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    Tu n’auras pas tenu plus de deux semaines, à tourner et rôder autour du QG des Forces Armées, avant de te décider, petit fille. Tu connais leur leader, parce qu’il apparaît aux mêmes diners mondains que le Commandant de la Milice et par extension ton père, ta mère et toi. Pourtant, tu ne lui as jamais parlé, et tu as même décidé de ne jamais t’en approcher, après que le Commandant Dieter t’en ais dépeint un portrait clairement apeurant.

    Visiblement, tu n’es pas faite pour te tenir bien longtemps à ce que tu t’étais fixé comme limite. Habillée comme une civile (tu n’aurais pas l’audace de te présenter en uniforme de l’École Militaire là-bas), d’un pantalon noir, soyeux, et d’une blouse blanche toute légère, tu as déposé une immense cape sur tes épaules et voilà que tu entres dans le QG à l’heure où tous les soldats partent déjeuner. Tu le sais, le Major et quelques autres hommes ne bougent pas d’ici pour le repas, c’est donc le moment que tu as choisi pour frapper.

    Tu as l’air d’une toute petite chose fragile dans l’immensité de ta capte qui t’avale et te cache jusqu’au genou, une lourde capuche ramené sur ta tête pour cacher un peu le roux-blond de tes cheveux et la forme de tes traits. Tu marches vite, pressée, peut-être un peu suspecte vu les coups d’œil que tu glisses sans cesser autour de toi. Pourtant, tu pourrais peut-être parvenir jusqu’au bureau du Major sans souci, si tu ne finissais pas par percuter un tout jeune homme, sûrement une nouvelle recrue, chargé d’épées protégées dans leurs fourreaux.

    Aïe !

    Ton cri t’échappe, alors que vous valdinguer tous les deux en bas de l’escalier que tu gravissais, sur la terre battue de la cour intérieure. Tu es en train de te frotter la joue, parce qu’un pommeau y a cogné fort, alors que le soldat lui, panique et se met à débiter un flot de colère et d’insultes contre toi.

     Eh ! Vous non plus vous ne regardiez pas où vous alliez ! Tu clames en te relevant en prenant appui sur une de ses épées.  Si vous n’êtes pas capable de regarder devant vous, transportez moins de matériel la prochaine fois ! Que tu as même le culot de rajouter, en pinçant les lèvres alors que le type s’enflamme en face de toi.
    Sasha L. Maartens

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : [DONE] C'est ainsi que je vois les choses, avancer, avancer toujours, quoi qu'il advienne. (Kelsier) Tumblr_oswt55QMdK1s6n23no8_400Messages : 71Age : 21 ans.Situation : Promise qui n'en veut pas.Métier/Escouade : Fille de noble.Zone libre : ¤ A réussi à faire 4 des 5 ans de classe militaire avant d'être sortie de là de force.
    ¤ Coincée dans un mariage arrangé à venir depuis ses 15 ans.

    Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 2679
    Sam 28 Nov - 19:17.
    Une chemise ouverte, tout juste et simplement enfilée par-dessus un débardeur humide de sueur. Ton sac lancé négligemment sur une épaule, tes cheveux complètement en bataille et la peau encore rougie par l'effort. Voilà l'image que tu offres de toi, en sortant de l'un de tes nombreux entraînements en solitaire. Certains disent que tu vises probablement un poste plus haut que celui que tu possèdes déjà, d'ailleurs, il est amusant de constater que les pronostics vont bon train en ta faveur, d'après la majorité, tu as toutes tes chances d'obtenir une promotion d'ici peu, si tu la demandes, bien entendu, et, parait-il que même Léandre Stellaa n'y pourrait pas grand chose. Amusant, n'est-ce pas ? Plus encore quand on sait que tout cela n'est que pure rumeur non fondée, et que de ton côté, tu ne désires aucune promotion à l'heure actuelle. Le changement, ce n'est pas pour toi, tu as même une sainte horreur de toi, tu as toujours trouvé ça fatiguant, pourquoi donc te l'imposerais-tu ?

    Tu as terminé ta matinée. Tu as décidé, aujourd'hui, d'un peu plus permissif … entendons par là que tu as laissé leur après-midi à tes hommes. Tu ne l'as pas fait par bonté d'âme, par contre, disons simplement que tu sais exactement quand t'arrêter, et qu'épuiser tes soldats à la tâche serait tout à fait contreproductif. Le reste de la journée est donc dégagé pour toi, c'est d'ailleurs pour ça que tu sors dans cet état. Ta douche, tu la prendras chez toi, tu pourras ainsi enfiler une chemise propre avant de t'occuper de quelques broutilles. Ce soir, il est prévu que tu retrouves Aedan pour boire un verre. C'est votre soirée habituelle, hebdomadaire.

    Tu t'engages donc dans l'escalier principal, pour rejoindre le rez-de-chaussée, et ensuite quitter le QG quand tu assistes à cette scène … ridiculement rageante, mon vieux. Il y a cette silhouette encapuchonnée qui monte, ou plutôt, qui tente d'entamer l'escalier à la vitesse de la lumière et puis, ce jeune soldat, chargé de matériel qui descend. Le choc entre ces deux-là parvient même à t'arracher une grimace tandis que dans un bruit assourdissant, ils se retrouvent tous les deux en bas des marches, avec le matériel qui s'éparpille dangereusement autour d'eux. Un soupire s'échappe donc de tes lèvres, tu passes une main dans tes cheveux humides, n'arrangeant de ce fait clairement pas leur allure et alors que les chamailleries commencent, ton regard lui, se fixe sur la jeune femme cachée sous une cape. Silence ! Que tu finis par lancer, ta voix tonnant dans l'escalier alors que tu descends quelques marches pour les rejoindre, balançant du pied une épée qui traîne sur ton chemin. Ne vous as t'on pas appris à être prudent lorsque vous transportez du matériel, et qui plus est de l'armement dans les couloirs ce quartier général, soldat ? Tu as ta réputation, ici, Kelsier, chez tes hommes comme chez ceux des autres, d'ailleurs, alors, quand ce jeune garçon se tourne sur toi, tu le vois immédiatement blêmir, s'il tente de s'expliquer, s'il s'excuse, s'il baragouine quelques paroles incompréhensibles, tu finis par le faire taire d'un revers de main. Ramassez moi donc tout ça, et assurez vous que tout est en bon état ou je vous ferais astiquer chacune des armes de l'armurerie, est-ce clair ? Il acquiesce, puis, à la vitesse de la lumière, il se met à tout ramasser, à tout charger de façon bancal sur son dos et dans ses bras, et enfant, il détale. Quand enfin il disparaît, c'est vers elle que tu te tournes. Et vous, qui êtes vous ? Votre nom ? Les civils ne sont pas autorisés à traîner par ici, expliquez vous.
    Kelsier Hodgen

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : [DONE] C'est ainsi que je vois les choses, avancer, avancer toujours, quoi qu'il advienne. (Kelsier) Tumblr_ocsd47bmz01uq4zv4o1_400Messages : 50Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Caporal, Forces Armées.Zone libre : [DONE] C'est ainsi que je vois les choses, avancer, avancer toujours, quoi qu'il advienne. (Kelsier) Tumblr_inline_p16njbqYHH1ueqokk_540Points : 2678
    Voilà que ce triple idiot se croit le droit de hausser le ton sur toi, Sasha. Et tu as beau te relever en sentant ta joue douloureuse, probablement bien rouge, tenter de lui faire comprendre qu’il est au moins aussi responsable que toi de l’incident. Et en soit, vous auriez pu aussi rendre ça aussi insignifiant que ça l’est, si vous n’en veniez pas à hausser le ton comme ça. Les choses sont pourtant faites, les dés lancés et c’est trop tard pour rattraper ce problème…

    Un homme apparaît, à peine vêtu et les cheveux complètement décoiffés. Si ton premier réflexe, nourrit par l’éducation que tu as eu, c’est de détourner pudiquement les yeux, quand tu vois la réaction du jeune soldat, tu comprends que tu as affaire à quelqu’un d’important. Et tu vois, toi, Sasha, tu as besoin de personnes importantes pour t’aider à atteindre ton but.

    « Tenez, n’oubliez pas celle-là. Que tu lances, en lançant l’épée dans les bras du soldat avec une certaine aisance. Tu attends qu’ils partent, en le suivant des yeux quand l’homme reprend la parole. Sasha Wilde. Tu lui réponds, en reprenant ce patronyme qui appartient à ta mère et t’as offert 4 ans de couverture. Je sais pertinemment que les civils n’ont pas à traîner au QG… Tes yeux quittent son visage pour glisser sur sa veste et y repérer le symbole qui te permet de t’adresser à lui correctement. Caporal. »

    À aucun moment tu ne fais un pas en arrière, mais tu découvres ta tête en le saluant rapidement. Tes yeux reviennent glisser sur lui, sa tenue bien trop légère, avant de remonter à son visage, et ce même si tu dois clairement basculer la tête en arrière.

    « Je dois m’entretenir avec le Major Stellaa, pour une affaire aussi urgente qu’importante. Tu fais un pas vers lui et si on s’attendrait à ce que tu cherches à le commander, c’est un de tes sourires charmant qui s’étire sur tes lèvres. Je dois bien être autorisée à rentrer ici pour ce genre de raison non ? Tes yeux glissent autour de toi avant de revenir à lui. Je ne dérange personne, aucun entraînement ni réunion. Et puis, vous n’avez qu’à m’accompagner si vous voulez être certain que je ne fais rien de mal, non ? »
    Sasha L. Maartens

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : [DONE] C'est ainsi que je vois les choses, avancer, avancer toujours, quoi qu'il advienne. (Kelsier) Tumblr_oswt55QMdK1s6n23no8_400Messages : 71Age : 21 ans.Situation : Promise qui n'en veut pas.Métier/Escouade : Fille de noble.Zone libre : ¤ A réussi à faire 4 des 5 ans de classe militaire avant d'être sortie de là de force.
    ¤ Coincée dans un mariage arrangé à venir depuis ses 15 ans.

    Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 2679
    Dim 29 Nov - 13:45.
    Tu pourrais être impressionné. Attendri, de voir cette petite chose balancer cette épée, pesant pourtant un bon poids, avec aisance, sur le tas qui se trouve déjà entre les bras du jeune soldat mais … Mais, non. Non, parce que, ce clairement pas ton genre, Kelsier, du coup, à la place, c’est un regard absolument glacial que tu poses sur elle et quand le jeune homme a enfin disparu de ton champ de vision, c’est à elle que reviens toute ton attention, sur elle que se pose tout ton intérêt. Tu n’as jamais apprécié devoir faire la milice … si tu avais voulu les rejoindre, tu l’aurais fait, en l’occurrence, tu as fait tes armes parmi les soldats qui se battent pour de bon, pour de vrai. De ce fait, c’est non sans une certaine affreuse grimace que tu te mets à poser les questions.

    A ta grande surprise, tu obtiens un nom en quelques secondes à peine, avec aplomb, la voilà planté devant toi à étaler sa petite science, utilisant même ton grade en se fiant très probablement aux décorations qui se trouvent accrochées à ton veston. Yeux plissés, tu continues de la toiser alors qu’elle semble t’observer à son tour, jusqu’à, enfin, te donner les raisons de sa présence au beau milieu d’un bâtiment militaire avec une cape qui, franchement, plus que la cacher réellement, ne fait que la rendre plus suspecte encore et ne te donnes pas spécialement envie de la croire sur parole. « Le Major Stellaa, voyez-vous ça. » Argh, hein. Rien de t’entendre ce nom et ce prénom glissés sans prévenir au détour d’un échange verbal pourrait provoquer de l’urticaire chez toi. « Où est-ce que vous vous croyez ? » Tu finis par demander, en te redressant un peu, en faisant même un pas dans sa direction pour te pencher ensuite sur ta petite personne. « Miss-je-sais-tout ignore-t-elle que pour obtenir un entretien avec le Major, il lui faut en faire la demande au bureau au préalable ? Vous savez … celui devant lequel vous êtes probablement passer en toute illégalité en vous cachant maladroitement sous ce morceau de tissu … »

    Le truc, Kelsier, c’est qu’elle est tout de même venue titiller ta curiosité, et si tu pourrais, comme le ferait n’importe quel soldat d’ailleurs, simplement la trainer jusqu’au bureau de Stellaa pour la lui livrer, et le laisser s’en occuper, le simple fait de penser qu’elle est venue lui parler d’une chose importante te donnes envie de le priver de tout ça. D’un geste vif, tes doigts viennent donc agripper la cape de la jeune femme, brusquement, te voilà maintenant à la faire remonter l’escalier en la traînant avec toi sans ménagement. Lorsque tu es de retour à ton bureau, tu ouvres la porte pour pratiquement la balancer à l’intérieur en refermant derrière toi. Ta veste retourne s’échouer sur un fauteuil et puis, tu viens te laisser tomber sur ton propre siège dans lequel tu as simplement l’air d’être venu t’échouer. « Quelle affaire urgente ? Je vous écoute. »
    Kelsier Hodgen

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : [DONE] C'est ainsi que je vois les choses, avancer, avancer toujours, quoi qu'il advienne. (Kelsier) Tumblr_ocsd47bmz01uq4zv4o1_400Messages : 50Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Caporal, Forces Armées.Zone libre : [DONE] C'est ainsi que je vois les choses, avancer, avancer toujours, quoi qu'il advienne. (Kelsier) Tumblr_inline_p16njbqYHH1ueqokk_540Points : 2678
    Tu as l’impression que ce n’est définitivement pas bien parti, Sasha, sans vraiment savoir pourquoi. Tu n’as pas idée que ta tenue puisse prêter à confusion sur tes intentions, ou que l’homme en face de toi (un gradé tout de même) puisse refuser de te mener à son supérieur. Alors tu réponds, le plus franchement possible, en venant même étirer tes lèvres dans un sourire doux, avenant. Sourire qui retombe comme un soufflé raté quand l’homme vient te traiter de miss-je-sais-tout.

    « Quoi ? Je… Tu le sais, ton père te l’a appris au QG de la Milice, mais tu as toujours eu un laissez-passez pour cet endroit-là. Je ne voulais pas passer me cacher sous ma cape, juste que… Tu t’arrêtes, tu recules d’un pas cette fois-ci, en fronçant le nez avant de rajouter, d’une voix presque froide.Je sais quel est l’effet d’une femme qui s’avance dans ce genre d’endroit, Caporal. Je ne voulais simplement pas provoquer de soucis comme mon… comme on me l’a appris. »

    Tu allais parler de ton père, comme ça, sans réfléchir. Pour la peine, Sasha, tu viens mordre le bout de ta langue et baisse la tête. Une bien mauvaise idée qui te prend, puisque tu ne vois pas que le soldat, en face de toi, décide tout à coup de s’avancer. Tu sursautes en le sentant empoigner ta cape et sans ne pouvoir rien faire, tu te retrouves à le suivre en courant à moitié pour suivre ses grandes enjambés. Ton cœur, lui, s’est mis à battre fort, d’inquiétude.

    Il finit par s’arrêter dans un bureau, mais visiblement pas celui que tu cherches. Tes yeux glissent sur la pièce, et tu te tournes même pour aviser la porte fermée derrière toi, avant d’entendre sa question. Tu fais volte face, et en constatant qu’il s’est installé derrière le bureau, tu comprends qu’il s’agit de son office. Avec un soupire, tu dégrafes ta cape, pour la pose sur la chaise de ton côté du meuble, sans chercher à t’y asseoir.

    « Puis-je au moins savoir à qui j’ai affaire ? Tu réclames, en ignorant sa question. Vous êtes l’intendant du Major ? C’est vous qui gérez toute la paperasse qu’il n’a pas le temps de faire ? Et cette fois-ci, si tu souris, c’est clairement d’une manière provocante. Désolée, Monsieur, mais mon besoin est plus sérieux que la paperasse, je ne peux pas vous donner la réponse sans être certaine que vous pourrez m’aider. »

    Tu as un sacré culot, quand même, non ?
    Sasha L. Maartens

    Dans mon sac.
    Inventaire:
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    Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 2679
    Dim 29 Nov - 19:31.
    D’où est-ce qu’elle sort, celle-là, encore, hein ? C’est bien connu, Hodge, tu as un rapport bien particulier avec la gente féminine … en fait, si tu ne fais pas l’effort de te faire apprécier d’elles, généralement, et naturellement, ça ne passe pas. Tu as un comportement que la majorité des femmes trouvent simplement inacceptables et franchement, tu t’en fiches parce que tu ne cesseras jamais de dire et de répéter que les femmes sont toutes des emmerdeuses, et une source d’ennuis inépuisable. La preuve encore sous ton nez. D’autant qu’en plus, elle raconte n’importe quoi, ou plutôt, ce qu’elle te conte te sembles totalement ridicule. Tu ne réfléchis même pas au fait que, peut-être, pour elle, ça a du sens, et alors que tu l’entraînes avec toi jusqu’à ton bureau pour prendre toi-même connaissance de cette fameuse affaire si urgente et importante, tu ne peux t’empêcher de lui siffler quelques mots, en guise de correction. « Il y a autant de femmes que d’hommes qui foulent ce QG. Le seul effet que vous avez, c’est provoquer l’agacement. » Voilà bien, en quelques mots simples, tout ce que tu peux penser d’une présence féminine à la place d’un soldat.

    Te voilà finalement de retour dans ta tanière, tu te mets à l’aise, avant de rapidement en revenir à elle pour la questionner à nouveau. Quand Stellaa saura que tu as fourrer ton nez dans une affaire qui le concerne probablement lui, et lui seul, il viendra probablement te casser les pieds. Heureusement, tu as l’habitude, Kelsier, et si tu sais que tu n’es pas intouchable, tu jouis tout de même d’une place de privilégié dont, finalement, tu ne te sers pas plus que ça.

    La chose à laquelle tu n’as pas pensé, en revanche, c’est que, cette fille puisse avoir le culot qu’elle possède. Elle est prudente, probablement intelligente, aussi, mais tu as trop de fierté pour le reconnaître alors, face à ses remarques et ses questions supplémentaires, tu ne fais qu’émettre qu’un grognon terriblement animal, pour finalement lui désigner le chevalet sur lequel est collée la plaque gravée de tes noms et prénoms qui se trouve devant toi, sur le bord de ton bureau. « Ai-je une tête à n’être qu’un vulgaire sous-fifre de ce vieux débris ? » Une insulte ! Voilà ce que c’est, voilà comment tu le prends, en essayant tout de même de conserver un peu de ton sang-froid.

    Tu te lèves. Tu fais de nouveau le tour de ton bureau, et tu viens t’appuyer sur le devant de celui-ci, bras croisés, te revoilà à la fixer d’une étrange façon. « Faisons une chose. Si c’est d’un gratte papier que vous avez besoin – et de ce que je comprends, ce n’est pas le cas – faites donc appel à ce cher et précieux Stellaa … avec un peu de chance, il obtiendra quelques jolies faveurs de votre part en échange de son attention … » Et tout en disant cela, Kelsier, tu la toises, la reluques d’une manière qui ne laisse que peu de place au doute quant à ce que tu essaies de lui faire comprendre. « Par contre, dans le cas contraire, vous pouvez simplement me dire de quoi il retourne exactement, je pourrais alors peut-être m’arranger pour accéder à votre requête. »
    Kelsier Hodgen

    Dans mon sac.
    Inventaire:
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    Tu n’as pas peur, c’est une chose que ton père t’a appris très jeune. Ne pas baisser la tête, ne pas douter de ses actes. Si tu es en danger, il t’a toujours dit de fuir ou de trouver quelqu’un pour t’aider, mais pour l’instant Sasha, tu ne l’es pas et tu sais qu’aucun militaire un minimum sensé ne lèvera la main sur toi dans ce genre de lieu. Alors oui, tu n’as pas peur, et ça se voit dans l’éclat de ton regard que tu n’abaisses pas.

    « Excusez-moi de vous agacer, alors. Tu corriges aussi vite, alors que tes yeux vont à ce qu’il t’indique. Kelsier Hodgen. Tu prononces calmement en lisant son identité. Enchantée Caporal Hodgen. Et tu sens bien son énervement, même si tu ne le comprends pas tout de suite. Ce n’est qu’en l’entendant grogner sur le sous-entendu que tu as fait que tu retrouves un sourire amusé, qui se détend d’un seul coup. Honnêtement Caporal ? Vous n’avez pas l’air d’aimer la paperasse. Tes yeux glissent sur son bureau et les tas de feuilles qui s’y trouvent. Le Major perdrait certainement du temps à confier ses tâches à d’autres, j’imagine. »

    Tu continues à le chercher, tout en jouant parfaitement avec la limite de la politesse et de la bienséance. Et tu vois, quand il finit par se relever et venir s’appuyer contre son bureau, face à toi, bras croisé, tu n’as pas reculé d’un pas. Tu l’observes surprise, prête à lui dire que tu vas partir s’il ne compte pas t’emmener de lui-même à son supérieur. Pourtant, il te double, et toi, petit fille, tu viens enfin perdre de ta superbe.

    Il change de position. Il passe du gradé que ta présence gêne à une main qui se tend devant toi. Et sur ton visage, il y a une surprise probablement naïve qui s’inscrit. Il te faut quand même entendre parler de tes “faveurs” pour que la surprise dégouline de ton visage en une expression bien plus mécontente, un peu colérique aussi.

    « Si vous croyez que les femmes offrent des faveurs, et ce mot sonne atrocement mal dans ta bouche, pour obtenir des entrevus avec des hommes importants, alors vous n’avez rien compris. Tu t’avances d’un pas et ta main se lève pour venir enfoncer ton index contre son torse. Merci de garder ce genre de remarques pour vous, Caporal ou pas ! Tes lèvres se pincent, et pendant une seconde tu sembles clairement réfléchir à la possibilité de le gifler pour lui faire passer l’envie de recommencer. Tu finis pourtant pas reculer et croiser les bras à ton tour. Je souhaite rencontrer le Major Stellaa pour une question de travail. Les Forces Armées ont besoin de soldats, et j’ai ce qu’il faut pour m’enrôler. Tu lèves la tête, pour montrer que tu es sérieuse. Je ne peux juste pas passer par les voies habituelles. »
    Sasha L. Maartens

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    Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 2679
    Ven 4 Déc - 11:33.
    Tu ne comprends surement même pas toi-même pourquoi, exactement, tu perds ton temps aujourd’hui avec cette petite fille. Elle a simplement parler d’une affaire urgente, importante, elle a fait suivre tout ça du nom de Stellaa, puis du grade de Major, alors, forcément, tu t’es dis que ce serait une occasion de mettre quelques bâtons dans les roues du cousin d’Aedan. Ce dernier, d’ailleurs, ne serait probablement pas d’accord avec ça … mais même s’il était ton meilleur ami, tu l’avais toujours trouvé bien trop terre à terre. Tu prends des risques tout le temps, Hodgen, et l’une de tes qualités, autant que l’un de tes défauts d’ailleurs, c’est que tu n’as peur de personne. Surtout pas de tes supérieurs. D’ailleurs, ils le savent. Tous.

    Alors, oui, te voilà maintenant à te montrer parfaitement odieux, tu prends ce droit, et quand tu constates que tu l’as probablement vexée, ou offensée, tout ce qui se dessine sur ton visage, c’est un sourire aussi narquois que moqueur. « Moui … ou que vous vivez dans une cage dorée. » Tu n’es pas idiot, mon vieux. Tu n’as jamais oublié tes origines, et quand tu vois cette jeune femme, tu es parfaitement capable de comprendre qu’elle n’est surement pas n’importe qui. En fait, ça t’intrigue encore d’avantage, et ça te pousses plus encore à la curiosité. Probablement pour ça que tu ne fais pas le moindre geste quand elle vient tapoter ton torse du bout du doigt, comme si elle pouvait te faire obéir comme le chiot que tu n’es pas. D’autres se seraient probablement déjà retrouvés avec le doigts cassé, en plus du nez, tu estimes donc que cette jeune fille est chanceuse, aujourd’hui, puisque tu as décidé de lui accorder ton attention, autant que ta clémence et un semblant de calme de ta part. C’est beaucoup, Hodge, quand ton te connais assez, on peut s’en rendre compte sans difficulté.

    « Voyez-vous ça. » Et là, bon sang, tu le sais que tu es probablement plus odieux que jamais. Parce que tu te retrouves à lui rire au nez, et que tu as même l’audace de te déplacer, de te mettre à lui tourner lentement autour comme si tu étais un vautour lorgnant sur une carcasse. « Le moins que l’on puisse dire c’est que vous n’avez pas froid aux yeux, et que vous ne doutez de rien, Sasha Wilde. » Ça te plait, en fait. Mais tu finis par t’arrêter, l’air plus sérieux que jamais, tu reviens te placer devant elle, à quelques centimètres, pour te pencher sur elle. « Il y a de la place, dans mon escouade. » Que tu claques, subitement. C’est venu comme ça, tu n’avais rien prévu. Et en fait, bien vite, il s’avère que cette simple affirmation s’avère être un parfait appât. « Si vous me racontez ce qui vous pousse à vouloir entrer dans l’armée en passant par des chemins aussi détournés … je pourrais peut-être faire quelque chose. » Même si tu ne sais pas encore quoi. Probablement aller prendre la tête à Aedan pour obtenir une faveur grâce à son nom.
    Kelsier Hodgen

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    Inventaire:
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    Tu pinces les lèvres, très fort, quand le Caporal Hodgen se met à parler de cage dorée. Tu détestes ce terme, Sasha, parce que tu sais parfaitement combien il est vrai dans ton cas. Ta maison, ta vie, ta famille, tout cela est parfait aux yeux de beaucoup, et aurait pu l’être pour toi, mais tu as vu au-delà. Quand tu regardes derrière toi, petite fille, tu vois les barreaux derrière lesquels tu finiras tes jours si tu acceptes les exigences de tes parents.

    À la place, tu préfères lui rentrer dans le lard. Tu le repousses, tu tentes même de lui faire comprendre que tu n’as pas peur en carrant les épaules. Et quand tu fais résonner la raison de ta visite dans ce bâtiment militaire, tu t’attendrais déjà à te prendre une violente crise de rire au nez. Du genre hautaine et mesquine. Alors quand l’homme se met à rire, puis à tourner autour de toi, tu ne craques pas. Tu ta carres, bien droite sur tes jambes, tendue et menton levé, et tu attends la sentence.

    « Le doute, c’est pour ceux qui n’ont pas de conviction. Que tu réponds, sûre de toi parce que c’est quelque chose que ton père t’a dit et redit mille fois. Personne ne me fera douter, Caporal. »

    Et quand il repasse devant toi, tu viens coller tes yeux dans les siens, comme pour lui dire “Vous non plus” avant qu’il ne s’y essaie. Mais le truc, c’est qu’il ne tente pas de briser tes rêves ou de ridiculiser ta volonté. Au contraire. Il parle de place libre dans son escouade et tu as un drôle de mouvement. La surprise brise le masque d’assurance, vient faire luire tes yeux d’un éclat heureux alors que, pourtant, tu recules d’un pas, en secouant la tête. Pourquoi te dit-il ça ? Veut-il… les fameuses faveurs qu’il vantait juste avant ?!

    « Je veux être soldat et servir le peuple ! Tu inspires à fond, avant de mordre nerveusement ta lèvre. Je sais que c’est ridicule, on me l’a déjà dit, mais c’est comme ça que je veux me rendre utile. Tu détournes les yeux et tu as enfin l’air d’une gamine de ton âge quand tu marmonnes. Mon père m’a interdit de m’enrôler, et de m’approcher de la Milice, alors je tenterai ma chance ici. Un frisson te secoue, un court instant et tu reviens à lui subitement, les sourcils froncées. Je sais me battre et manier l’équipement tri-dimensionnel ! J’ai fait mes classes, Caporal et… Un tic nerveux agite ta joue. Enfin… j’ai presque fini mes classes. »

    Le voilà le vrai problème, Sasha. Tu n’as pas fini tes classes, tu n’as légalement pas le droit de t’enrôler. Mais tu n’as plus d’autre chose que d’essayer. Sauf que, ma douce, tu viens de te tirer une balle dans le pied, là, non ?
    Sasha L. Maartens

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : [DONE] C'est ainsi que je vois les choses, avancer, avancer toujours, quoi qu'il advienne. (Kelsier) Tumblr_oswt55QMdK1s6n23no8_400Messages : 71Age : 21 ans.Situation : Promise qui n'en veut pas.Métier/Escouade : Fille de noble.Zone libre : ¤ A réussi à faire 4 des 5 ans de classe militaire avant d'être sortie de là de force.
    ¤ Coincée dans un mariage arrangé à venir depuis ses 15 ans.

    Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 2679
    Jeu 10 Déc - 18:15.
    Laisse tomber, Kelsier, sérieusement. A tous les coups, tu as tout simplement à faire à une petite fille, pourrie, gâtée, qui essaie de faire de la résistance pour faire l'intéressante, et toi, en te mettant sur son chemin, en persistant dans cette voie, tu vas bêtement te retrouver comme … comme quoi, d'abord ? Un instrument ? Un jouet. Un bête objet dont elle se sera servi pour arriver à ses fins, et on sait, hein, à quel point tu détestes quand on se permet de se servir de toi sans même t'en demander la permission.

    Ses phrases toutes faites ont un goût amer pour toi. Parfois, alors qu'elle parle, ou se tient simplement devant toi, en silence, en tentant probablement d'avoir une certaine prestance, il y a cette pensée, qui te traverse l'esprit, cette envie de la balancer dehors sans ménagement, et de demander à deux soldats de la remettre dans la rue, et de s'assurer qu'elle ne remette plus les pieds ici. Ca te sembles être un caprice, mon vieux, mais étrangement, il y a ce petit quelque chose qui te rends hésitant sans que tu ne comprennes complètement pourquoi, qui te retiens, t'empêche d'être comme d'habitude, à savoir : insupportable.

    Alors, oui. Tu vas trop loin. Tu te lances dans des choses sur lesquelles tu n'as, en plus, pas le moindre contrôle, tu vas réussir à t'attirer des ennuis, au moins les foudres de ton meilleur ami, et tout ça pourquoi ? Une enfant agaçante ? Ça n'a aucun sens. Pourtant, te voilà visiblement prêt à tout pour obtenir le fin mot de cette histoire.

    Et évidemment, ça commence par de nouvelles phrases toutes faites. Devenir soldat. Servir le peuple. Ca te tire un soufflement de nez moqueur, puis un soupir, avant que tu ne viennes te pincer l'arête du nez tant ça te paraît aussi ridicule que cliché à souhait. Pourtant, elle s'en rend compte, et c'est probablement ce qui fait que tu te redresses, pour l'observer, et finir de l'écouter. Et la suite, mon vieux, s'avère bien surprenant. Parce qu'alors que tu étais sur le point de retourner t'avachir dans ton fauteuil de cuir, voilà que tu t'arrêtes net au beau milieu de la pièce, tu restes de dos, un instant, les yeux rivés sur la fenêtre alors que le silence est revenu s'installer dans le bureau, et puis, finalement, tu termines ton mouvement, et tu viens calmement t'asseoir, avant de réitérer ton geste, pour la faire s'asseoir face à toi, l'accompagnant cependant pour cette fois d'un regard plus … persuasif.

    La vérité, Kelsier, c'est que son histoire, à elle, elle fait bizarrement écho à la tienne. Et quand tu comprends ça, tu comprends aussi ce qui te retient de la mettre à la porte. Toi aussi, tu as joué au rebelle. Tu as refusé ce qu'on t'imposais, tu as décidé que tu aurais le choix, toi, et toi seul et visiblement, c'est ce que cherche à faire cette jeune femme alors … qui serais-tu, franchement, pour lui mettre des bâtons dans les roues si près du but ? « Presque, ça veut dire quoi ? » Que tu finis par demander, en soupirant légèrement. Parce que, qu'on se le dise, Kelsier, ce n'est pas parce que cette fille à ce petit truc, qui te rappelle douloureusement ton parcours, que tu vas subitement être le plus adorable des hommes avec elle. Tu en as chié, comme on dit, pour en arriver là où tu es, et si elle veut franchir les obstacles qui se dressent devant elle, elle va devoir faire la même chose. Subir. Endurer. Saigner. « Qu'est-ce qui vous manque, exactement ? Des semaines ? Des mois ? Des années ? » Ouais … parce que visiblement, pour toi, il y a une différence alors qu'en réalité, peu importe le temps, elle n'a pas fini, c'est tout, le résultat est le même quoi qu'il arrive, elle n'a pas été validée, acceptée, elle n'est donc pas officiellement sur les listes des Forces Armées … « Il ne suffit pas de savoir se battre et de savoir se servir de l'équipement. Avez-vous déjà au moins aperçu un titan, Sasha ? »
    Kelsier Hodgen

    Dans mon sac.
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    Gif : [DONE] C'est ainsi que je vois les choses, avancer, avancer toujours, quoi qu'il advienne. (Kelsier) Tumblr_ocsd47bmz01uq4zv4o1_400Messages : 50Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Caporal, Forces Armées.Zone libre : [DONE] C'est ainsi que je vois les choses, avancer, avancer toujours, quoi qu'il advienne. (Kelsier) Tumblr_inline_p16njbqYHH1ueqokk_540Points : 2678
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