Laszlo est un croyant, un heureux, un sauveur, une protection. Laszlo est un grand frère émérite. Laszlo est un remarquable fils. Mais Laszlo se délite en même temps que le monde disparait sous les attaques incessantes.
Laszlo Koenig
37 ans Widerstand Soldat dans les Forces Spéciales
La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité.
Joyeux ⊰ Solaire ⊰ Préfère profiter de la vie que s’inquiéter du futur ⊰ Gauche, il casse beaucoup trop de truc ⊰ Parfois poisseux ⊰ Protecteur ⊰ Quelques fois explosif ⊰ Loyal et sincère ⊰ Sacrément aveugle quand il le veut ⊰ A tendance à ne pas voir les sous-entendu qu’il peut dire ou faire ⊰ Pleins de petites attentions pour les gens qu’il apprécie ⊰ Incapable d’être seul, il préfère être avec les siens ou ses amis ⊰ N’hésitera jamais à se sacrifier pour quelqu’un qui compte ⊰ Veut sincèrement faire le bien, il a un sens de la justice très fort ⊰ Perd malheureusement facilement confiance en lui-même ⊰ Plus fort pour les autres que pour lui-même ⊰ Dévoué, trop parfois même ⊰ Romantique, quand il le veut. Il est pleins de vieux principes et d’une éducation droite et chaste ⊰ Se pense facilement dispensable ⊰ Passe facilement inaperçu ⊰ N’a jamais eu la passion, l’envie, la force d’être gradé.
Doux 99%
Courageux 70%
Meneur 20%
Romantique 90%
Adroit 30%
Empathique 85%
Sûr de lui 50%
Solaire 89%
Protecteur 85%
Explosif30%
Passioné 70%
Widerstand, le Vieux Quartier, c’est là où tu es né. Quand tu rentres de missions, tu es toujours de ceux qui aident à ranger, à débarrasser les chevaux et les stocks, celui qui soulage les pères et mères de famille de leur part pour les enjoindre à rentrer au plus vite chez eux. Et quand il n’y a plus rien à faire, que tout le monde repart au QG ou chez lui, toi, tu te perds quelques heures dans les rues de ton quartier.
Tu aimes l’endroit, tu aimes l’ambiance de ses rues, tu aimes cette petite échoppe de plantes dont les odeurs s’étalent toujours à plusieurs mètres à la ronde, tu aimes la manière dont le soleil se lève et se couche contre le mur Rose, tu aimes les souvenirs qui remontent en toi.
Si tu as ce drôle de rituel, c’est pour te couper de la mission avant de rentrer. C’est l’une des choses que tu as choisies de faire quand tu as vu l’épouvante sur les traits de tes parents la première fois que tu es rentré de mission. Ils étaient descendus dans la rue, comme nombre de familles, et quand ils avaient croisé ton regard, tu avais lu le mal que tu leur imposais. Alors tu avais changé les règles.
Maintenant, quand tu rentres, tu ne les laisses pas descendre dans la rue. Tu as fait promettre et tes frères et soeurs de leur changer les idées, de sortir, de manger un bout et de passer du temps ensemble, jusqu’à ce que tu rentres. En échange, tu as promis de toujours rentrer. C’est utopique, mais vous avez tous fermé les yeux pour vous accrocher à l’espoir de cette parole.
Te voilà donc que remonte une rue un peu plus large que les autres, où les maisons s’appuient les unes contre les autres. Tu souris, tu adresses même un signe de main à une grand-mère que tu as connu tout gamin et qui essuie ses yeux de joie en te voyant. Ici vivent tes parents, mais chaque voisin, chaque famille de cette rue sont un peu des tiens aussi, parce que tout le monde se connait et se soutient depuis longtemps.
Tu t’arrêtes devant la porte de chez toi. Parfois, toi aussi tu te dis que tu aimerais bien entendre un cri de joie quand tu passes les portes. C’est ton côté un peu rêveur qui parle, ou fleur bleue sûrement, mais quand tu entends les rires de tes neveux et nièces et les paroles douces de ta soeur ainée, tu retrouves toujours le sourire.
Devant la porte, tu laisses ce que tu as vu dehors. Tu abandonnes les morts et les souvenirs difficiles. Tu pousses la porte, et dans le hall d’entrée tu entends déjà les cris de joie des gamins. Sans les regarder, tu défais toujours ton équipement, pour le ranger dans le meuble que tes parents t’ont libéré. Avec lui, tu ranges ton rang de soldat, ta discipline martiale et la certaine rudesse de la vie au grand air.
Tu finis immanquablement par te mettre assis sur ce petit banc qui n’a pas bougé depuis 37 ans. Ton père en a recollé un pied, ta mère a changé le coussin en laine, mais c’est tout. Tu te déchausses, tu enlèves ta veste du bataillon et enfin, tu ranges les nuages de ton âme au fond de toi, pour offrir un peu du soleil extérieur à tes parents, qui attendent juste devant l’ouverture qui mène au salon.
***
Il fait nuit et tu sais que tu n’as pas le choix. Il fait nuit, Laszlo, on ne voit même pas les étoiles ce soir. Il fait nuit, jusqu’au plus profond de ton âme. Et toi, tu restes là, devant le tunnel qui va probablement changer bien des choses. Tu le sais, pourtant, tu n’as pas le choix. Quand tu es rentré à la maison, il y a deux jours, tes parents étaient retournés, en larme, paniqués. Et toi, Laszlo, tu as d’abord cru qu’ils avaient eu peur pour toi, sans comprendre. Puis le nom d’une de tes plus jeunes soeurs avait résonné dans la maison, résonne encore dans ta tête, en boucle, comme une litanie.
“Véga a disparu.”
Et tu le savais, Laszlo, comme tu le sais cette nuit. Véga est peut-être forte tête, peut-être intrépide, mais elle n’aurait jamais disparue de la sorte, pour aucune raison. Alors tu t’es vite rendue à l’évidence, ta précieuse petite soeur n’est plus en ville, plus dans le quartier où elle travaillait. Et quand une rumeur a commencé à monter, sur le fait qu’une jeune femme avait été enlevée, par un homme de l’autre côté du tunnel, comme de nombreuses autres avant elle, tu as compris.
Véga a été enlevée.
Et te voilà donc devant ce tunnel. Tu n’as pas beaucoup de temps, tu emportes simplement ton cheval et des vêtements civils, ton épée sur le flanc et ta volonté de trouver ta soeur. Tu n’aurais que deux jours à Fortschritt avant de devoir revenir reprendre tes fonctions à Widerstand… mais tu le feras. Tu recommenceras mille fois ce trajet, parce que rien n’est plus précieux qu’une famille.
Tu aimes l’endroit, tu aimes l’ambiance de ses rues, tu aimes cette petite échoppe de plantes dont les odeurs s’étalent toujours à plusieurs mètres à la ronde, tu aimes la manière dont le soleil se lève et se couche contre le mur Rose, tu aimes les souvenirs qui remontent en toi.
Si tu as ce drôle de rituel, c’est pour te couper de la mission avant de rentrer. C’est l’une des choses que tu as choisies de faire quand tu as vu l’épouvante sur les traits de tes parents la première fois que tu es rentré de mission. Ils étaient descendus dans la rue, comme nombre de familles, et quand ils avaient croisé ton regard, tu avais lu le mal que tu leur imposais. Alors tu avais changé les règles.
Maintenant, quand tu rentres, tu ne les laisses pas descendre dans la rue. Tu as fait promettre et tes frères et soeurs de leur changer les idées, de sortir, de manger un bout et de passer du temps ensemble, jusqu’à ce que tu rentres. En échange, tu as promis de toujours rentrer. C’est utopique, mais vous avez tous fermé les yeux pour vous accrocher à l’espoir de cette parole.
Te voilà donc que remonte une rue un peu plus large que les autres, où les maisons s’appuient les unes contre les autres. Tu souris, tu adresses même un signe de main à une grand-mère que tu as connu tout gamin et qui essuie ses yeux de joie en te voyant. Ici vivent tes parents, mais chaque voisin, chaque famille de cette rue sont un peu des tiens aussi, parce que tout le monde se connait et se soutient depuis longtemps.
Tu t’arrêtes devant la porte de chez toi. Parfois, toi aussi tu te dis que tu aimerais bien entendre un cri de joie quand tu passes les portes. C’est ton côté un peu rêveur qui parle, ou fleur bleue sûrement, mais quand tu entends les rires de tes neveux et nièces et les paroles douces de ta soeur ainée, tu retrouves toujours le sourire.
Devant la porte, tu laisses ce que tu as vu dehors. Tu abandonnes les morts et les souvenirs difficiles. Tu pousses la porte, et dans le hall d’entrée tu entends déjà les cris de joie des gamins. Sans les regarder, tu défais toujours ton équipement, pour le ranger dans le meuble que tes parents t’ont libéré. Avec lui, tu ranges ton rang de soldat, ta discipline martiale et la certaine rudesse de la vie au grand air.
Tu finis immanquablement par te mettre assis sur ce petit banc qui n’a pas bougé depuis 37 ans. Ton père en a recollé un pied, ta mère a changé le coussin en laine, mais c’est tout. Tu te déchausses, tu enlèves ta veste du bataillon et enfin, tu ranges les nuages de ton âme au fond de toi, pour offrir un peu du soleil extérieur à tes parents, qui attendent juste devant l’ouverture qui mène au salon.
***
Il fait nuit et tu sais que tu n’as pas le choix. Il fait nuit, Laszlo, on ne voit même pas les étoiles ce soir. Il fait nuit, jusqu’au plus profond de ton âme. Et toi, tu restes là, devant le tunnel qui va probablement changer bien des choses. Tu le sais, pourtant, tu n’as pas le choix. Quand tu es rentré à la maison, il y a deux jours, tes parents étaient retournés, en larme, paniqués. Et toi, Laszlo, tu as d’abord cru qu’ils avaient eu peur pour toi, sans comprendre. Puis le nom d’une de tes plus jeunes soeurs avait résonné dans la maison, résonne encore dans ta tête, en boucle, comme une litanie.
“Véga a disparu.”
Et tu le savais, Laszlo, comme tu le sais cette nuit. Véga est peut-être forte tête, peut-être intrépide, mais elle n’aurait jamais disparue de la sorte, pour aucune raison. Alors tu t’es vite rendue à l’évidence, ta précieuse petite soeur n’est plus en ville, plus dans le quartier où elle travaillait. Et quand une rumeur a commencé à monter, sur le fait qu’une jeune femme avait été enlevée, par un homme de l’autre côté du tunnel, comme de nombreuses autres avant elle, tu as compris.
Véga a été enlevée.
Et te voilà donc devant ce tunnel. Tu n’as pas beaucoup de temps, tu emportes simplement ton cheval et des vêtements civils, ton épée sur le flanc et ta volonté de trouver ta soeur. Tu n’aurais que deux jours à Fortschritt avant de devoir revenir reprendre tes fonctions à Widerstand… mais tu le feras. Tu recommenceras mille fois ce trajet, parce que rien n’est plus précieux qu’une famille.
⊰ Laszlo est l’ainé d’une fratrie de 5 enfants. Il porte un amour sans faille à sa famille et à ses frères et sœurs.
⊰ Est très secret sur sa famille. C’est son jardin secret, et il ne les a jamais présentés à ses collègues. Il leur a même demandé de ne jamais être là pour leur départ/retour.
⊰ Il s’est enrôlé à 15 ans, comme beaucoup d’autres gamins et depuis il n’a jamais quitté les rang de l’armée. Cela fait plus de 15 ans, mais il n’a jamais été promu. Il ne le voudrait pas.
⊰ Il n’a jamais rencontré de près un mutant, mais il sait de quoi ils sont issus, et il porte sur eux un regard plein de compassion et de pitié mêlée. Il considère ce changement en eux comme une sorte de… malédiction ?
⊰ Il a entendu parler des shifters et là, sa réponse est claire : ça l’angoisse. Que des humains aient pu se rapprocher à ce point des monstres qu’ils combattent… Il ne souhaite ça à personne, et s’il n’abattra jamais un shifter, parce qu’un humain est dedans, il considère qu’ils ont… perdu quelque chose. Leur âme ou leur humanité peut-être.
⊰ Possède un panel de sourire qui frôle le ridicule. Il en a un pour à peu près tout. Certains le pensent idiot ou simple d’esprit, Laszlo vous dira simplement qu’il faut un sourire pour tout surpasser.
⊰ A un potentiel fleur bleu qu’il n’a jamais vu. Les autres semblent déjà plus s’en rendre compte. Et plus encore, il est atrocement vieux jeu. Du genre à offrir des roses, complimenter les gens, payer les diners. Certains collègues disent “pigeon”.
⊰ Adore les jeux de logiques (type échec, go et autre truc de ce monde). C’est l’un des rares moments où il efface toutes émotions de son visage et il semble… lointain.
⊰ Parle à tout. Animaux, objet, lui-même. C’est adorable et étrangement flippant parfois.
⊰ Est végétarien. Ca fait bien rire tout le monde quand on sait qu’il tue les titans sans trop de vergogne. Encore plus dans un monde où tout le monde mange de la viande pour se faire des forces.
⊰ Allergique aux fraises. C’est balo, il adore ça.
⊰ Il cuisine bien, mais il préfère la nourriture de sa mère, c’est comme ça.
⊰ N’a jamais été en couple. S’il a eu des coups de cœur pour quelques personnes autour de lui, elles ont toutes finies par devenir des ami(e)s ou des gens à protéger, mais jamais plus. Il est d’ailleurs sans aucune expérience à ce niveau-là.
⊰ Il aime la peinture et la musique, le pratique un peu mais il n’est pas spécialement doué. C’est plus quelque chose qu’il fait pour s’apaiser.
⊰ Est très secret sur sa famille. C’est son jardin secret, et il ne les a jamais présentés à ses collègues. Il leur a même demandé de ne jamais être là pour leur départ/retour.
⊰ Il s’est enrôlé à 15 ans, comme beaucoup d’autres gamins et depuis il n’a jamais quitté les rang de l’armée. Cela fait plus de 15 ans, mais il n’a jamais été promu. Il ne le voudrait pas.
⊰ Il n’a jamais rencontré de près un mutant, mais il sait de quoi ils sont issus, et il porte sur eux un regard plein de compassion et de pitié mêlée. Il considère ce changement en eux comme une sorte de… malédiction ?
⊰ Il a entendu parler des shifters et là, sa réponse est claire : ça l’angoisse. Que des humains aient pu se rapprocher à ce point des monstres qu’ils combattent… Il ne souhaite ça à personne, et s’il n’abattra jamais un shifter, parce qu’un humain est dedans, il considère qu’ils ont… perdu quelque chose. Leur âme ou leur humanité peut-être.
⊰ Possède un panel de sourire qui frôle le ridicule. Il en a un pour à peu près tout. Certains le pensent idiot ou simple d’esprit, Laszlo vous dira simplement qu’il faut un sourire pour tout surpasser.
⊰ A un potentiel fleur bleu qu’il n’a jamais vu. Les autres semblent déjà plus s’en rendre compte. Et plus encore, il est atrocement vieux jeu. Du genre à offrir des roses, complimenter les gens, payer les diners. Certains collègues disent “pigeon”.
⊰ Adore les jeux de logiques (type échec, go et autre truc de ce monde). C’est l’un des rares moments où il efface toutes émotions de son visage et il semble… lointain.
⊰ Parle à tout. Animaux, objet, lui-même. C’est adorable et étrangement flippant parfois.
⊰ Est végétarien. Ca fait bien rire tout le monde quand on sait qu’il tue les titans sans trop de vergogne. Encore plus dans un monde où tout le monde mange de la viande pour se faire des forces.
⊰ Allergique aux fraises. C’est balo, il adore ça.
⊰ Il cuisine bien, mais il préfère la nourriture de sa mère, c’est comme ça.
⊰ N’a jamais été en couple. S’il a eu des coups de cœur pour quelques personnes autour de lui, elles ont toutes finies par devenir des ami(e)s ou des gens à protéger, mais jamais plus. Il est d’ailleurs sans aucune expérience à ce niveau-là.
⊰ Il aime la peinture et la musique, le pratique un peu mais il n’est pas spécialement doué. C’est plus quelque chose qu’il fait pour s’apaiser.
Dune
Vous savez déjà tout, mais bébé Laszlo, c’est quand même le meilleur, voilà !
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↬ <aa>Joseph Gordon-Levitt</aa> - @"Laszlo Koenig".
Si soldat d'une escouade :
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<mbr@"Laszlo Koenig" <grade>Soldat</grade></mbr>
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↬ <aa>Maison familiale</aa> - @"Laszlo Koenig" : <jj>Le même endroit depuis toujours, la maison des Koenig, certains voisins la surnomme la maison du bonheur. Elle est à peine assez grande pour accueillir tout le monde. C’est une maison chaleureuse, bien bâti et accueillante possédant un étage.</jj>.
