’est long. En dix ans, on a le temps de se marier, d’avoir des projets, d’en réaliser certains, de fonder une famille, aussi. C’est énorme, dix ans, et tu le sais. Tu t’en es rendu compte un peu tard. Mais tu le sais. Et lui semble se faire une joie d’appuyer encore là-dessus, au point où ça te fait grimacer, parce que, tu vois, il met le doigt sur bien des choses, ce soir, Ana. « Il n’en a jamais été question, c’est tout. » Encore une fois, tu déformes un peu la réalité. La vérité, c’est que ton compagnon t’a déjà plusieurs fois parler de mariage, il a même commencé à le faire assez tôt dans votre relation, et il a recommencé, plusieurs fois durant les années qui ont suivi. Tu t’es toujours débrouillé pour éluder, passer à autre chose, alors, tu supposes qu’avec le temps, il a dû se lasser. Aucun de vous deux n’as donc jamais demander la main de l’autre, et c’est très bien comme ça. Pour les enfants, par contre, c’est plus compliqué à expliquer. Il est certain qu’en dix années, vous avez eu le temps de consommer votre relation … pour dire vrai, ça n’a jamais été exceptionnel entre vous deux, pas du genre à faire des étincelles au lit, comme tu as pu entendre certains et certaines le raconter. Mais malgré l’absence d’un quelconque moyen de vous protéger, aucun enfant n’est jamais venu s’installer au creux de ton ventre, et pour la toute première fois, alors que Léandre vient te mettre le nez dedans, tu te dis qu’il y avait probablement effectivement un souci. De son côté. Du tiens. Des deux. Aucune idée… « Je … » Tu n’as pas de réponse à cette question, tout simplement parce que tes seules expériences sexuelles, tu les as avec cet homme, et qu’étant plus âgé que toi, c’est un peu lui qui t’a appris ce genre de choses, pour ainsi dire. Du coup, tu te trouves incapable de savoir si les choses étaient faites … correctement, et tout à coup, ça te fait rougir, si violemment que tu tentes même de te cacher derrière ton verre de vin. « Je n’en ai pas la moindre idée. » Tu finis par marmonner, avant de venir boire une trop longue gorgée d’alcool fruité.

    Tu finis par pratiquement te jeter dans sur ton assiette, espérant sans doute qu’il en fasse de même et qu’il finisse par te lâcher avec ses questions finalement de plus en plus gênantes. Evidemment, il n’en fait rien, Analynn, et il revient donc te questionner sur ta relation … « Il n’y a pas de raisons particulières, je n’avais que dix-neuf ans quand il a commencé à me faire la cour … je ne connaissais pas ça, je l’ai simplement laissé faire. Et puis le temps à passer. Fin de l’histoire. » Tu reposes ta fourchette, un peu bruyamment, d’ailleurs, et puis, te voilà à soupirer sacrément lourdement. « En quoi ça vous intéresse, tout ça, hein ? De connaître le pourquoi du comment de ma vie amoureuse, ou de savoir si cet homme était capable de me faire l’amour correctement ? C’est … une espèce de manifestation de votre fierté masculine ? Vous vous dîtes que vous, vous êtes capable de faire mieux ? Qu’est-ce que ça vous apporte, hein ? »
    Analynn Marshall
    Gif : [DONE] À quoi ça sert de sauver la vie quand on voit ce que vous en faites. (Léandre) - Page 3 A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : [DONE] À quoi ça sert de sauver la vie quand on voit ce que vous en faites. (Léandre) - Page 3 E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 2911
    Mer 23 Déc - 14:36.
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    Tu sens bien que tu as touché un point sensible, Léandre, mais ça ne t’arrête pas dans ta quête de vérité. Il y a anguille sous roche (ou dans son cas, peut-être plutôt baleine sous gravillon) à propos de ce “compagnon” qui a vécu aussi longtemps avec elle sans parvenir à la faire devenir sienne ou mère de ses enfants. Et c’est sans aucune gêne que tu cherches à savoir pourquoi ou à avancer des hypothèses qui te semblent clairement plausible. Tant et si bien, Léandre que tu oublies un peu ton assiette.

    « Pas la moindre idée ? Tu insistes alors qu’elle a rougi violemment. Vous n’avez connu personne d’autres que lui ? »

    Et tu es certainement une sale bête, parce que déjà que le sujet n’est pas simple, il faut en plus que tu tritures la plaie que tu viens d’ouvrir avec le bout d’un couteau brûlant. Et pourtant, tu fais ça avec un sourire calme, en pleine maîtrise de toi-même, malgré le sujet des plus atypiques, que ce soit autour d’un repas ou entre deux ennemis.

    Au final, c’est en la voyant revenir à son assiette que tu en fais autant, en savourant avec un air content le repas qui a été préparé pour toi. Tout le monde ne peut pas manger de la viande tous les soirs, mais toi c’est quelque chose qui fait partie de ton quotidien. Et tu es en train de savourer cette idée, quand elle te répond enfin plus clairement aux questions que tu as fait peser sur elle. Et quand elle repose son couvert brutalement, une moue vole sur ton visage, alors que tu viens suivre son mouvement avec bien plus de douceur.

    « Vous avez donc 29 ans ? Tu lui demandes, en ignorant tout le reste de sa réponse, parce que sur le coup cette information t’intéresse plus. Presque la trentaine et n’ayant pas connu grand-chose, voilà qui me rendrait presque triste pour vous. Tes lèvres s’étirent pourtant, Léandre, et tu viens rajouter. Raison supplémentaire pour tenter votre chance entre ces murs et découvrir tout ce que vous avez manqué jusque-là. »

    Le sous-entendu est à peine voilé, tu vois. Prenant le temps d’attraper ton verre pour boire encore un peu de ce vin aux saveurs de mures et d’une touche de piment, tu l’observes longuement, comme si tu méditais sur ses questions avant de répondre, toujours en montrant ce même calme immaculé.

    « Ce n’est pas de la fierté masculine, je sais ce que je vaux sans avoir besoin de me comparer aux autres… encore moins à ce genre d’hommes. Ceci dit, je peux vous assurer qu’il n’y a pas de questions à se poser : je ferai mieux que lui. Pas que tu aurais fait, note la différence, mon vieux. Tu as déjà des plans en tête il semblerait. Je veux simplement apprendre à vous comprendre, à vous connaître, mais si vous préférez que l’on en revienne aux informations que vous avez à me donner sur Fortschritt on peut toujours faire comme ça. »

    Tu la provoques, directement et sans détour. Tu lui rappelles que d’autres sujets bien plus problématique pourraient revenir sur le devant de la scène et dans le fond, Léandre, tu l’accules et la force à te parler de ce genre de choses si elle veut échapper aux sujets problématiques.

    « Ne pensez-vous pas que si vous ne l’avez jamais laissé vous épouser ou vous donner un enfant, c’est que cette relation était morte dans l’œuf à vos yeux ? Tu reviens attaquer, en te délectant bien plus de la tourmenter que du repas dans ton assiette. »
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
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