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    Forces Armées - Major.
    Léandre A. Stellaa
    Mer 23 Déc - 21:17.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t55-leandre-on-ne-reveille
    Tu es… Non, en faite, il n’y a aucun mot pour décrire l’ampleur de ce qui te secoue, Léandre, quand tu quittes le QG à peine après la pause du repas. Il te reste une montagne de choses à faire, tu avais encore des réunions à tenir, tu devais faire un point sur les nouvelles montures à acheter pour préparer le budget, et puis il y a eu Kelsier Hodgen et tout est partie en vrille. Tu voulais te battre, oui. Un vrai combat entre mutants, Léandre, et cet idiot d’Hodgen était le bon soldat pour ça. Sauf que si tu pensais gagner, ou au moins perdre avec les honneurs, tu t’es juste retrouvé… laissé pour mort sur le sol de cette foutue salle d’exercice. Un KO, en quelques minutes de combat, ça t’a laissé un goût amer en bouche.

    Au final, quand tu as pris la fuite, tu n’es même pas passé par l’infirmerie. Tu t’es enfermé dans ton bureau, le temps de descendre deux verres de whisky pour contenir la douleur, et tu as trouvé ton cousin qui finissait un fond de bouteille dans son bureau (pour ne pas changer), afin de le charger de prendre la suite des réunions du jour (on ne confie pas de pouvoir à un autre que son sang, c’est ta règle pour le moment) en prétextant une réunion urgente au Palais. Et puis, avant que tes imbéciles de soldats ne reviennent de leur pause déjeuné, tu as récupéré Kimaira, et tu as traversé la ville à bâton-rompu pour enfouir cette honte loin derrière toi et ruminer en paix ta colère.

    Ce que tu as un peu oublié sur le coup, Léandre, c’est qu’à la maison aussi, tu ne serais pas tranquille, pas seul tout du moins. Tu abandonnes Kimaira aux mains du palefrenier, et en avançant vers la maison, tu vois bien que certains ouvrent la bouche pour te demander si tout va bien. La fureur qui coule par tous les pores de ta peau les arrête à chaque fois. Et finalement, quand tu pousses la porte de la maison, ca te revient à l’esprit.

    Analynn est chez toi… enfin à moins qu’elle ne se soit encore échappée comme elle l’a fait en début de semaine. Tu l’as su aussi vite en rentrant le soir, et tu as eu le culot de ne rien dire, de faire comme si, pour te lever le lendemain et laisser ta veste pliée sur la table du salon, propre et prête à l’emploi. Lui laissant par la même occasion comprendre que tu savais tout de ses manigances…

    « Putain ! »

    L’insulte t’échappe quand, en posant ta veste sur la chaise de la cuisine, à droite de l’entrée, ton écharpe s’éffondre au sol. Et qu’on se le dise, Léandre, ce n’est rien. Mieux encore c’est ta faute. Pas cette de la cuisine, ni de celle qui fait le ménage, ni de la chaise, ni… Et bah tu t’en fiches mon vieux. La rage explose en toi avec une telle force qu’elle souffle tout sur son passage. Tu attrapes la chaise en bois entre tes mains avant de l’abattre de toutes tes forces sur la table. D’une pierre deux coups, enfin trois même. Tu casses la chaise. Tu casses la table. Et tu te retrouves des échardes pleins les mains.

    « Je dois m’en débarrasser ! Que tu grognes soudainement et ce n’est pas de la chaise dont tu parles, mais de l’autre abruti qui t’as ainsi manqué de respect ce midi. »
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : [DONE] La responsabilité des fautes se met très volontiers au compte des morts (Analynn) Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3748
    Mer 23 Déc - 21:43.
    https://vogel-im-kafig.forumactif.com/t102-ce-sont-des-choses-qu
    C’est marrant, Analynn, tu pensais pouvoir la lui faire à l’envers. Quand tu t’es rendu compte que tu pouvais sortir, que tu avais de la marge pour te balader en ville, et puis finalement revenir, tu t’es dis que ce serait facile, qu’il n’en saurait jamais rien, et honnêtement, tu étais plutôt fière de jouer la comédie, le soir même, en avançant en plus à quel tu t’étais ennuyée, toute seule, dans ta chambre, avec quelques livres comme seule compagnie. Il avait eu l’air de marcher, et tu t’étais sentie sacrément fière. Jusqu’à descendre au salon, dés le lendemain matin, jusqu’à trouver la veste que tu lui avais emprunter, et que tu avais pourtant bien remise à sa place, pliée, déposée sur la table avec un petit mot. Il savait. Il savait tout, et pourtant, il n’avait rien dit. Mieux, tu n’avais même pas eu droit à de nouvelles menaces, tant que tu revenais, Analynn, le fait que tu sortes de temps à autre ne semblait pas lui poser plus de problèmes que ça et, tu l’avoues, malgré la colère qu’avait provoquer chez toi le baiser qu’il t’avait volé, le premier soir, tu avais souris, le mot entre les doigts.

    Il y avait donc désormais comme un accord entre vous deux. Lorsque tu sortais, tu te montrais prudente, tu t’arrangeais pour rester loin du moindre soldat que tu pouvais apercevoir, et tu faisais en sorte d’être retour bien avant qu’il ne le soit. De ce fait, tu avais été présente, chaque soir, à son retour, depuis qu’il t’avait arrachée à la rue, pour t’emmener ici. De ton côté, tu n’avais toujours pas décider quoi faire de ses histoires personnelles, et, honnêtement, le fait de tout laisser de côté, et de rester ici, au chaud, à l’abri, n’était assurément pas désagréable. Mieux, Analynn, ça avait fini par t’arranger, mais ça, tu avais à tout prix éviter de l’avouer à Léandre.

    Aujourd’hui, ma grande, tu n’es pas sortie. Le ciel est gris depuis le début de la journée, et ton escapade hier t’as suffi. Si tu trouvais excitant de sortir, au début, tu as visiblement fini par t’en lasser, déjà. Du coup, tu t’es installée en haut, sur l’un des fauteuils de ta chambre, près de la fenêtre, la veste sur tes genoux, un bouquin entre les mains et une tasse de thé légèrement fumante près de toi, diffusant une odeur plaisante dans toute pièce. Tu as encore plusieurs heures à tuer, le Major rentre assez tard ces derniers temps, tu supposes qu’il a du travail mais … voilà que subitement, tu entends la porte, elle claque, en bas, et en te penchant, à la fenêtre, il te semble voir la robe du cheval de Léandre disparaitre.

    Tu déposes donc ton livre, repousses la veste pour sortir de ta chambre, t’engager dans le couloir, et tu es encore dans l’escalier quand tu entends sa voix. Une voix rageuse qui te fait froncer les sourcils et te pousses à accélérer le pas. En bas, lorsque tu déboules dans le salon, il est là, oui, une chaise entre les mains, qu’il vient littéralement fracasser contre la lourde table. Les deux meubles se brisent sous ton regard stupéfait, alors que tes yeux reviennent s’accrocher au Major. « A mon avis, ils sont morts tous les deux, c'est bon. » Que tu lances, sur un ton presque outré. Et tu t’approches, et tu captes l’état de son visage. Cet œil enflé, fermé, cette lèvre ouverte en deux, le sang séché, et puis bien sûr, maintenant, ses mains. Il parait être dans une telle rage, Analynn, et il vient de briser les deux objets avec une telle facilité, qu’il vaudrait surement mieux que tu le laisses se calmer, et que tu t’éloignes. Pourtant, toi, tu viens attraper ce qu’il reste de la chaise dans ses mains, tu tires d’un coup sec pour le lui prendre, et le balancer au sol, avec les autres débris. « Qu’est-ce qu’ils vous on fait ces pauvres meubles ? » Tu demandes, bien consciente, évidemment, que le problème est probablement ailleurs. Tu lèves les yeux vers son visage, tu grimaces légèrement, et puis, tes doigts viennent chercher l’une de ses mains, et tu l’entraîne avec toi pour monter l’escalier, puis jusqu’à la salle de bain où tu sais désormais que la boîte à pharmacie est rangée. « N’essayez même pas de protester. »
    Analynn Marshall
    Gif : [DONE] La responsabilité des fautes se met très volontiers au compte des morts (Analynn) A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : [DONE] La responsabilité des fautes se met très volontiers au compte des morts (Analynn) E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 3289
    Mer 23 Déc - 22:11.
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    Tu ne vois plus grand-chose. Tout est comme enfermé dans un tunnel au couleur du sang qui bat avec force dans tes tempes. Tu sais bien, Léandre, qu’en craquant de la sorte, tu ne fais que donner du crédit et de la valeur à la victoire d’Hodgen, mais tu n’y peux rien. Tu diras après coup que c’est sous le coup de douleur que tu te laisses à ce point dépasser, mais c’est faut. Tu es mauvais perdant, encore plus quand ton adversaire est un chien galeux dans son genre, alors ça prend forcément des proportions dantesques…

    Et tu continuerais certainement à ravager toute la pièce si tu n’entendais pas sa voix sortir de nulle part. Quand tu relèves le nez, c’est pour tourner une tête de tueur (mais un tueur abîmé, rappelons-le) sur elle. C’est fou, parce que tu as toujours été agréable avec elle, mais cette fois-ci, c’est la haine ou la violence que tu aurais dû avoir à son égard depuis le premier jour qui sort, suinte de toi.

    « Si vous ne faites pas attention, c’est vous qui finirez dans cette état ! Tu grognes, alors qu’elle approche et t’arrache la chaise des mains. »

    Tu entends sa question, Léandre, pourtant tu es tout bonnement incapable d’y répondre. Ca ne la regarde pas, ce sont tes affaires. Tu refuses de t’effondrer devant elle ou de lui demander de t’écouter et au final, c’est un peu ça que Rose te reprochait avant de te tromper, non ? Quoi qu’il en soit, tu luttes pour simplement ne pas abattre ta main sur elle quand elle bouche. Elle prend une de tes mains et tu es si surpris que tu la suis sans comprendre… enfin… jusqu’à arriver dans la salle de bain.

    « Je ne suis pas moribond ! Que tu claques, alors qu’elle te demande pourtant de ne pas protester. Je vous fais pitié à ce point ?! Et tu bouges, tu l’attrapes par le poignet, brutalement, pour la tirer vers toi aussi violemment et la dominer de ta haute taille. Vous avez finalement décidé d’aider votre ennemi, Analynn ?! »

    Et tu sais absolument ce que tu fais, mon vieux. Tu t’acharnes sur elle, contre elle, parce que tu es furieux de ce qu’il s’est passé. Tu ne sais pas gérer avec la gentillesse des gens, alors tu l’agresses en espérant que ça la fera fuir… Parce que toi, tu n’es visiblement pas capable de l’envoyer balader comme tu aurais dû le faire dès le premier jour de cohabitation entre vous deux.
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
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    Mer 23 Déc - 22:28.
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    Tu sais bien que tu devrais t’arrêter là. Dés que tu l’as vu de retour, et dans cet état déplorable, et surtout, dés que tu t’es rendu compte de la rage qui l’habitait, que tu as constaté la violence de son attitude, tu aurais tout simplement dû t’éloigner, remonter dans ta chambre, et surement, t’y enfermer pour te préserver. N’oublions que vous n’êtes pas des amis, ma grande. Vous êtes même des ennemis, et tu es sa prisonnière, d’ailleurs. On aurait tendance à l’oublier, oui, parce qu’il te traite correctement depuis le début, parce qu’il te laisse profiter de sa maison, et de son personnel, mais la vérité est là, et ce n’est pas à toi de t’occuper des problèmes qu’il peut rencontrer.

    Pourtant, Analynn, tu ne fais pas demi-tour, tu ne te fais pas non plus toute petite, en fait, tu t’avances, et tu viens lui retirer le morceau de chaise des mains, avant de te décider à le traîner derrière toi. C’est presque un air déjà vu, non ? A ça près que vos rôles ont été inversés. Le premier soir, c’est lui qui t’a traînée jusqu’à cette salle de bain, pour s’occuper de tes méchantes blessures et visiblement, aujourd’hui, tu ne te sens pas le cœur à le laisser dans sa douleur. Tu prends donc le risque de subir, ses foudres, tu sens, la pression de son corps, rien qu’en tenant son poignet entre tes doigts et quand vous vous retrouvez en haut, c’est limite s’il ne te craches pas ses mots au visage. Non, c’est vrai, il n’est pas à l’agonie, mais est-ce une raison pour laisser son visage dans cet état ? Toi, tu penses que non.

    Quand tu le relâches, c’est lui qui t’attrape, il tire sur ton poignet, violemment pour te ramener à lui, se pencher sur toi et … franchement, tu ne sais pas bien ce qu’il fiche, hein, s’il passe ses nerfs sur toi, ou s’il essaie de te faire peur, mais toi, tu soutiens son regard, sans même savoir si c’est une bonne idée, ou non. « Personne n’a parlé de pitié, j’ai une dette, et je n’aime pas que ça traîne alors je profite de l’occasion de vous voir en morceau pour la rembourser. Bravo, vous venez d’apprendre une nouvelle chose à mon sujet, je suis quelqu’un d’opportuniste. » Et il te tient, et tu ne bouges pas, alors de ta main libre, tu viens ouvrir le meuble, à ta portée, pour attraper la boîte à pharmacie que tu poses près de toi, avant de l’ouvrir. « Qu’est-ce que vous allez faire, Léandre ? Me tuer ? Vous ruineriez vos efforts pour me garder ici ... pour le simple plaisir de passer vos nerfs comme un animal ? » Tu demandes, en tendant ton visage vers le sien, et en attendant simplement qu’il prenne sa décision.
    Analynn Marshall
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    Mer 23 Déc - 22:39.
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    Ca te tue. Honnêtement, Léandre, ce n’est pas bon pour toi de te mettre dans de tels états de colère ou de haine. Tu approches de la quarantaine, ton travail est une source suffisante de stress, pas besoin que tu te rendes malades pour un combat perdu. Le fait est que tu en es probablement un peu conscient au fond de toi, mais que tu continues quand même d’agir comme tu l’as toujours fait. On aurait pu croire qu’avec les années et ta réussite professionnelle, tu cesserais de te battre bec et ongle pour briller mais ce n’est pas le cas. C’est même le contraire.

    Alors oui, tu ne supportes particulièrement pas que l’on te prenne en pitié. Tu n’aimes pas que l’on prenne soin de toi en général, mais dans ce genre de cas, ça te donne juste envie d’être odieux. Et puisqu’Analynn ne se prive pas d’aller vers toi, et de te traîner dans la salle de bain, tu en fais autant. C’est avec elle que tu te comportes mal, au point où tu pourrais même la blesser en serrant son poignet de cette manière.

    « Une dette… Tu répètes, alors qu’elle vient littéralement te couper l’herbe sous le pied. Vous n’avez pas… Et tu t’arrêtes. C’est faux, elle a bien une dette envers toi, même si tu n’aurais jamais réclamé un paiement. Je suis votre ennemi. Vous êtes ma prisonnière. Parler de dette et de son paiement va pour sûr déformer les bords de cette vérité ! »

    Et ce n’est pas que tu ne veux pas, Léandre. Depuis le début, tu es celui qui essaie d’abolir complètement cette idée qu’elle est ta prisonnière. Tu la veux coopératrice de bonne volonté, tu ne t’en es pas cacher, mais là, c’est elle qui floute encore un peu les termes de ce qui vous emprisonne comme étant ennemi. Et elle comprend parfaitement tout ça, en continuant à parler.

    « Je ne vous tuerai pas, j’ai besoin de vous. Tu finis par répondre, alors que tes épaules se détende légèrement. Ceci dit, je ne vais pas vous dire que je me comporterai bien quand je suis en colère… Si vous ne voulez pas subir, enfermez-vous dans votre chambre, oubliez-moi et faites comme si ces moments n’existaient pas. »

    C’est tout ce que tu as à lui proposer. Tu ne peux pas promettre d’autres choses que tu ne maîtrises pas, et pour lesquelles tu ne pourrais pas tenir ta parole. Pourtant, ta main se desserre sur son poignet, et tu finis par reculer d’un pas, puis d’un second. Et attrapant le petit tabouret, tu t’assois dessus en soupirant.

    « Faites ce que vous voulez. »
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
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    Mer 23 Déc - 22:57.
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    Heureusement que tu as du caractère, et que tu es à l’aise avec les mots, tiens. Tu lui sors, sans même réfléchir, un discours d’une cohérence incroyable. Tu as une dette, et ça, c’est une vérité. Si tu es du genre à courir après les autres pour payer tes dettes ? Absolument pas, par contre. En revanche, tu es bel et bien quelqu’un de très opportuniste, donc, tu viens bien de lui offrir une nouvelle vérité à ton sujet. Lui qui te disait, l’autre soir encore, qu’il voulait en apprendre plus sur toi, et bien, voilà que tu lui donnes de quoi se mettre sous la dent de ta propre volonté.

    Et tu vois, ça fonctionne, parce qu’il a l’air perdu, tout à coup, et le voilà même qui vient te rappeler votre statut, à tous les deux, vis-à-vis de l’un et l’autre, et ça, ça te fait sourire, un peu, ma grande. « Je vous signale que c’est vous qui avez commencé à le faire avec le vin, le dîner, la jolie chambre, et le baiser que vous m'avez volé. » Et puis, c’est aussi lui qui n’a eu de cesse de te répéter qu’il ne voulait pas te traiter comme on traite une prisonnière d’ordinaire. Ce sont ses méthodes, oui, et elles mettent le doute, alors, qu’il les assume comme un grand, toi, tu ne fais qu’aller dans son sens, après tout.

    Au moins, cependant, il ne te tuera pas. Et tandis que tu fouilles, sans la regarder, dans la boîte à pharmacie, tu l’écoutes aussi te conseiller de t’enfermer dans ta chambre et d’ignorer ses crises de colère, à l’avenir. Pour ton propre bien. Un conseil censé, il est vrai. « Pendant que vous détruisez le reste du mobilier ? Je l’aimais beaucoup, cette table, vous savez. » Tu t’adresses à lui, comme si tu vivais ici depuis des années. Probablement que c’est ta façon à toi d’essayer de détendre un peu l’atmosphère. Mais il s’est assis, maintenant, il t’a même lâché, alors tu te permets de sortir ce dont tu as besoin, avant d’attraper un linge que viens imbiber d’eau, et puis, tu t’agenouilles devant lui, Ana, et délicatement, tu te mets à essuyer le sang qui parsème son visage, tu passes sur les plaies pour les nettoyer, aussi, et une fois fait, ce sont tes doigts qui viennent appliquer un peu de son fameux baume sur ses blessures. « Parlez-moi. » Tu finis par dire, en t’arrêtant quelques instants pour l’observer. « Servez vous de moi pour tout déballer. Je m’en fiche, vous pouvez donner des noms et insulter qui vous voulez, je ne connais pas ces personnes et il est peu probable que je les rencontre un jour, alors … parlez. Ça coûte bien moins cher que de tout casser, en plus. »
    Analynn Marshall
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    Mer 23 Déc - 23:15.
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    Est-ce qu’elle vient littéralement de te retourner le cerveau ? Il semblerait que c’est un peu le cas et donc que c’est une chose possible. Tu l’écoutes et tu sais qu’elle a raison. C’est toi qui a commencé à flouter à ce point les limites de votre relation, avec son comportement actuel, elle ne fait rien d’autre que suivre le chemin que tu as vaillamment tracé. Le truc, tu vois Léandre, c’est qu’avant, c’était elle que tu embrouillais. En prenant la suite sur cette route, les rôles s’inversent et tu peux goûter un peu à ce que ça fait. C’est étrange. Inquiet aussi. Mais tu n’en es pas complètement rebuté.

    « Je ne vous ai rien volé. Tu finis quand même par marmonner de mauvaise grâce. Je vous ai prouvé que vous pouviez ressentir quelque chose quand un homme vous embrasse, c’est différent. Un don, pas un vol. »

    Parce qu’on aura beau te retourner la tête à l’envers ou te mettre à mal, tu n’abandonneras jamais ta manière d’être. Avoir raison, transformer les faux-pas en réussite, tout cela c’est quelque chose qui est inscrit au plus profond de toi Léandre. En attendant, tu finis quand même par reculer, la relâcher et t’asseoir. Et tu lui donnes la possibilité de partir ou de faire ce qu’elle avait prévu de faire. Tu… rends les armes, dans le fond.

    Et tu la laisses s’agenouiller devant toi, attraper ton visage et se mettre à laver tes plaies. Tu as mal, Léandre, mais tu n’en montres pas un signe. Tu ne fais rien d’autre que respirer lentement, et la regarder. Tes yeux passent et repassent sur les traits de son visage et alors que tu te demandes à quoi elle pense, c’est elle qui ouvre la bouche pour te dire de parler, de… vider ton sac. Un ricanement amer t’échappe alors que tu détournes les yeux d’elle, comme un gamin qui boude.

    « Il n’y a rien à dire. Un entraînement qui a mal tourné et je me suis laissé avoir comme un bleu. Moi qui me targue d’avoir de l’expérience et d’être attentif, j’ai laissé mon adversaire m’atteindre sans ne rien pouvoir tenter. »

    Et ça sort d’un sur coup, comme ça. Ca en dit long aussi sur qui tu es et comment tu fonctionnes. Pourtant, ça revient tendre ton corps d’une manière qui n’est pas plaisante. D’ailleurs, tu te redresses, et ta main vient repousser les doigts de la brune, encore enduit d’onguent. Tu ramènes tes yeux sur elle, lui laissant voir l’ampleur de ta colère, alors que tu finis par lui apprendre, d’une voix contenue.

    « Il regrettera sa victoire, même si pour ça je dois un jour m’en débarrasser. Oui, tu parles de meurtre froidement, sans hésiter, sans te laisser dépasser par tes émotions. Et une fois le morceau sorti, tu finis par bouger pour simplement venir repousser à nouveau une mèche de son visage et te pencher vers elle, sans ne rien lui prendre cette fois-ci. Je vous rachèterai une table du même style, si vous aimiez tant celle que j’ai cassé. »
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
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    Mer 23 Déc - 23:37.
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    On te le reproches toujours, de toute façon, Analynn. D’aller trop loin. Tu ne sais pas te contenter des choses les plus simples, du premier niveau de chacune de tes actions, alors, si tu pourrais du coup simplement t’occuper d’appliquer ce baume sur ses plaies, en silence, pour ensuite le laisser retourner à ses occupations, et t’en éloigner, tu pousses le vice jusqu’à lui demander de te parler. Tu te fiches bien de ce qu’il pourrait dire de tout ça, des paroles dures qu’il pourrait avoir envers quelques personnes … tu ne sais pas qui sont ces gens, de toute façon, et puis, tu te dis qu’il est préférable qu’il parle maintenant pour éviter de céder à nouveau à la tentation d’utiliser ses poings. Pas que tu crains qu’il ne puisse finalement te faire du mal, juste que ça te parait plus censé.

    « Voyez-vous ça … » Tu murmures, alors que tu as profité d’une occasion pour glisser le sujet de ce baiser sur le tapis. Tu n’en as pas parlé depuis que c’est arrivé, et tu t’es même contenté de faire comme si ça n’avait jamais existé. C’est la première fois que tu abordes le sujet. « Qui vous dit que ça a fonctionner comme vous l’imaginez ? » C’est le cas. Tu ne saurais même pas décrire ce que ça a pu te faire, mais tu l’as sentie, cette espèce de vague de chaleur qui a traversé ton corps entier, ce courant électrique puissant qui s’est propagé en toi. Tu n’avais jamais ressenti ça, et tu es restée parfaitement immobile pendant de longues minutes après ça … évidemment, hors de question de lui dire qu’il a réussi à te faire de l’effet.

    A la place, tu l’écoutes. Tu ne dis rien. Si tu lui as demandé de parler, ce n’est pas pour commenter, de toute façon. Tu n’as rien à dire là-dessus, c’est arrivé, et tu vois bien que le fait de dire les choses ramène la colère chez lui, mais tu te dis que c’est pour mieux la sortir, et que c’est mieux que de la contenir. « La vengeance est un plat qui se mange froid, non ? » Une vieille expression que tu lui offres là, mais très vrai. Tout ça pour lui dire qu’à chaud, rien ne cesse de ressasser, et qu’il sera sans doute bien plus efficace pour rendre la monnaie de sa pièce à son adversaire lorsqu’il aura réussi à se calmer. C’est que tu es pleine de sagesse aujourd’hui, Ana.

    Il t’a arrêtée dans ton mouvement, et le voilà qui se penche sur toi, à nouveau, tu te mords discrètement la lèvre, forçant un peu sur ta main, pour juste terminer ce que tu étais en train de faire, avant de relâcher la pression. « Inutile. Un cadeau … ça ne ferait que venir entamer encore davantage votre fameuse limite, non ? » Puis tu viens chercher ses mains, Analynn, et tu baisses les yeux dessus, pour passer un bout de linge humide, et frais dessus, il y a quelques échardes dans sa peau, alors, du bout des doigts, tu passes sur l’intérieur de sa main, pour les sentir, et puis, à l’aide d’une pince, tu les retires, et tu restes concentrée sur cette tâche, pendant de longues minutes, avant de finalement te redresser. « C’était bien la peine d’en faire toute une histoire, j’ai fini, ce n’était pas si terrible, si ? »
    Analynn Marshall
    Gif : [DONE] La responsabilité des fautes se met très volontiers au compte des morts (Analynn) A7b1eadc169d59880205b76ef0fa0fddMessages : 152Age : 28 ans.Situation : Célibataire.Métier/Escouade : Elle était journaliste chez elle, maintenant c'est ... elle ne sait pas.Zone libre : [DONE] La responsabilité des fautes se met très volontiers au compte des morts (Analynn) E9a47b819e53ecde4d7399bf6ba92839Multicompte : Kelsier Hodgen, Karhlya Ainsley, Aedan Stellaa, Saskya S. Wynisen.Points : 3289
    Jeu 24 Déc - 14:02.
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    C’est plus simple, pour toi, de t’attarder sur ton comportement de ces derniers jours, la provoquer sur ce baiser que tu lui as pris sans lui laisser le choix que de penser à ton visage qui irradie de douleur ou à la honte de t’être ainsi fait frapper. Et tu sais, Léandre, que tu ne l’as pas laissé de marbre par ton geste, le premier soir. C’est obligé, ou alors elle a un sérieux problème du genre frigide ou ce genre de chose. Et bien entendu, par contre, elle vient tenter de refuser la vérité et toi, penchée sur elle, tu la regardes avec un sourire. Tu es si sûr de toi, que tu continues au culot.

    « Je le sais, ne me mentez pas. Tu es bien trop proche, et pourtant, tu n’as pas envie de cesser d’entrer dans son espace vital. Plaisir, surprise, dégoût, haine, vous avez forcément ressenti quelque chose, Analynn, ce qui me donne donc une réussite de plus par rapport à ce compagnon slash fiancé. Tu viens presque glisser ta main sur sa joue avant de rajouter, d’une voix suave. Mais si vous n’êtes pas certaine de ce que ça a été, je peux retenter l’expérience, bien entendu… »

    Pourtant, tu ne viens rien lui prendre. À la place, tu finis par la laisser s’occuper de toi. Tu lui livres l’histoire dans les grandes lignes. Tu la laisses même te rappeler que la vengeance sera pour plus tard. Et ça te calme, au moins un peu. C’est comme si la rage avait pu sortir de toi et qu’il ne restait que des filament brûlant que tu vas tresser lentement jusqu’à pouvoir t’en servir pour étranger ce type. Elle en profite pour finir ton visage, même si tu viens l’attraper de nouveau et sa remarque sur l’idée d’un cadeau te percute. Tu la laisses s’occuper de tes mains sans y penser.

    « Personnellement, je n’ai jamais vu de limite à mettre entre nous, c’est vous qui n’avez eu de cesse de me la rappeler. Tu murmures lentement, les yeux dans le vague. Si je veux vous offrir quelque chose, je le ferai. »

    Et tu es sur le point de ramener tes yeux à elle, quand elle se relève finalement et s’écarte légèrement. Tu passes sa remarque sous silence, regardant le travail qu’elle a effectué sur tes mains et finalement, Léandre toi aussi tu reviens te lever. Tu repousses le tabouret du pied avant de l’observer elle. Et toi dont le visage s’était relâché en quelque chose de sérieux et distant, tu reviens chausser un sourire en coin avant de revenir vers elle, une main contre sa nuque pour l’empêcher de reculer.

    « Je vous remercie, Analynn. Tu recommences ce même manège, de te pencher vers elle, lentement, pour qu’elle puisse te voir arriver, comprendre ce qu’il pourrait se passer. Je devrais vous offrir quelque chose pour ça, non ? Tu t’arrêtes à une dizaine de centimètres de son visage. Qu’est-ce que vous aimeriez ? »

    Et tu t’immobilises là, comme pour lui laisser le choix, ou plutôt pour la torturer un peu. Tu sais ce que tu veux qu’elle désire, alors tu la forces à ouvrir les yeux, à se poser la question et à agir en conséquence. Et même si elle te repousse Léandre, tu as déjà pris ta décision… tu veux faire voler en éclat tout ce qu’elle croyait savoir de l’amour, de la relation de couple ou du désir pour autrui. Tu vas le lui apprendre, toi.
    Léandre A. Stellaa

    Dans mon sac.
    Inventaire:
    Gif : [DONE] La responsabilité des fautes se met très volontiers au compte des morts (Analynn) Tumblr_p6e75gER5Y1sas7dso3_400Messages : 223Age : 39 ans.Situation : Divorcé.Métier/Escouade : Major des Forces Armées.Zone libre : Cheval : Khímaira, un étalon dans la force de l'âge, qu'il a clairement choisi parce qu'il est d'un blanc parfait.Multicompte : Léandre, Sasha, Cosmo, Laszlo, Alyth & Kanaan.Points : 3748
    Jeu 24 Déc - 14:43.
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    Maintenant que tu en as terminé, tu peux bien le laisser tranquille s’il le souhaite. Ce n’est pas tant la colère, Analynn, qui t’as marqué, mais son état, et si ce n’était évidemment pas de la pitié, parce que ce n’est pas ton genre, tu as toujours pensé qu’on récoltait toujours ce que l’on avait semé, et bien, étrangement, tu n’apprécies guère de voir l’homme qui t’as soignée il y a maintenant quelques jours rentrer dans un état pareil. Et puis, c’est bien trop différent de l’image qu’il te montre depuis le début. Il est donc probable que tu cherches à la restaurer, en partie, au moins.

    Quoi qu’il en soit, tu finis par essuyer tes mains avec un morceau propre du linge maintenant souillé en grande partie du sang du Major, et puis, tu le balances dans la corbeille, avant de te mettre à tout ranger dans la boîte, la refermer, et la remettre à la place où tu l’as trouvée. Tu es silencieuse, Analynn, parce que malheureusement pour toi, tu n’as visiblement pas encore trouvé le moyen de lui mentir de façon convaincante, ou alors, il est vraiment très sûr de lui. Probablement que tu aurais aimé que ta remarque le remette un peu à sa place, mais c’est tout l’inverse qui s’est passé. Il sait que tu as ressenti quelque chose, et s’il ne va pas jusqu’à t’affirmer être sûr de ce que c’était, et bien, le fait qu’il vienne carrément te proposer de recommencer parviens à te déstabiliser plus que tu ne l’aurais voulu. Bon sang, Analynn, ce que ça peut t’énerver de réagir comme ça, parce que contrairement à lui, toi, tu fais tout, il est vrai, pour conserver en tête ce qu’il y a entre vous, pour de vrai. Prisonnière. Gardien. Kidnappée. Kidnappeur. Et pourtant, il avait fallu qu’il vienne t’embrasser de cette manière … ça te mettais dans une rage folle, ça tient.

    Et justement, voilà qu’il vient te rappeler qu’il n’a jamais mis de limite entre vous, et tu pourrais grogner de frustration, quand tu l’entends affirmer ça avec autant d’aplomb et, mieux, tiens, quasiment te reprocher de le faire, toi. Tu ne réponds même pas, encore une fois, par contre, tu montres ta désapprobation en agitant lentement la tête de droite à gauche, alors que tu refermes le meuble un peu brusquement.

    Il a fini par se redresser, lui aussi, et si désormais, c’est toi qui ressens l’envie, presque le besoin de t’isoler un peu, et de t’en éloigner, lui, encore une fois, en a décidé autrement. Il s’approche, sa main dans ta nuque t’empêches d’avoir le moindre mouvement de recul, et il se penche, encore une fois, il s’avance pour venir bien trop près de toi. « Je vous ai déjà dis que c’était inutile … » Tu parviens tout de même à murmurer alors que tu ne peux même pas retenir ton regard de glisser sur ses lèvres. Tu ne ressens rien pour cet homme, tu te le répètes au moins cinq fois dans ta tête. Par contre, ce que tu as ressenti lorsque ses lèvres sont venues chercher les tiennes, ça t’a marqué, et tu ne peux pas nier qu’une part de toi ressens l’envie de ressentir ça à nouveau. Et tu sais ce qu’il a en tête, là maintenant, c’est comme écrit sur son front, tant c’est évident, c’est comme si son regard te criait de prendre ce que tu veux immédiatement.

    Pourtant, tu n’en fais rien. Tu ne peux pas, Analynn, tu te mets encore ces barrières, celle que tu t’es mise une si grande partie de ton existence. Cette fois, tu t’en sers probablement pour te préserver, c’est probablement le fait de te dire que tu es libre, qui te pousses ainsi à vouloir dans la foulée tester de nouvelles choses mais, cet homme n’est pas le bon. C’est même celui que tu dois éviter. Celui que tu dois fuir. Celui dont tu dois t’éloigner. De ce fait, tu te dégages de son emprise dans un mouvement plein de maitrise, et tu recules contre la porte de la salle de bain, en prenant une immense bouffée d’air bien trop contaminé par son odeur, d’ailleurs. « Ne jouez pas à ça avec moi. » Tu n’as aucune confiance, et tu refuses de t’engager sur une pente aussi glissante que celle-ci. Alors, tu te retournes, rapidement, tu ouvres la porte pour sortir de la pièce et tu t’engouffres dans le couloir pour regagner ta chambre.
    Analynn Marshall
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