[DONE] La responsabilité des fautes se met très volontiers au compte des morts (Analynn)

Tu as fini par prendre la fuite, oui, et tant pis si c’est lui montrer que finalement, son comportement à commencé à t’atteindre, parce que, tu as choisi de te préserver. Tu peux bien accepter ses remarques, ses critiques, et ses jugements, tu peux aussi supporter son attitude excessive, et sa manière de faire comme si tout lui était dû. Franchement, tu as du caractère, alors, jusqu’à présent, tu t’étais dit que ça pouvait bien continuer sur cette lancée, que tu pourrais aisément tenir la cadence sans sourciller plus que ça, qu’au pire, il allait t’agacer à certains moments, et que lui montrerait un peu de ton caractère dans ces moments-là. Mais là … là, subitement, ça te parait trop. Beaucoup trop. Et tu aurais dû t’en douter, Analynn, tu aurais dû savoir, au moment où il est venu t’embrasser, en se penchant sur toi de cette façon, qu’il ne s’en tiendrait probablement pas qu’à ça. Tu as été naïve, ma pauvre, ignorante, malgré le fait que tu as parfaitement compris que ce que tu avais ressenti, ce n’était pas … normal.

Alors tu le laisses en plan, complètement, dans cette salle de bain, tu ne veux pas être un jouet, tu le refuses catégoriquement. Tu ne sais pas ce qu’il cherche à faire, avec toi, mais tu ne veux pas le laisser faire ce qu’il veut de toi, alors, tu claques la porte de ta chambre, et tu te laisses tomber sur ton lit, pour finalement te mettre à maltraiter le matelas, puis balancer quelques coussins à travers la pièce. Et ça dure de longues minutes, oui, et puis, tu t’arrêtes, et tu reviens simplement te ramasser sur toi-même dans l’un des fauteuils.

Tu aurais pensé qu’il allait venir insister auprès de toi. Il ne l’a pas fait. Ou plutôt, il te laisse une grosse heure de répit avant que tu n’entendes quelques coups contre la porte de ta chambre. Tu restes assise, si tu tournes la tête pour observer la porte, ton regard revient à l’extérieur. Et puis tu entends sa voix, et tu sais quoi ? Il a presque l’air sincère. Tu as réellement l’impression d’entendre un homme qui s’excuse, ou presque, alors, tu te lèves, et tu viens lui ouvrir la porte, croisant les bras sur ta poitrine, alors que tu le découvres les bras chargés d’un bien trop imposant bouquet de roses … « Vous êtes incroyable, vous, ma parole ! » Tu avais pourtant dit que tu ne voulais pas de cadeau. Il est revenu avec des fleurs. Des roses en plus. Des roses rouges. Et encore une fois, on n’offre pas de roses aussi belles à sa prisonnière, c’est ce que tu te dis, en fixant le bouquet. « Pourquoi vous faites ça, exactement ? C’est votre technique pour me convaincre de vous donner des informations sur ma cité ? » Est-ce qu’il compte … te gêner, au point où tu finiras par lui donner tout ce qu’il veut pour éviter qu’il ne continue ce petit jeu étrange ? Non parce que, si c’est ça, Analynn, tu as bien peur qu’il ne finisse par sortir victorieux. Etonnement, c’est une douce torture, mais elle semble efficace sur toi.

Tu t’avances, en fait, tu sors de ta chambre, et tu passes à côté de lui pour t’avancer en direction du grand escalier. « Vous deviez aller les offrir à une charmante dame qui vous plait, qui sait, vous finirez peut-être par vous décider à me laisser partir pour lui faire de la place … »

Tu l'ignores. Tu lui passes devant, tu ne touches pas au bouquet, quand bien même il est assurément magnifique, Analynn, tu as décidé que tu n'en voulais pas. Tu ne peux pas commencer à accepter ça, ce serait une erreur, ce serait t'embarquer dans quelque chose de dangereux. Tu sais, la fameuse pente glissante de tout à l'heure, oui, toujours la même. Tu ne veux absolument pas entrer dans son jeu, l'aider à effacer les limites, les bords de la vérité. D'une certaine manière, tu fuis une nouvelle fois, parce que lui continues sur sa lancée. Tu ne sais même pas comment prendre ça, c'est juste déstabilisant. Alors … tu fonces droit direction l'escalier pour t'éloigner de lui, une nouvelle fois. Bien évidemment, il ne te laisse pas faire une seconde fois, tu l'entends accélérer le pas derrière toi, et alors que tu t'apprêtes à descendre une première marche, il passe devant toi et … et tu te retrouves face a un homme qui vient de poser un genou a terre, et qui te déposes le fameux bouquet entre les bras, profitant du fait que tu es complètement figée. Surprise. Sans voix.

C’est bien la première qu’on te fais un coup pareil, Ana, de telles manières, ça te parait tout droit sorti d’un tout autre temps. C’est stupide, enfin, si stupide que tu ne parviens même pas à le regarder en face, et que tu détournes la tête tandis qu’il t’annonce qu’elles sont pour toi, et pour personne d’autre, et qu’il ne compte pas ouvrir la porte à une autre. C’est n’importe quoi. Mais de toute façon, il ne te laisse le temps de rien, parce qu’il se redresse, et il finit par descendre les marches pour se retrouver en bas bien avant toi, tandis que tu restes en haut du grand escalier, avec ce bouquet qui, maintenant que tu le tiens toi-même, tu dois l’avouer, sent délicieusement bon.

Et tu sais quoi ? Tu le regardes, de là où tu es, en bas de ces marches, à te sourire, et tu ne peux probablement pas retenir un léger sourire, de même que le rougissement qui s’installe sur tes joues, comme pour aller avec les fleurs. Qu’est-ce que tu peux faire, hein ? Jeter les fleurs par terre et faire demi-tour ? Ça te fendrait le cœur, tant elles sont belles, alors, finalement, tu descends les marches, lentement, pour le rejoindre, et sans prendre le temps de s’arrêter à ses côtés, tu vas déposer le bouquet sur la table de la cuisine pour te mettre à le réarranger un peu. « Vous êtes toujours comme ça ? » Tu finis par demander, une rose entre les doigts, pour reposer tes iris vertes sur lui. « A n’en faire qu’à votre tête ? » Parce que tu as pourtant été très claire, au sujet d’un éventuel cadeau, Ana, et pourtant, il ne lui a fallu qu’une heure pour juste … aller contre tes paroles, en te ramenant ce bouquet, probablement hors de prix. « Qu’est-ce que je dois en comprendre ? » Et tu poses cette question, en désignant les roses, oui, mais en parlant aussi de la manière qu’il a eu de te les offrir, en haut des marches, de ce baiser, sans doute, de ses paroles de tout à l’heure, et même celles qu’il vient de prononcer il y a quelques minutes.

Et tu en es là, Analynn. Tu t’es littéralement sentie obligée d’accepter les fleurs, parce qu’elles sont atrocement belles, et parce que, ce serait du gâchis, de les mettre à la poubelle. Elles vont finir par mourir, de toute façon, c’est ce que tu as toujours trouvé cruel, avec les fleurs coupés, c’est un cadeau que le temps emporte, mais, tu es tout de même décidée à prolonger un peu leur vie, alors, tu les arrangent, tu les installent dans un joli vase que tu as choisi parmi tous les autres, posés ça et là, complètement vides dans la cuisine, tu y mets de l’eau bien fraîche et tu te permets même de les placer à ta guise, dans la pièce, aussi naturellement que si tu étais dans ta propre maison.

Et pourtant, ma grande, tu as eu beau accepter, tu ne comprends toujours pas ce qu’il fait. Si tu avais bien saisi, au début, qu’il te gardait pour obtenir des informations, son attitude est de plus en plus … étrange. Tu aurais tout supporter, vraiment, même le fait d’être enfermée toute la journée, même le fait d’être réellement prisonnière. Mais ça, c’est compliqué, parce que, ça vient te toucher, et t’atteindre, parce qu’il ne te laisse de toute évidence pas indifférente, parce que tu veux réellement lutter contre ça, et qu’il ne t’aide pas vraiment à te reprendre. Plus le temps passe, et plus les choses semblent s’accélérer, et prendre plus d’ampleur, il te laisse de moins en moins de répit et toi, tu en arrives à un point où, vraiment, tu aimerais comprendre.

Et même quand tu lui demandes la vérité, il continue de se jouer de toi. Il te répond, mais il le fait avec des sous-entendus. Tu n’as pas tellement apprécié ce que tu as vu, et entendu plus tôt dans la salle de bain, tu as pris la fuite, et à l’entendre, tu le feras de nouveau s’il t’offre le fond de sa pensée, alors, il préfère … tu ne sais pas trop, désamorcer un peu les choses, sans doute.

Le problème, c’est que les fleurs ne sont que le début. Alors qu’il s’est approché de toi, voilà qu’il dépose sous tes yeux cette petite boîte rouge, et là, ton regard passe de lui, à l’objet, plusieurs fois d’affilé. « C’est une plaisanterie … ? » Tu demandes, subitement mal assurée. C’est fou, ça, Analynn, tu ne sais même pas si tu es touchée, ou en colère, tu ressens quelque chose, ça te submerge complètement, mais tu es bien incapable de dire exactement ce que c’est et ça te rends complètement dingue. Alors, tu attrapes la boîte, brusquement, et tu l’ouvres d’un geste vif pour regarder à l’intérieur. Tu as l’espoir que ce soit effectivement une plaisanterie, et qu’elle soit vide, ou qu’elle ne contienne qu’une breloque mais évidemment, ce n’est pas le cas. A l’intérieur, tu découvres un bracelet magnifique qui te plait aussitôt. Tu aurais été folle de joie dans d’autres circonstances, c’est certain mais là, sans comprendre pourquoi, ce sont les larmes qui te montent immédiatement aux yeux, comme si … tu n’en sais rien en fait, Analynn. Tu te sens coupable, sans même comprendre ce qui te fais te sentir comme ça, alors, tu refermes la boîte, pour te détourner, et passer rageusement ta main sur tes yeux. C’est dingue, ça. Tu sais que tu es prisonnière. Mais tu sais aussi que beaucoup de femme rêveraient d’être à ta place. C’est vrai quoi, il n’est assurément pas désagréable à regarder, il a toutes les attentions du monde envers toi. Il t’offre des cadeaux. Il a cette façon de te regarder, qui pourrait te faire frissonner, parfois. Seulement … tu sais que tu ne peux pas lui accorder ta confiance. Tu sais que si tu entres dans son jeu, c’est toi qui pourrais finir plus bas que terre. « Je l’accepte uniquement pour que vous ne retourniez pas chercher autre chose. » Et tu te tournes à nouveau, pour lui faire face, l’observer, puis soupirer. « Je ne veux pas de cadeaux de votre part, je vous l’ai dit, je finirais par réussir à vous fuir pour de bon, je vais rentrer chez moi, et une fois que ce sera fait, vous n’aurez plus la possibilité de me revoir alors, si vous tenez réellement à faire des cadeaux à une femme, choisissez-en une qui a quelque chose à vous offrir en retour. »

Qu’est-ce que c’est que cette réaction enfin, Analynn ? Tu n’en sais rien trop même, ça vient comme ça, d’un coup, et sans prévenir, ça te submerge, comme si une vague puissante venait de tout balayer sur son passage et tu te rends compte, en réalité, que ce ne sont ni plus, ni moins que tes nerfs qui sont en train de lâcher, une bonne fois pour toute. C’est trop. Les fleurs, c’était déjà la limite, mais ce bijou, il te fait peur. Alors oui, tu échappes quelques larmes, en fixant le bracelet dans sa boîte, pour finalement la refermer, et si tu cherches à cacher cette réaction … c’est peine perdue, et tu t’en rends compte quand il approche, et que ses bras se referment sur toi. Ça ne dure pas. C’est complètement éphémère, mais ça vient rajouter au reste, et c’est ce qui fait que tu finis par craquer, en quelques sortes. Tu viens lui rappeler qui tu es, qui il est, et le fait que tu réussiras à le fuir. Il est vrai que tu as eu tendance à oublier ça, ces derniers jours, parce que tu avais fini par te dire que tu pouvais bien rester en sécurité encore quelques temps … mais tu as été égoïste, et tu vois bien que ton idée était mauvaise. Tu es peut-être dure … tu n’en sais rien, ce n’est pas une manière de remercier quelqu’un qui vous fait un si beau cadeau, après tout, mais toi, tu ne peux pas juste le remercier, et faire comme si tout était normal.

Tu ne sais pas comment prendre sa réponse, à ça. Son sourire, si fier, s’est effacé, maintenant, et ça te ferais presque un pincement au cœur de le voir de nouveau avec cette expression si indéchiffrable pour toi. Par contre, rien de ce que tu as eu pu dire, ou faire ne semble l’avoir décidé à cesser ce petit jeu, avec toi. Peut-être que tu t’enfuiras – c’est bien la première fois qu’il reconnait que ça pourrait arriver, d’ailleurs, note le, Ana – mais en attendant, il continuera de te faire des cadeaux, et d’avoir des attentions pour toi. C’est comme ça, il semble bien décidé à n’en faire qu’à sa tête, et toi, tu te demandes maintenant combien de temps tu vas tenir au milieu de tout ça.

S’il est revenu vers toi, c’est pour t’effleurer, rien de plus. Rien à voir avec toutes les fois où il s’est permis de se pencher sur toi, te donnant bien trop souvent l’illusion qu’il allait te prendre quelque chose, sans te demander ton avis. Il ne force rien, cette fois. Et quand il te laisse, avec ces quelques mots supplémentaires, tu restes seule, dans la cuisine, à soupirer lourdement, sans savoir s’il vaut mieux que tu prennes la fuite à nouveau, ou si tu peux te permettre de le rejoindre.

Tu choisis finalement la seconde option, tout simplement parce que, tu n’y comprends tout bêtement plus rien. Et tu déboules, quasiment au pas de course dans le salon, pour t’arrêter, juste derrière lui. « Vous êtes sincère ? » Tu demandes, de but en blanc, sans détour. Parce que, c’est une question que tu te poses depuis le tout début, finalement. Tu aimerais pouvoir être certaine à ce sujet. Tu voudrais savoir si c’est un jeu, s’il ne fait s’amuser avec tes nerfs, et tes réactions, ou s’il y a quelque chose de plus que ça. Tu ne sais même pas ce que tu aimerais entendre, franchement. « Parce que rien de ce que vous me dîtes n’est cohérent … et que vous m’avez donné l’impression d’être un homme cohérent, jusqu’à maintenant. » Tu tiens toujours la boîte, entre tes doigts, tu la sers, fort, probablement un peu trop d’ailleurs, parce que, tes phalanges blanchissent à vu d’œil. « Vous disiez que vous vouliez juste vous servir de moi pour obtenir des informations, l’autre soir, je veux bien croire que me traiter correctement est dans votre intérêt mais … ça … tout ça … c’est une chose de vouloir utiliser un ennemi, c’en est une autre de vouloir me protéger. »

Jamais, ô grand jamais, au cours de ta vie, tu n’aurais cru te retrouver dans une telle situation, Analynn. C’est juste impensable. Tu viens de la Cité d’en face, ma grande, si tu es là, c’est parce que des personnes mal intentionnées ont essayés de te tuer, qu’ils ont échoué là-dedans, mais qu’ils ont quand même réussi à te faire fuir. Tu as juste lamentable échoué, dés le début, à passer par-delà les radars, mais franchement, si tu t’attendais à quelque chose, en traversant ce maudit tunnel, c’était à te retrouver sous les barreaux, ou éjectée par-delà leurs remparts. A la place, te voilà … là-dedans. Dans cette situation complètement folle, et surréaliste, face à un homme qui refuse de te traiter comme il devrait le faire, alors que tu ne cesses de lui donner des raisons de le faire. Dés le début, il a agi bizarrement, mais plus ça va, et moins ça va, disons les choses comme elles sont. Et toi, tu ne sais pas, Analynn. Tu n’y comprends rien. Et quand tu lui poses cette question, tu as juste envie qu’il te réponde qu’il n’est assurément pas sincère, parce qu’il n’a pas à l’être avec toi, et qu’il ne fait que s’amuser de tes réactions. Oui, vraiment, ça t’arrangerait, tu pourrais te dire que finalement, tout est normal.

Mais non ! Non. Forcément, non. Tu devrais être habituée, maintenant, il fait toujours tout l’inverse de ce que tu pourrais espérer, à croire qu’il est capable de lire dans tes pensées, et qu’il s’arrange pour aller contre. Oui. C’est sa réponse. Oui à quoi, exactement ? Tu ne sais pas. Oui, il est sincère, c’est ce que tu comprends, et ça vient provoquer un violent frisson en toi. Et le voilà, en plus, qui s’approche à nouveau, qui vient te prendre la boîte des mains, pour la reposer sur une table, près de toi, et puis, il garde ta main en otage. Et encore une fois, non, il ne veut pas faire de toi son ennemie, oui, tu le seras de nouveau si tu choisis de t’en aller. Le reste, c’est flou. C’est une bouillie de mots qui partent dans absolument tous les sens. C’est horrible, bon sang, parce que … il parvient, tout doucement, à insinuer en toi l’idée que, potentiellement tu pourrais rester ici, en effet. Certes, tes parents te manqueraient, à un moment donné, mais tu n’avais rien de plus de bien passionnant là-bas, et le simple fait d’en arriver à une telle conclusion au bout de quelques jours ici, ça te fait peur. Il est en train de te retourner le cerveau, Ana, toi qui n’es pourtant pas si malléable que ça, il a réussi à te mettre de sacrées graines d’idées dans le crâne.

« Vous n’arrêtez pas de dire ça … » C’est bien vrai, depuis le premier jour, il a émis l’idée que tu pourrais te faire une place à Widerstand. Avec le temps, il a commencé à préciser sa pensée, à avancer que tu pourrais avoir ta place ici. Maintenant, il te parle de rester dans son sillage, afin qu’il puisse te protéger. « L’idée de juste abandonner vingt huit années de ma vie pour … pourquoi, d’ailleurs ? » Et tu es venue chercher sa main, emprisonner ses doigts des tiens, alors qu’il s’était mis à effleurer ton visage, et un reste de blessure pratiquement disparue. « Votre protection ? Pour … vous ? » Ce n’est pas ce qu’il te demande. D’ailleurs, il ne te le demandes même pas, c’est une proposition, tu as compris qu’il faisait tout ça pour te convaincre, pas pour te forcer, le choix est le tien. Rappelons qu’avec lui, depuis le début, tout n’est que question de choix. Il t’as déjà dit ça, tu dois pouvoir faire ce qui te fais envie, pas ce qui te parais être le mieux et bon sang, Analynn, c’est dangereux de partir sur cette voie, parce qu’actuellement, tu n’as pas la moindre envie de retourner à Fortschritt. « Qu’est-ce qu’il adviendrait de moi, si je vous choisis … » Lui, oui. Pas Widerstand. Pas une quelconque position, ou une quelconque place, c’est de lui que tu parles. Et remarquons que cette fois, oui, tu parles de choix. De ton choix.