QUETE : Un pickpocket au palais ! ft. Enyo & Galatéa.

Ce matin là, la mère de Galatéa était en train de discuter avec une amie qui était venue prendre le café. Comme toujours, les potins étaient au menu. Elles parlaient de tout, de rien, des gens du quartier, du palais et justement une affaire faisait scandale en ce moment. Freya avait entendu qu'un voleur de petite culotte sévissait, volant les dessous de ces dames. C'était drôle a entendre et c'est à ce moment là que la demoiselle se montra, elle n'était que de passage pour prendre un petit truc à grignoter et sa mère lui proposa d'aller au palais ou essayer de régler cette histoire. En gros, c'est un moyen de bien faire "voir" la famille. Ouais... Elle n'était pas très motivée, mais si ça peut la tenir loin de la maison, elle n'allait pas dire non.

Elle arriva donc au palais dans son uniforme, impeccable, propre et repassé histoire de faire honneur à la famille royale et qu'on ne prenne pas les soldats pour des pouilleux, surtout qu'elle vient d'une riche famille, elle doit donc se faire respecter comme tel. On demanda à la demoiselle se qu'elle faisait là et un valet la mena directement dans le bureau du secrétaire général qui devait la briefer. Première arrivée, il ne commença pas tout de suite, indiquant une seconde personne était sur l'affaire et qu'il voulait tout expliquer quand elle sera là. Ceci ne la dérangeait pas d'attendre, de toute manière sa mission s'était ce voleur de sous-vêtement, encore un pervers... autant dire qu'elle a hâte de le trouver et de lui faire comprendre sa manière  de penser...

Au final, elle se demandait vraiment ce qu'elle faisait au palais, elle n'était pas des plus à son aise ici. C'était... un monde à l'opposé du sien. Même si elle venait d'une famille riche, l’opulence n'avait jamais été ce qui l'attirait, vous savez les jolies habits, les courbettes, les faux sourires, les rumeurs de couloirs... De loin, elle se sentait bien plus à l'aise dans les rangs de l'armée, à ramper dans la bout et risquer sa vie. Mais parfois, il fallait bien faire des exceptions et vu qu'on cherchait des personnes pour enquêter de manière discrète, Galatéa était la personne idéale. Encore faudrait-il qu'on puisse la recevoir. Car on la faisait attendre et s'était des plus ennuyant.

Quelqu'un arriva, une femme vu le bruit des talons qui claquaient furieusement sur le sol. Elle entra telle une furie dans le bureau pour constater que son interlocuteur n'était pas là, mais qu'il se trouvait uniquement une demoiselle en uniforme des forces armées qui attendait. C'était une parfaite inconnue, son visage ne lui disait rien, mais elle était... vive, fière et énervé. "J'imaginais trouver quelqu'un pour me faire un résumé de la situation..." répond t-elle simplement à la jeune femme. Ce n'est pas Galatéa qui risque de lui faire un rapport. Les seules choses qu'elle sait sur cette affaire, c'est ce que sa mère lui à dit : soit des vols de sous-vêtements au palais. "J'ai cru comprendre que quelqu'un devait venir nous briefer. J'imagine qu'on doit être patiente..."