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    Tu as une réunion programmé au palais depuis plus d’une semaine… et ça fait à peu près autant de temps que tu n’as pas vu ta soeur. Il faut dire que tout est chamboulé en ce moment. Ta maison n’est plus là pour toi seul mais aussi pour Analynn. Tu as du boulot par-dessus la tête. Il y a une tonne de questions qui ne cessent de te harceler. Et dans tout cela, tu ne sais même pas si tu verras ta famille pour les fêtes de fin d’année…

    C’est à cause de tout cela que tu en es venu à l’idée de profiter de ton entrevu avec le Ministre des Armées au Palais pour trouver ta petite soeur. Tu as envie de t’assurer qu’elle va bien, c’est une chose, mais tu as aussi besoin de voir qu’elle est toujours là, que rien n’a changé de ce côté-là pour t’aider à retrouver ta contenance. Comme quoi, la brune qui a élu domicile chez toi t’a sacrément mis à mal…

    C’est en quittant le Ministre des Armées avant ton sempiternel sourire figé que tu traverses une partie du Palais en jetant un œil à ce qui se passe autour de toi et aux bruits de couloir. C’est rare que tu y croises ton cousin le Roi, mais tu y apprends parfois des choses intéressantes. Comme le fait qu’il ait recueilli une jeune femme il y a quelque temps et que les servantes pensaient qu’elle était sa maîtresse… Enfin bon. Sur le chemin, tu viens attraper une rose encore en bouton dans un des vases qui décore les couloirs puis tu t’arrêtes, enfin, devant le bureau de celle que tu cherches. Ton expression se change aussi sec pour un sourire doux, protecteur et un poil moqueur, avant que tu ne pousses la porte sans ne faire aucun bruit.

    Tu découvres Enyo attablée derrière son bureau, à faire ou rédiger tu ne sais quoi. Pendant de longs instants, tu l’observes avec intérêt, profitant de son inattention pour toi pour graver son visage dans ta tête. Au final, c’est appuyé dans l’encadrure de la porte, la rose dans ta main, que tu finis par faire part de ta présence à celle que tu considères comme ta petite princesse personnelle.

    « Et bien… c’est comme ça qu’on salue son grand frère préféré, qui a traversé toute cette satanée ville pour venir offrir une rose à la plus belle des fleurs ? »

    Rien que ça ouais. Et tu gardes ce sourire sur le visage en guettant sa réaction.
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : Tous les dragons de notre vie ne sont peut-être que des princesses qui attendent de nous voir heureux ou courageux. (Enyo) Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3334
    Droite et souveraine, Enyo veillait l'antre du général des armées du haut de son bureau. Si elle s'était réjouit de ce poste au point d'embrasser la joue de son père dans une pluie de compliment, elle avait aujourd'hui l'impression d'être tombée dans un odieux piège. Prisonnière d'une position où elle contemplait un monde auquel elle voulait appartenir sans pourtant y être invité. "Remplit moi ce dossier Enyo et transmet le s'il te plaît." lui lâchait-on parfois, en ajoutant à sa pile de feuillet de nouveaux ouvrages. Oui, Monsieur le ministre. Un café avec ceci ? Soyons honnête, le travail en lui-même n'était ni insurmontable, ni avilissant. La politesse ne manquait pas et si elle percevait des regards lubriques auxquels elle répondait toujours d'un oeil menaçant,  quelque chose rongeait les entrailles de l'héritière Stellaa et courbait son échine à chaque nouvelles heures. Sans doute était-elle de mauvaise humeur. Son quota de sommeil avaient été une fois de plus ébranlée par l'annonce d'un Titan exceptionnellement imposant et ça avait nécessairement fait naître en elle d'effroyable cauchemars. Soit ça, soit...

    -Je vais mordre son coeur si fort qu'il va éclater. Ce maudit bâtard informe et...

    Et elle se ravisait de nouveau la jolie brune, mordant soudainement sa lèvre comme pour la sceller avant que s'en échappe un précieux venin. Elle avait déjà fait fuir plus d'une personne la veille, il n'était pas question qu'elle ait à se lever de nouveau pour courir après des couards. Si elle avait un poste de bureau, ce n'était certainement pas pour retourner le palais à la recherche de dossier. Et pourtant, oui pourtant, elle en était certaine. On avait fouillé ses affaires, dérobé l'une de ses culottes et Enyo comptait bien en faire une affaire d'état. Quitte à secouer son royal cousin.
    Ses neurones forgeait déjà dans son fiel un plan d'attaque et ce, à mesure que se fronçais ses sourcils inquisiteur. Elle lui priserait le poignet et brulerait sa culotte par la suite. Il n'était pas question qu'elle porte quelque chose qu'un pecnot infâme lui avait volé ! Et puis merde quoi, depuis quand osait-on lui piquer des cho..

    Soudain, un sursaut secoua brutalement la jeune femme qui dû plaquer contre sa poitrine le classeur qu'elle griffonnait et ce,  avant qu'il ne frappe l'encadré de la porte. "Léandre !" L'appel s'était fait soulagé, quoi qu'un peu surprit. Pour autant la dernière née Stellaa s'était laissé charmer par les compliments et une rose qui semblait pouvoir l'arracher à sa colère. Aussi s'empressa t'elle d'offrir ses mains à son frère, comme pour l'inviter à rentrer.  "Quelle délicate attention, je n'en attendait pas moins de mon héro ! Tu sauves ma journée. Vraiment. " lui avait-elle soufflé avant de se redresser, approcher de quelques pas et caler un doux baisé sur sa joue. Il ne faisait nul doute que cette simple voix  avait ravit son coeur et balayer, l'espace de quelques instant du moins, ses sombres pensées. Alors, le regard clair et l'éther au bout du geste, Enyo subtilisa la rose et la contempla un instant avant de la déposer tout prêt de la jacinthe qui trônait fièrement là. Souveraine. "Gaspar - c'est le nom de la plante- " aura de la compagnie comme ça ! Merci pour lui, et merci pour moi. " Reprit-elle d'un air mutin. Radieuse. Si elle ne donnait pas toujours des noms à ses plantes, c'était une habitude qui datait de sa petite enfance. Des noms qu'elle piochait à l'époque dans son environnement proche d'ailleurs, et qui avait le don d'attiser des regards plus qu’interrogateur. "Je l'ai appelé Bob parce que Bob aussi est faible" avait-elle un jour lâché à table, d'un naturel des plus déconcertant. M'enfin.
    Son regard sembla pourtant s'accrocher au visage de son frère avec une certaine insistance, comme si elle percevait derrière son sourire quelque chose d’intangible. Un je-ne-sais-quoi qui, s'il ne l'inquiéta pas outre mesure, attisa son flair. Mh. Trop tard, cet étrange sursaut s'était envolé. Du moins lui avait-il semblé.

    "Je suis si contente de te voir, tu n'as pas idée. J'ai l'impression que ça fait une éternitéééé. " Faussement plaintive, à la limite d'une mauvaise tragédie, Enyo aurait sans doute pu jouer de moue de chaton si elle ne luttait pas avec l'euphorie. " Que racontes-tu de nouveau ? Dit moi tout ! "
    Enyo N. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : Tous les dragons de notre vie ne sont peut-être que des princesses qui attendent de nous voir heureux ou courageux. (Enyo) Tumblr_n3xq8xVsx11raezswo6_250Messages : 21Age : 25 ans.Situation : PromiseMétier/Escouade : Travaille pour le ministre des arméesZone libre : Tous les dragons de notre vie ne sont peut-être que des princesses qui attendent de nous voir heureux ou courageux. (Enyo) Tumblr_mx8d64EL291sk8vt4o6_r1_250

    Cheval : Prométhée, un hongre palomino et vieillissant qui a fait ses preuves plus d'une fois à l'extérieur, entre les mains de l'armée.
    Multicompte : AucunPoints : 2433
    C’est toujours avec une surprise sincèrement que tu entends ce genre de parole s’échapper de la bouche de ta soeur. Un jour, Léandre, il te faudra accepter que la petite Nyo a bien grandi et qu’elle aussi à le droit à s’énerver, à jurer ou à menacer comme toi tu le fais si souvent. En attendant, tu observes un peu son visage en cherchant à comprendre si elle râle juste après son boulot ou si quelqu’un est venu lui faire des soucis, avant de faire entendre ta présence.

    Il y a ce truc en vous qui te plait toujours aussi. Vous avez la même noblesse, cette éducation raffinée que vos parents vous ont inculqué parfois de force. Mais au-delà de ça, il a la même pointe de provocation et de jeu dans vos mots qui mettent souvent les gens mal à l’aise. Tu sais que bien des hommes ne savent sur quel pied danser face à ta soeur, comme nombre de tes soldats redoutent quand tu les interpelles.

    « Que crois-tu, j’ai fait tout ce chemin uniquement parce que je savais que tu avais besoin d’un héro personnel. Tu lui offres ce sourire sûr de toi, presque piquant avant d’avancer dans le bureau. Si tu la laisses prendre la fleur de tes doigts, tu finis par venir poser un baiser doux sur son front avant de regarder la jacinthe. Gaspar ? Pourquoi déjà cette fleure s’appelle comme ça déjà ? »

    Tu as l’habitude de ses histoires d’objets inanimés nommés et si pour d’autres tu trouverais ça aussi ridicule qu’ennuyant, quand il s’agit d’Enyo, tu le passes tout. C’est dire quel genre de frère un peu gâteau tu es quand même. En attendant, tu t’avances pour passer de son côté du bureau et mettre le nez, pendant quelques instants, dans sa paperasse, comme si c’était là la chose la plus normale qui soit.

    Au final, c’est en relevant le nez vers elle que tu captes son regard qui te donne l’impression qu’elle est en train d’essayer de lire en toi. Tu viens étirer tes lèvres en réponse à son observation, comme si tu la mettais au défi de trouver quelque chose avant de l’entendre se plaindre avec ce jeu de petit chat qui vient te faire poser ta main sur le haut de sa tête pour y emmêler ses cheveux d’un mouvement moqueur.

    « Je sais que tu ne peux pas te passer de moi, mais tu n’as qu’à venir me voir aussi, toi. Enfin… Pas au QG, les imbéciles que j’y dirige seraient bien capable de te regarder de manière insistante… Et Dieu sait que tu détestes l’attention de porc des hommes sur ta précieuse soeur. Pas grand-chose, je suis ici pour cette histoire de titan gigantesque, je vais devoir repartir en sortie d’ici quelques jours. Tu viens attraper son menton et le relever vers toi, d’une manière bien plus sérieuse. Et toi ? Contre qui étais-tu en train de jurer de manière aussi violente ? »

    Comme si tu pouvais ignorer ça. Si quelqu’un lui pose soucis, tu vas te faire un plaisir de trouver le type en question et lui faire le fameux coup du regard glacial spécial Stellaa tiens. En attendant tu finis par attendre sa réponse avant que ton regard ne glisse par l’une des grandes fenêtres du bureau.

    « Tu veux aller te dégourdir un peu les jambes ? Je sors d’une réunion interminable avec ton patron, je n’ai pas envie de m’enfermer à nouveau dans un bureau. C’est aussi pour ça que tu es bien à la tête des Forces Armées, mon bon Léandre. Raconte-moi tout ce qui te chagrine à ce point en chemin, va »
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
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    Gif : Tous les dragons de notre vie ne sont peut-être que des princesses qui attendent de nous voir heureux ou courageux. (Enyo) Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3334
    Si je te donnais la raison, tu te sentirais obligé  de bomber le torse et montrer les crocs Glissa la brune en apposant son menton sur une épaule curieuse, venu fouiner dans ses dossiers. Rien d'intéressant hélas, si c'était le cas, sans doute n'aurait-elle pas perdu une heure à dessiner des étoiles sur ses classeurs. Elle le laissa pour autant progresser autour de son bureau, préférant plonger la rose dans une tasse d'eau qui trônait tout près de l'autre fleur, un léger et mutin sourire au bout des lèvres. Elle plaisantait, évidemment, mais c'était mieux d'avouer que Gaspard s’appelait Gaspard parce que Gaspard avait une tête de Gaspard. Quoi que veuille dire cette affirmation. Nouveau regard, Enyo semblait trépaner à la petite cuillère l'esprit de son frère mais, une seconde d’inattention plus tard et voici qu'elle se retrouvait là, une main plaqué sur ses cheveux, prêt à mettre à mal sa coiffure. M-mais ! HEY !

    Léaaaaaaaaandre ! La plainte s'était élevé, mi-protestataire, mi-douce. Elle affectionnait à dire vrai trop bien ce genre d’interaction pour les repousser à plein poumon, qu'importe ses moues boudeuses et murmure à pleine plaintif. Se plaindre était une seconde nature chez elle de toute manière, et le timide gloussement qu'elle ravala était bien plus criant que ces sourcils qu'elle s'efforçait tant bien que mal à foncer dans un souci de crédibilité.
    Pour autant, lorsque tomba l'annonce du titan géant, quelque chose passa dans son regard. Moins enjoué. Elle était évidemment au courant, ses oreilles traînaient tant qu'elle l'aurait été même si son patron ne lui en avait pas parlé, pour autant... Difficile d'expliquer ce qui obscurcit son regard clair à cet instant précis. Elle avait toujours fait preuve d'une foi inébranlable à l'égard de son frère et ses actions, tant et si bien à dire vrai qu'elles sonnaient parfois comme des lois à ses oreilles. Pourtant... Etait-ce de l'inquiétude qui tiraillait ses entrailles ? Il fallait avouer que ce titan-ci était un véritable défi.
    Elle ne broncha pas lorsque son frère ramena son menton à lui mais en profita à dire vrai pour perdre ses yeux dans les siens. Troublée. On était d'accord, cette sortie serait comme toute celles avant elle ? Sans gravité ? -Du moins pour Léandre, le reste elle s'en foutait- Alors, comme pour se rassurer, la brune descella ses lèvres, inspira mais se fit surprendre par les interrogation de son frère. "Et toi ?" Elle ? Oh ! Enyo se détacha de l'emprise de son frère après avoir apposé ses lèvres sur sa main et secoua la tête.

    Une histoire de fou, je te jure ! On m'a volé ! Si elle n'avait pas totalement retrouvé sa véhémence, l'idée seule qu'on puisse fouiller ses affaires l'avait remise d’aplomb. Si vol était commis, c'était de sa main se répêtait-elle frénétiquement, en agitant le bracelet où trônait une tête de lion et quelques étoiles à son poignet. On ne veut pas que sa s'ébruite mais je te jure que je vais attraper ce couard  !  Elle avait gonflé la poitrine, fière et implacable. Les poings sur les hanches et le regard perdu au loin, comme un super-héro l'aurai fait. Pour autant l'appel de l'extérieur fut plus séduisant que ce semblant de victoire et ce fut à grand pas qu'Enyo retrouva son frère, glissa son bras sous le siens et l'entraîna en direction de l'extérieur non sans récupérer son sac à au passage.

    On peut partager mon repas si tu veux ! J'en ai toujours trop de toute façon. Et puis j'ai.... Elle avait machinalement plaqué son sac entre le bras de Léandre et son propre corps, comme si elle était incapable de le lâcher pour sortir, de sa main libre, une boite décoré de flocon de neige. Des biscuits aux fleurs séchées ! Sa voix s'étaient faite euphorique sur ces quelques mots. Comme si cette simple boîte renfermait en son sein les plus beaux trésors. Il fallait avouer que s'ils étaient émerveillement conçu, ils entraient dans le cadre d'une routine que Enyo affectionnait au plus haut point. Une pause prise à l'ombre des arbres, assise sur un muret, en compagnie de chat errant qu'elle espérait  un jour sociabiliser à coup de partage de nourriture. Elle leur avait d'ailleurs chacun donné des noms.

    Nyo proposa un biscuit à son frère, choisit le sien soigneusement avant de ranger la boîte dans son sac et observer le plafond d'un air songeur.   Tu rentreras en un seul morceau, hein ?   C'était tombé là, surprenant tant grave et sincère. Sept mot sans lien avec les premiers semblaient-il, mais qui n'avait cessé de tourner en boucle dans son esprit avec tant d'intensité qu'elle s'était crû faillir. Elle ne sembla à dire vrai pas réellement saisir que cette fois, ces mots savamment gardés avaient éclot sur ses lèvres, et paru elle-même surprise lorsqu'elle le réalisa. Quelque chose avait piqué ses yeux mais elle tâcha de lui résister avec la force de caractère qui était la sienne. Implacable et féroce. Incapable de plier devant des émotions et ressenti qu'elle ne comprenait pas. Elle s'empressa pourtant de reprendre, comme une enfant qui se justifiait devant une bêtise et ce, avant de croquer dans son biscuit. Pas que je m'inquiète hein mais... J'ai mal dormi, pardon.

    Elle se sentait stupide. Elle se sentait toujours stupide lorsque ses paroles ou son timbre de voix ne suivait pas à la lettre le plan de ses envies alors, comme toujours, elle écrasait méthodiquement ce sursaut d’insurrection. Une inspiration claire, des notes mentale, le regard fiché au loin comme pour se cristalliser sur autre chose et, assurée, elle embrayait sur un autre sujet. Son bras se détacha doucement de celui de Léandre et, après quelques secondes de silence, ce fut un peu brusque qu'elle tapa frénétiquement sur ce dernier, désormais inoccupé. Mmh ! Mais du coup ! Oui ! Je me suis faite volée ! Quelqu'un a fouillé mon sac est est parti avec mes culottes ! Tu y crois ça ? Genre. Erk. Imagine s'il avait prit aussi mon châle ! Parce que les culottes passe encore, elle s'était suffisamment offusquée de la lubricité des gens qui l'entourait mais... Son châle ? C'était une déclaration de guerre !
    Enyo N. Stellaa

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    T’en étais sûr ! Quelqu’un a fait quelque chose à ta soeur, et elle ne veut pas te le dire pour ne pas que tu mettes ton nez dans l’affaire. Ca te tire un de tes fameux grognements mécontents, mais pour le moment, Léandre, tu te retiens de la cuisiner comme tu le ferais avec n’importe qui d’autres. Enyo peut se défendre seule, tu le sais, alors tu vas juste la garder à l’œil et voir si elle se décide à en dire plus.

    En attendant, mon vieux, tu viens farfouiller dans ses affaires, notant ses gribouillages en bas de page des documents qui te tirent un sourire amusé, peut-être un peu moqueur aussi. Quand tu reviens à elle, c’est pour l’attraper de cette manière que tu as de le faire quand tu veux une réponse et que tu la chercheras jusqu’au fond des yeux de ton interlocuteur. Elle s’en échappe pourtant, d’un baiser adorable, et la voilà qui se lance et…

    « QUOI ?! »

    Au palais ou à la maison ? Tu commences aussi sec à te gonfler de mécontentement, imaginant le pire quant aux effets qu’on a pu lui voler. Il faut dire que ta soeur a des robes et des bijoux qui doivent bien valoir une petit fortune, alors tu t’imagines que quelqu’un est venu s’en prendre à ses biens ouais.Et bien entendu, elle commence à râler, à parler qu’elle va s’en occuper seul, alors que toi tu lui demandes pile au même moment d’aller te promener. Peut-être qu’il vaut mieux que des oreilles indiscrètes n’entendent ce genre d’histoire au sein du palais. Et bien heureusement ta jolie rousse de soeur s’accroche à ton bras et vous voilà à quitter le bureau pour avancer dans les couloirs.

    « Mais et le… Tu t’arrêtes, parce qu’elle a complètement laissé tombée son histoire pour parler repas, et que tu la connais. Alors tu soupires, tu finis par hocher la tête et attraper son gâteau pour en croquer un bout et lui offrir un sourire. Merci ! Tu les as cuisinés toi-même ? »

    Il faut dire, Léandre, que toi-même tu ne cuisines plus depuis que tu as pris ton indépendance loin de la maison. Pas que tu sois spécialement mauvais derrière les fourneaux, tu dois êtes capable de faire des trucs basiques, mais tu ne te donnes pas le temps ni l’envie de le faire. Alors tu lui coules un regard surpris qu’elle l’ait pris et c’est même pour cela que tu viens goûter le gâteau avant de t’apprêter à l’interroger à nouveau sur ce vol, mais voilà qu’Enyo te double et te pose cette question, qui te fige un instant. C’est en l’entendant demander ça que tu te rends compte que ta soeur est encore une enfant, d’un certain sens, et que tu ne peux pas la laisser derrière. Alors tu viens orner tes lèvres d’un sourire rassurant et tu recommences à emmêler ses cheveux de ta main.

    « Tu crois quoi, petite ? Bien sûr que je vais rentrer en un seul morceau ! Déjà, parce que ce n’est pas un titan de pacotille qui va m’ennuyer, puis surtout parce que mes soldats seraient incapables de s’en sortir sans moi ! Tu crânes un peu c’est vrai, mais il faut bien ça pour dédramatiser la situation. Puis j’ai dit que je serai là le jour où tu grimperas les échelons, donc je n’ai pas le choix ! »

    Et te revoilà à l‘entraîner, en ne pouvant t’empêcher de réfléchir à la futur mission, oubliant tout le reste. Tu ne peux pas mourir, pour Enyo ouais, maintenant tu sais aussi que tu refuseras que ça arrive pour une certaine brune également. Sauf que t’es encore perdu dans tes pensées quand elle se met à cogner contre ton bras et que cette histoire de vol se précise. Et franchement, Léandre, il faut voir ta tête quand elle t’explique quel genre de vols elle a subi. Tes yeux s’arrondissent et tu es obligé de détourner la tête pour cacher le sourire amusé qui s’est étalé sur ton visage.

    « Ah. Voilà, ah, c’est bien non ? En tout cas, ça te donne quelques secondes de répit pour ravaler ton rire. Tu es sûr de toi ? Parce que bon, je ne vois pas bien ce que quelqu’un ferait avec tes culottes, Nyo… Et bien entendu, elle parle de son châle, et toi tu opines du nez aussi vite. J’aurais rassemblé tous les hommes pour le retrouver, que crois-tu ! Personne ne touche au doudou de ma petite soeur ! »

    Et cette fois-ci, c’est trop pour toi, tu te mets à rire de bon cœur en venant l’attirer vers toi pour poser un baiser sur ses cheveux en prévision de sa réaction qui risque de ne pas être des plus douces vu comme ça t’amuse cette histoire.
    Léandre A. Stellaa

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