Scénario de Enyo N. Stellaa créé par @Léandre A. Stellaa
L'allure impérieuse et le regard guillotine, la dernière née Stellaa s'est bâtit sur le modèle de son frère. Puissante, féroce, intransigeante. Elle a hérité de son mauvais caractère et des caprices auquels ses parents ont à dire vrai toujours cédé, ouvertement dépassés par cette effroyable tornade qui a grandit là, tout contre leur foyer. Pourtant bien née, son éducation s'est vu parfaire par ses talents de linguiste et une curiositée aussi sincère que viscérale. Un diamant brut murmure encore sa mère, comme pour édulcorer ce qui, au fond, ne va pas. Charmante, musicienne, fûtée, elle aurait sans doute fait une bonne fille à marier si son caractère n'avait pas fait d'elle le dragon de Centrum.
Enyo N. Stellaa
25 ans Widerstand membre du gouvernement.
Un bracelet qu'elle a piqué à une prétendante de son frère. Plus comme un trophée que par réel intérêt soyons honnête, mais bon, elle a fini par s'y attacher. Depuis, Nyo y accroche de nouveaux pendentif à chaque nouveaux haut fait accomplit.
Apex predator.
Caractérielle ¤ Autoritaire ¤ Intransigeante et souvent extrême ¤ Intelligente ¤ Créative ¤ Musicienne et bonne danseuse ¤ Téméraire. N'a à dire vrai peur de pas grand chose ¤ Irraisonnée. Irraisonnable. ¤ Clairement entêtée. Ne supporte pas la négative et suis toujours ses envies, quand bien même cela rime avec des risques inconsidéré. ¤ Débrouillarde et autonome. ¤ Charismatique ¤ Ambitieuse ¤ Joue facilement de ses charmes ¤ Capricieuse. ¤ Prend facilement la mouche. Boude tout aussi aisément. ¤ Viscéralement loyale. ¤ Rancunière. ¤ Étonnamment secrète ¤ Extravagante. Arbore des robes et parure improbable, souvent arrachée à des princesses Disney. Elle pourrait faire tourner l’industrie textile à elle seule si elle avait plus de place chez elle. ¤ Plus sensible, empathique, qu'il n'y parait. Elle prétend vouloir favoriser son bonheur individuel mais soyons honnête, elle panique surtout à l'idée de devoir communiquer avec les autres. ¤ Craint ouvertement que faire preuve de douceur lui porterait préjudice, aussi elle se cache presque lorsqu'elle appelle son cheval "Toudoudou" et s'effondre sur lui à la manière d'un sac à patate pour quérir son attention. ¤ A clairement besoin d'attention. ¤ Fascinée par de petit gestes de la vie quotidienne. S'émerveille devant la douceur des autres. Il n'est pas rare qu'elle s’extasie en silence devant la prise timide d'une main sur celle de sa ou son bien-aimé, ou fonde lorsque son cuisinier se rappelle qu'elle aime grignoter la nuit et lui laisse par conséquent ses petits biscuits au coquelicot sur la table de la cuisine. ¤ Finalement peu assurée en matière de relation humaine. Courbe l'échine et montre les crocs comme de peur d'être prise en traitre au moindre relâchement. ¤ Fondamentalement seule.
Capricieuse 72%
Irraisonnable87%
Violente 54%
Débrouillarde75%
Anxieuse 41%
Rancunière 72%
Sociable13%
Courageuse90%
adroite15%
Loyale98%
Dernière née de la seconde lignée Stellaa, Enyo a vu le jour baigné par l'aurore. Quelques timides étoiles semblant veiller au loin sur le front humide d'une mère à bout de force et sur le destin de cette minuscule chose qu'elle refusait frénétiquement de lâcher. Comme de peur qu'on ne la lui arrache. Qu'elle ne se dérobe à jamais.
Prématurée, l'allure diaphane malgré les duvets dans laquelle on s'était empressé de l'emmitoufler, presque irréelle, on aurait crû cette minuscule fée morte si ses poumons, à peine remplit, n'avait pas secoué tout le palais. Comme pour rendre hommage aux deux déesses dont découlait ses prénoms.
Enyo Niké Stellaa fut dans ses premières années une enfant douce et attentive, quoiqu'un peu turbulente. Pour autant l'appel des adultes, parfois à peine poussé, entravait toujours ses sursauts sauvages et tranquillisait ses caprices. "Soit sage" murmurait-on, et le charme opérait. Quand bien même son regard intense et bleu retombait inexorablement là, sur toute ces portes qu'elle rêvait de franchir. Ainsi, coincée entre les murs de sa demeure et des regards emplit d'inquiétude à chaque fois qu'elle osait approcher du jardin seule, Enyo entrevit dans la gestuelle de son frère tout ce qu'elle rêvait de devenir. Léandre était grand, Léandre était brillant, et elle pressentait qu'il accomplirait de grande chose. N'était-ce pas ce que répétait ses parents ? Totalement. Pour autant la petite sœur émerveillée qu'elle était semblait voir au delà. Saisir cette force qui faisait naître dans ses yeux un millier d'étoile et conduite à avouer que son héro, c'était son frère. Et en aucun cas l'inconnu qui trônait à table et dont ses parents voulait vraisemblablement qu'elle couvre d'éloge.
Quoi qu'il en soit, si un grand destin avait été jeté sur les épaules de son aîné, leur parents avait également placé de grands espoirs sur leur dernière née. Enyo était belle, Enyo était intelligente, Enyo avait une bonne position sociale et un mariage solidifierait la prise des Stellaa sur Widerstand. De bonnes alliances étaient toujours bon à prendre. Pour autant, plus les années passait et plus une étrange sensation croissait là, roulé en boule dans son thorax. Une sensation qui la révoltait à mesure que son caractère se faisait moins souple. L'idée même d'être une simple "fille de...", "soeur de...", "femme de..." l'insupportait au plus haut point et courbait son échine dans grondement sourd. C'était hélas là l'issue de tout les cours qu'elle avait méthodiquement suivi, de tout ses heures à forcer le sourire pour plaire à des familles qu'elle jugeait pourtant de bas en haut. Elle méritait mieux et rêvait à plus. A bien plus.
Pourtant, prise entre le regard d'une mère qui espérant tant d'elle et l'absence d'un frère envoyé aux armées, Enyo se plia aux cours de musiques, aiguisa sa gestuelle sur l'éther qu'on lui soufflait, mesura chacun de ses gestes pour prétendre à la grâce qui émanait des plus belles dames de la cours et ce, avant d'affuter ses neurones sur des cours d'art, linguistique et géopolitique. Elle chercha au mieux à noyer son temps dans un forrilège de cours comme pour ne pas avoir à penser à l'avenir, à ce qu'elle deviendrait, à contraindre ce sursaut féroce qui courrait le long de son échine. Un temps du moins. Effroyablement seule et consciente qu'elle finirait par étouffer si on lui interdisait encore de fouler la frontière du jardin, Nyo, pas même adolescente, jeta son châle étoilé sur ses épaules et poussa la porte de sa maison un après midi pluvieux. Déterminée à trouver le centre de formation militaire. A retrouver son frère. Autant vous dire qu'elle jubilait lorsque sa tête pointa finalement le long d'un muret et qu'elle fit de grand signe à son aîné. Trempée, légèrement boueuse mais radieuse, la noble Enyo Stellaa s'était changée en véritable chat errant et renouvela l'expérience plus d'une fois. En secret tout d'abord, et puis avec un peu plus d'assurance à chaque fois.
L'adolescence de Nyo s'imposa comme une tempête, impétueuse et irrévérencieuse. Un fléau auquel ne su résister ni sa mère, ni son père, et qui parvint même à tenir tête à Léandre lorsque la discorde les unissait. A mesure que se dessinait ses courbes de nymphe s’aiguisait un aplomb capable de secouer tout Centrum. Une aura et attitude qui lui valurent plus d'une menace mais qui surent charmer sur leur passage. Pour autant, si elle s'amouracha brièvement d'une petite crapule des bas-fond de Winderstand, le monde de Nyo était désespérément pendu à celui des adultes. Elle n'avait durant son enfance côtoyé que peu d'enfant de son âge et reproduisit inexorablement ce chemin une fois entrée dans l'adolescence. Toujours collé à son frère, à ce qui deviendrait ses hommes, à des hauts gradés et des amis de son père. Elle avait rapidement grandit Nyo, comme pour prouver qu'elle avait les épaules suffisamment solide pour endosser un rôle plus grand que ce auquel on la prédestinait.
"Papa, je veux apprendre à me battre." avait-elle un jour abattu sur la table, convaincu que son aplomb et les "redoutable, ta petite" récolté lors de soirée passée auprès de son père et ses amis suffirait à le faire plier. Mais il avait ri, et ce simple gloussement avait mit à mal l'égo de sa fille. Elle s'était pourtant plus impliqué dans sa recherche de professeur que de prétendant et, avec le soutient de son frère, elle commença les entraînements rapidement. Fondamentalement outrée lorsqu'elle prit son premier coup, comme convaincu qu'aucune âme ne pouvait effleurer et marquer son sacro-saint épiderme. Pourtant, passé l'offuscation et les premières plainte, quelque chose naquit dans la poitrine de l'héritière Stellaa. Une exaltation qu'elle n'avait jusqu'alors jamais connu et qui pourtant la tenait en haleine. Elle adorait se battre, tout bonnement, et nul ne pouvait le nier.
Sa constitution de fritte se raffermit au fil des mois, au fil des coups et enseignement qui s'abattait sur elle et, doucement, elle abandonna l'idée de rejoindre l'armée. Pas parce qu'elle abandonnait, non, mais elle vit plus loin encore. Il y avait bien un poste qu'elle convoitait, et il trônait non loin du roi. Alors soit, elle accordait cette micro victoire à ses parent ; elle ne serait pas soldate. Non. Elle serait ministre des armée.
La majorité tout juste atteinte, elle déménagea dans une maison qui n'aurait pour loi que celles qu'elle aurait édicté et embrassa pleinement une liberté qui lui avait tant manqué. Hélas, le mariage de son frère survenu quelques années plus tôt pressa leur parent à fiancé leur plus jeune enfant à un premier homme, puis à un second lorsque le premier prit la fuite.Aujourd'hui, elle convoite toujours le poste de ministre des armées mais a trouvé un travail au plus proche de celui-ci, quand bien même pas forcément valorisant. Bien déterminé à poncer ses alliance et récupérer le siège lorsque son actuel occupant tombera.
Prématurée, l'allure diaphane malgré les duvets dans laquelle on s'était empressé de l'emmitoufler, presque irréelle, on aurait crû cette minuscule fée morte si ses poumons, à peine remplit, n'avait pas secoué tout le palais. Comme pour rendre hommage aux deux déesses dont découlait ses prénoms.
Enyo Niké Stellaa fut dans ses premières années une enfant douce et attentive, quoiqu'un peu turbulente. Pour autant l'appel des adultes, parfois à peine poussé, entravait toujours ses sursauts sauvages et tranquillisait ses caprices. "Soit sage" murmurait-on, et le charme opérait. Quand bien même son regard intense et bleu retombait inexorablement là, sur toute ces portes qu'elle rêvait de franchir. Ainsi, coincée entre les murs de sa demeure et des regards emplit d'inquiétude à chaque fois qu'elle osait approcher du jardin seule, Enyo entrevit dans la gestuelle de son frère tout ce qu'elle rêvait de devenir. Léandre était grand, Léandre était brillant, et elle pressentait qu'il accomplirait de grande chose. N'était-ce pas ce que répétait ses parents ? Totalement. Pour autant la petite sœur émerveillée qu'elle était semblait voir au delà. Saisir cette force qui faisait naître dans ses yeux un millier d'étoile et conduite à avouer que son héro, c'était son frère. Et en aucun cas l'inconnu qui trônait à table et dont ses parents voulait vraisemblablement qu'elle couvre d'éloge.
Quoi qu'il en soit, si un grand destin avait été jeté sur les épaules de son aîné, leur parents avait également placé de grands espoirs sur leur dernière née. Enyo était belle, Enyo était intelligente, Enyo avait une bonne position sociale et un mariage solidifierait la prise des Stellaa sur Widerstand. De bonnes alliances étaient toujours bon à prendre. Pour autant, plus les années passait et plus une étrange sensation croissait là, roulé en boule dans son thorax. Une sensation qui la révoltait à mesure que son caractère se faisait moins souple. L'idée même d'être une simple "fille de...", "soeur de...", "femme de..." l'insupportait au plus haut point et courbait son échine dans grondement sourd. C'était hélas là l'issue de tout les cours qu'elle avait méthodiquement suivi, de tout ses heures à forcer le sourire pour plaire à des familles qu'elle jugeait pourtant de bas en haut. Elle méritait mieux et rêvait à plus. A bien plus.
Pourtant, prise entre le regard d'une mère qui espérant tant d'elle et l'absence d'un frère envoyé aux armées, Enyo se plia aux cours de musiques, aiguisa sa gestuelle sur l'éther qu'on lui soufflait, mesura chacun de ses gestes pour prétendre à la grâce qui émanait des plus belles dames de la cours et ce, avant d'affuter ses neurones sur des cours d'art, linguistique et géopolitique. Elle chercha au mieux à noyer son temps dans un forrilège de cours comme pour ne pas avoir à penser à l'avenir, à ce qu'elle deviendrait, à contraindre ce sursaut féroce qui courrait le long de son échine. Un temps du moins. Effroyablement seule et consciente qu'elle finirait par étouffer si on lui interdisait encore de fouler la frontière du jardin, Nyo, pas même adolescente, jeta son châle étoilé sur ses épaules et poussa la porte de sa maison un après midi pluvieux. Déterminée à trouver le centre de formation militaire. A retrouver son frère. Autant vous dire qu'elle jubilait lorsque sa tête pointa finalement le long d'un muret et qu'elle fit de grand signe à son aîné. Trempée, légèrement boueuse mais radieuse, la noble Enyo Stellaa s'était changée en véritable chat errant et renouvela l'expérience plus d'une fois. En secret tout d'abord, et puis avec un peu plus d'assurance à chaque fois.
L'adolescence de Nyo s'imposa comme une tempête, impétueuse et irrévérencieuse. Un fléau auquel ne su résister ni sa mère, ni son père, et qui parvint même à tenir tête à Léandre lorsque la discorde les unissait. A mesure que se dessinait ses courbes de nymphe s’aiguisait un aplomb capable de secouer tout Centrum. Une aura et attitude qui lui valurent plus d'une menace mais qui surent charmer sur leur passage. Pour autant, si elle s'amouracha brièvement d'une petite crapule des bas-fond de Winderstand, le monde de Nyo était désespérément pendu à celui des adultes. Elle n'avait durant son enfance côtoyé que peu d'enfant de son âge et reproduisit inexorablement ce chemin une fois entrée dans l'adolescence. Toujours collé à son frère, à ce qui deviendrait ses hommes, à des hauts gradés et des amis de son père. Elle avait rapidement grandit Nyo, comme pour prouver qu'elle avait les épaules suffisamment solide pour endosser un rôle plus grand que ce auquel on la prédestinait.
"Papa, je veux apprendre à me battre." avait-elle un jour abattu sur la table, convaincu que son aplomb et les "redoutable, ta petite" récolté lors de soirée passée auprès de son père et ses amis suffirait à le faire plier. Mais il avait ri, et ce simple gloussement avait mit à mal l'égo de sa fille. Elle s'était pourtant plus impliqué dans sa recherche de professeur que de prétendant et, avec le soutient de son frère, elle commença les entraînements rapidement. Fondamentalement outrée lorsqu'elle prit son premier coup, comme convaincu qu'aucune âme ne pouvait effleurer et marquer son sacro-saint épiderme. Pourtant, passé l'offuscation et les premières plainte, quelque chose naquit dans la poitrine de l'héritière Stellaa. Une exaltation qu'elle n'avait jusqu'alors jamais connu et qui pourtant la tenait en haleine. Elle adorait se battre, tout bonnement, et nul ne pouvait le nier.
Sa constitution de fritte se raffermit au fil des mois, au fil des coups et enseignement qui s'abattait sur elle et, doucement, elle abandonna l'idée de rejoindre l'armée. Pas parce qu'elle abandonnait, non, mais elle vit plus loin encore. Il y avait bien un poste qu'elle convoitait, et il trônait non loin du roi. Alors soit, elle accordait cette micro victoire à ses parent ; elle ne serait pas soldate. Non. Elle serait ministre des armée.
La majorité tout juste atteinte, elle déménagea dans une maison qui n'aurait pour loi que celles qu'elle aurait édicté et embrassa pleinement une liberté qui lui avait tant manqué. Hélas, le mariage de son frère survenu quelques années plus tôt pressa leur parent à fiancé leur plus jeune enfant à un premier homme, puis à un second lorsque le premier prit la fuite.Aujourd'hui, elle convoite toujours le poste de ministre des armées mais a trouvé un travail au plus proche de celui-ci, quand bien même pas forcément valorisant. Bien déterminé à poncer ses alliance et récupérer le siège lorsque son actuel occupant tombera.
¤ Dessine des étoiles au bas de ses pages lorsqu'elle s'ennuie au travail.
¤ Tape du pied frénétiquement lorsqu'elle est nerveuse ou impatiente
¤ Un soldat lui a apprit le morse. Depuis, elle essaye parfois de communiquer comme ça.
¤ A pété le nez de l'un de ses prétendants. Est passé maître dans l'art du sacro-saint coup de genoux en plein entrejambe
¤ Un "Invaincue" tatoué sous le sein droit
¤ Musicienne (ocarina, koto, chant et harpe), maîtrise l'espagnol, néerlandais, anglais, français et les danses du ventre.
¤ A apprit à se battre contre la volonté de ses parents, mais avec le soutient de son frère.
¤ C'est peut être ce qui la pousse à vouloir tester sa force une fois qu'elle a un peu bu. Les bras de fer sont courants mais tous se souviennent du fameux "Vient Léandre, je te porte sur mon dos !" qu'elle a jeté en pleine rue, remontée à bloc et persuadée qu'elle pouvait soulever ses 90 kilos de muscle facilement.
¤ Ne tient pas l'alcool.
¤ Fascinée par les chevaux, les étoiles et les fleurs.
¤ Possède sur son bureau une jacinthe nommée "Gaspard". Oui.
¤ Fait de nombreux cauchemar depuis qu'elle est petite. Elle fout des coups de pied dans les tibias et parle en dormant. Notamment d'invasion d'ananas et du fait que les canards, en vrai, c'est méchant.
¤ N'a, et n'aura jamais aucun respect pour votre sommeil. Si elle est en proie à une insomnie, il y a de forte chance pour qu'elle aille vous réveiller.
¤ Sa nourisse lui avait tricotter un vieux châle aux motifs étoilés lorsqu'elle était petite. Il repose encore aujourd'hui tout prêt du lit. Soyons honnête, les rires nerveux de Nyo n'ont jamais sû dissiper le fait que oui, c'était bien son doudou.
¤ Tape du pied frénétiquement lorsqu'elle est nerveuse ou impatiente
¤ Un soldat lui a apprit le morse. Depuis, elle essaye parfois de communiquer comme ça.
¤ A pété le nez de l'un de ses prétendants. Est passé maître dans l'art du sacro-saint coup de genoux en plein entrejambe
¤ Un "Invaincue" tatoué sous le sein droit
¤ Musicienne (ocarina, koto, chant et harpe), maîtrise l'espagnol, néerlandais, anglais, français et les danses du ventre.
¤ A apprit à se battre contre la volonté de ses parents, mais avec le soutient de son frère.
¤ C'est peut être ce qui la pousse à vouloir tester sa force une fois qu'elle a un peu bu. Les bras de fer sont courants mais tous se souviennent du fameux "Vient Léandre, je te porte sur mon dos !" qu'elle a jeté en pleine rue, remontée à bloc et persuadée qu'elle pouvait soulever ses 90 kilos de muscle facilement.
¤ Ne tient pas l'alcool.
¤ Fascinée par les chevaux, les étoiles et les fleurs.
¤ Possède sur son bureau une jacinthe nommée "Gaspard". Oui.
¤ Fait de nombreux cauchemar depuis qu'elle est petite. Elle fout des coups de pied dans les tibias et parle en dormant. Notamment d'invasion d'ananas et du fait que les canards, en vrai, c'est méchant.
¤ N'a, et n'aura jamais aucun respect pour votre sommeil. Si elle est en proie à une insomnie, il y a de forte chance pour qu'elle aille vous réveiller.
¤ Sa nourisse lui avait tricotter un vieux châle aux motifs étoilés lorsqu'elle était petite. Il repose encore aujourd'hui tout prêt du lit. Soyons honnête, les rires nerveux de Nyo n'ont jamais sû dissiper le fait que oui, c'était bien son doudou.
Hermine
Merci pour votre accueil. Vous êtes vraiment adorable.
Et merci à Léandre pour avoir patienté et pondu cette merveille qu'est Nyo !
Et merci à Léandre pour avoir patienté et pondu cette merveille qu'est Nyo !
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