Léandre A. Stellaa
39 ans Widerstand Major - Forces Armées
Lion King !
Inflexible Intelligent Bon tacticien Dur Observateur Manipulateur tout en finesse Réfléchit vite et agit encore plus rapidement Carriériste Ambitieux Curieux N’a pas froid aux yeux Perspicace Très froid sur ses soldats (plus simple pour les envoyer à l’abattoir quand il le faut) Hait les plus forts que lui Quelque peu paranoiaque.
Meneur 95%
Hautain 70%
Maîtrisé 653%
Carriériste 90%
Romantique 40%
Compréhensif 20%
Doux 10%
« Léandre Arslan Stellaa ! Ta nourrice vient de me dire que tu avais encore cassé un de tes jouets en jouant à “la guerre” ?! »
Ça a toujours été comme ça dans ta famille. Si vous ne vous vouvoyez pas, c’était uniquement parce que ta mère tenait à conserver un peu de chaleur familiale dans le foyer. Mais pas plus, par contre. Tes parents étaient des gens importants et c’est pour cela, sûrement, que vous avez toujours suivi une étiquette très stricte entre vous. Ton père était le cousin du Roi qui régnait sur cette ville, un de ses conseillers. Ta mère tenait son pouvoir dans sa grâce.
Toi, Léandre, tu es né là. En plein milieu du repas “familial”, elle a senti que ça venait. Elle a eu la décence de ne pas perdre les eaux à table, et d’appeler une servante à l’aide. C’est un médecin privé du Palais qui t’a mis au monde et puisque tu étais du 1er août et qu’on te présageait une grande vie, on t’a nommé comme le Roi de la savane. Léandre. L’homme lion, selon de très vieux livres.
Une enfance tumultueuse pour tes parents. Tu n’étais pas un mauvais garçon, pas un idiot obstiné non plus, mais tu avais la bougeotte. A la limite de l'hyperactivité, tu ne cessais jamais de courir, chercher, jouer, copier, oser. Tu as fait toutes tes premières armes comme ça.
« Léandre, vous ne devez pas privilégier une matière. Elles seront toutes importantes pour la suite de votre cursus ! »
Ah, l’école… Des années inutiles à tes yeux. Tu étais un élève modèle auprès des précepteurs choisis pour toi par ton père. Et même la droiture et la rigueur de ces enseignements n’ont pas réussi à te faire plier l’échine. Alors oui, tu étais excellent, mais uniquement dans les matières où tu souhaitais l’être. Pas n’importe lesquelles… celles pour devenir un homme de renom.
Tu as traversé les années sans faire de remous, avec une petite bande d’amis dont tu étais le leader. Les jeux sportifs ne t’ont jamais intéressés, toi tu te musclais pour toi et toi seul. Les sciences politiques, beaucoup plus. Tu lisais beaucoup, tu bougeais encore plus. Tes professeurs te connaissaient pour un caractère trop tranché. Les enfants des nobles du Centrum, pour ton attitude qui les rejetait loin. Et les filles pour ce mystère que tu faisais graviter autour de toi et qui les attirait, inlassablement.
« Bienvenue parmi nous Léandre. Voici le Caporal Rinners, ce sera votre supérieur pour vos débuts parmi nous. »
Tu t’en souviens comme si c’était hier. Tu venais de finir une formation brillante au sein des armées de la ville, et tu avais trouvé une place aussi sec dans les Forces Armées. Tu allais défendre ta partie avec les plus éminents hommes de ce pays. Et puis, tu as vite déchanté. Tu as compris que l’on ne confiait rien de bien transcendant aux jeunes recrues. Pire, tu as dû te coltiner Caporal Rinners pendant 6 mois. Une femme, de 40 ans, que tu as détestée dès que tu l’as vue.
Alors à partir de là, tu as décidé que tu deviendrais le meilleur. Tu serais l’espoir de ta nation, et tu t’es défoncé pour ça. Tu as gravi les échelons un à un, en refusant le piston que ton père pouvait te fournir de par sa place auprès du Roi. Tu voulais leur prouver qui tu étais, et surtout tu avais besoin d’être légitime pour qu’ils te prennent au sérieux.
Et tu sais quoi, Léandre ? Tu l’as fait !
« Léandre Arslane (oui il l’a mal prononcé !) Stellaa, voulez-vous prendre pour épouse Rose pour l'aimer fidèlement dans le bonheur ou dans les épreuves, tout au long de votre vie ? »
Tu avais 23 ans quand tu t’es marié. Cette nouvelle a surpris tout le monde autour de moi. Rose était plus vieille de deux ans, et elle te ressemblait beaucoup. Droite et intransigeante, ayant embrassée une carrière dans les Brigades Spéciales qu’elle réussissait avec brio. Vous vous étiez rencontré autour d’une affaire, et vous aviez dîné ensemble le soir même. Le lendemain soir, tu couchais avec elle. 3 mois plus tard, vous vous étiez fiancés. 6 mois, et vous étiez mariés, pour le meilleur et pour le pire.
Rose avait tout pour te plaire et pour que votre duo marche jusqu’au bout. Quand tu te levais aux aurores, et qu’elle était déjà debout, à terminer de travailler sur un cas, que vous déjeuniez en silence et en paix, elle était ta femme. Quand elle te faisait tomber à la renverse, brusquement, sur le canapé parce qu’elle aussi avait passé une mauvaise journée, elle était ta femme. Lorsque vous vous enchainiez les passes de mots, pour savoir qui avait raison, elle était ta femme.
Elle était toi. Tu étais elle. Votre relation était parfaite et sans un amour plein de niaiseries !
« Tu es certain de toi, Léandre ?
-Oui, Rose. Pars.
-Tu sais que si tu me demandes de partir, je quitterai ces murs.. Je vais mourir dehors. Tu auras ça sur la conscience.
-Non. Tu croises les bras sur ta poitrine, le visage fermé. C’est ton choix, assume la stupidité de tes actes. »
Et elle est partie. Rose a fini par s’ennuyer de cette vie. Elle n’avait plus d’intérêt à être Caporale quand toi tu devenais l’un des plus gradés de ceux qui étaient le plus à l’opposé des Brigades. Et puis cette ville était à peine suffisant pour l’occuper. Elle a tenu du temps, avant de craquer. C’était après 5 ans de mariage, qu’elle a failli. Elle est allée voir ailleurs, puisque tu n’étais jamais là. Simplement, sans monter toute une histoire, sans même essayer de te mentir. Le soir même, elle t’attendait à la maison pour te le dire.
Tu ne l’as dit à personne, mais ce soir-là, tu es ressorti de chez toi et tu as failli tuer un type dans la rue, pour passer la colère ressentie. Tu t’es sentie trahie, Léandre, jusqu’au plus profond de toi. Tu as su instantanément que tu ne lui pardonnerais jamais, même si tu avais ta part de responsabilité à cela. Alors tu as fait ce qu’il fallait : tu lui as dit de te quitter. En faisant ça, tu la bannissais de la vie mondaine des familles aisées du quartier nord et tu la reléguais à la fange du bas-peuple.
Rose avait bien trop d’amour-propre pour accepter ce sort. Alors le lendemain matin, elle t’a accompagné à la porte sud, et elle t’a laissé la lui offrir. Et elle est sortie, seule, armée d’un pistolet et de deux cartouches. Ce jour-là, tu n’es même pas monté sur le mur pour savoir si les titans avaient rapidement eu raison d’elle. Tu es rentré chez toi et tu as fait comme si elle n’avait tout simplement pas existé.
« Je suis fier de toi, mon fils. »
Les années, les échelons, la survie. C’est comme ça que tu t’es placé là où tu es désormais. Major, parce que rien ne te résistait, que se soit les titans ou les plans. Tu t’es fais connaître en engueulant des supérieurs qui vous sortait des plans foireux. Tu t’es fais aimé en poussant ton escouade toujours plus loin et en maintenant longtemps le plus faible taux de mortalité pour un groupe de six hommes. Et puis, tu t’es fait respecté parce tes plans ont dépassé certains autres.
Alors quand le mur Maria a été attaqué, quand Shiganshina est tombé, on a blâmé vos supérieurs. Tu n’as officiellement pas pris par à ces critiques, mais beaucoup sont certains que tu les as alimenté en sous-marin. Tu n’as jamais su s’il y avait eu une légère pression du côté du Palais, mais la chose a été décidé : tu serais le nouveau leader des Forces Armées. Tu t’es mis à incarner un regain d’espoir.
Ça a toujours été comme ça dans ta famille. Si vous ne vous vouvoyez pas, c’était uniquement parce que ta mère tenait à conserver un peu de chaleur familiale dans le foyer. Mais pas plus, par contre. Tes parents étaient des gens importants et c’est pour cela, sûrement, que vous avez toujours suivi une étiquette très stricte entre vous. Ton père était le cousin du Roi qui régnait sur cette ville, un de ses conseillers. Ta mère tenait son pouvoir dans sa grâce.
Toi, Léandre, tu es né là. En plein milieu du repas “familial”, elle a senti que ça venait. Elle a eu la décence de ne pas perdre les eaux à table, et d’appeler une servante à l’aide. C’est un médecin privé du Palais qui t’a mis au monde et puisque tu étais du 1er août et qu’on te présageait une grande vie, on t’a nommé comme le Roi de la savane. Léandre. L’homme lion, selon de très vieux livres.
Une enfance tumultueuse pour tes parents. Tu n’étais pas un mauvais garçon, pas un idiot obstiné non plus, mais tu avais la bougeotte. A la limite de l'hyperactivité, tu ne cessais jamais de courir, chercher, jouer, copier, oser. Tu as fait toutes tes premières armes comme ça.
« Léandre, vous ne devez pas privilégier une matière. Elles seront toutes importantes pour la suite de votre cursus ! »
Ah, l’école… Des années inutiles à tes yeux. Tu étais un élève modèle auprès des précepteurs choisis pour toi par ton père. Et même la droiture et la rigueur de ces enseignements n’ont pas réussi à te faire plier l’échine. Alors oui, tu étais excellent, mais uniquement dans les matières où tu souhaitais l’être. Pas n’importe lesquelles… celles pour devenir un homme de renom.
Tu as traversé les années sans faire de remous, avec une petite bande d’amis dont tu étais le leader. Les jeux sportifs ne t’ont jamais intéressés, toi tu te musclais pour toi et toi seul. Les sciences politiques, beaucoup plus. Tu lisais beaucoup, tu bougeais encore plus. Tes professeurs te connaissaient pour un caractère trop tranché. Les enfants des nobles du Centrum, pour ton attitude qui les rejetait loin. Et les filles pour ce mystère que tu faisais graviter autour de toi et qui les attirait, inlassablement.
« Bienvenue parmi nous Léandre. Voici le Caporal Rinners, ce sera votre supérieur pour vos débuts parmi nous. »
Tu t’en souviens comme si c’était hier. Tu venais de finir une formation brillante au sein des armées de la ville, et tu avais trouvé une place aussi sec dans les Forces Armées. Tu allais défendre ta partie avec les plus éminents hommes de ce pays. Et puis, tu as vite déchanté. Tu as compris que l’on ne confiait rien de bien transcendant aux jeunes recrues. Pire, tu as dû te coltiner Caporal Rinners pendant 6 mois. Une femme, de 40 ans, que tu as détestée dès que tu l’as vue.
Alors à partir de là, tu as décidé que tu deviendrais le meilleur. Tu serais l’espoir de ta nation, et tu t’es défoncé pour ça. Tu as gravi les échelons un à un, en refusant le piston que ton père pouvait te fournir de par sa place auprès du Roi. Tu voulais leur prouver qui tu étais, et surtout tu avais besoin d’être légitime pour qu’ils te prennent au sérieux.
Et tu sais quoi, Léandre ? Tu l’as fait !
« Léandre Arslane (oui il l’a mal prononcé !) Stellaa, voulez-vous prendre pour épouse Rose pour l'aimer fidèlement dans le bonheur ou dans les épreuves, tout au long de votre vie ? »
Tu avais 23 ans quand tu t’es marié. Cette nouvelle a surpris tout le monde autour de moi. Rose était plus vieille de deux ans, et elle te ressemblait beaucoup. Droite et intransigeante, ayant embrassée une carrière dans les Brigades Spéciales qu’elle réussissait avec brio. Vous vous étiez rencontré autour d’une affaire, et vous aviez dîné ensemble le soir même. Le lendemain soir, tu couchais avec elle. 3 mois plus tard, vous vous étiez fiancés. 6 mois, et vous étiez mariés, pour le meilleur et pour le pire.
Rose avait tout pour te plaire et pour que votre duo marche jusqu’au bout. Quand tu te levais aux aurores, et qu’elle était déjà debout, à terminer de travailler sur un cas, que vous déjeuniez en silence et en paix, elle était ta femme. Quand elle te faisait tomber à la renverse, brusquement, sur le canapé parce qu’elle aussi avait passé une mauvaise journée, elle était ta femme. Lorsque vous vous enchainiez les passes de mots, pour savoir qui avait raison, elle était ta femme.
Elle était toi. Tu étais elle. Votre relation était parfaite et sans un amour plein de niaiseries !
« Tu es certain de toi, Léandre ?
-Oui, Rose. Pars.
-Tu sais que si tu me demandes de partir, je quitterai ces murs.. Je vais mourir dehors. Tu auras ça sur la conscience.
-Non. Tu croises les bras sur ta poitrine, le visage fermé. C’est ton choix, assume la stupidité de tes actes. »
Et elle est partie. Rose a fini par s’ennuyer de cette vie. Elle n’avait plus d’intérêt à être Caporale quand toi tu devenais l’un des plus gradés de ceux qui étaient le plus à l’opposé des Brigades. Et puis cette ville était à peine suffisant pour l’occuper. Elle a tenu du temps, avant de craquer. C’était après 5 ans de mariage, qu’elle a failli. Elle est allée voir ailleurs, puisque tu n’étais jamais là. Simplement, sans monter toute une histoire, sans même essayer de te mentir. Le soir même, elle t’attendait à la maison pour te le dire.
Tu ne l’as dit à personne, mais ce soir-là, tu es ressorti de chez toi et tu as failli tuer un type dans la rue, pour passer la colère ressentie. Tu t’es sentie trahie, Léandre, jusqu’au plus profond de toi. Tu as su instantanément que tu ne lui pardonnerais jamais, même si tu avais ta part de responsabilité à cela. Alors tu as fait ce qu’il fallait : tu lui as dit de te quitter. En faisant ça, tu la bannissais de la vie mondaine des familles aisées du quartier nord et tu la reléguais à la fange du bas-peuple.
Rose avait bien trop d’amour-propre pour accepter ce sort. Alors le lendemain matin, elle t’a accompagné à la porte sud, et elle t’a laissé la lui offrir. Et elle est sortie, seule, armée d’un pistolet et de deux cartouches. Ce jour-là, tu n’es même pas monté sur le mur pour savoir si les titans avaient rapidement eu raison d’elle. Tu es rentré chez toi et tu as fait comme si elle n’avait tout simplement pas existé.
« Je suis fier de toi, mon fils. »
Les années, les échelons, la survie. C’est comme ça que tu t’es placé là où tu es désormais. Major, parce que rien ne te résistait, que se soit les titans ou les plans. Tu t’es fais connaître en engueulant des supérieurs qui vous sortait des plans foireux. Tu t’es fais aimé en poussant ton escouade toujours plus loin et en maintenant longtemps le plus faible taux de mortalité pour un groupe de six hommes. Et puis, tu t’es fait respecté parce tes plans ont dépassé certains autres.
Alors quand le mur Maria a été attaqué, quand Shiganshina est tombé, on a blâmé vos supérieurs. Tu n’as officiellement pas pris par à ces critiques, mais beaucoup sont certains que tu les as alimenté en sous-marin. Tu n’as jamais su s’il y avait eu une légère pression du côté du Palais, mais la chose a été décidé : tu serais le nouveau leader des Forces Armées. Tu t’es mis à incarner un regain d’espoir.
Mutant, un cadeau de son père qui avait réservé une seringue de serum pour son premier né, un fils bien entendu.
Amateur de bons alcools, il a une réserve chez lui.
Fume presque partout, sans respect de ceux qui n’aiment pas ou en souffre.
Machiste.
Divorcé (eh oui !).
S’ennuie rapidement.
Fait des mots croisés quand l’ennui apparaît et qu’il n’a rien à faire, ou sort.
A besoin de 9h de sommeil minimal par jour.
Est infecte avant son premier café du matin, ou quand il n’a pas dormi assez.
Manie le sabre avec une finesse tueuse, mais préfère y aller aux poings.
Réputé pour de nombreuses tâches dans son casier, souvent pour coups et blessures.
A un sens de la justice très exacerbé et très personnel.
Déteste les mioches (c’est limite s’il n’en a pas peur).
N’est pas sentimentaliste.
Ni romantique.
Ni compréhensif.
Est mal à l’aise quand on lui impose de l’être.
Râle beaucoup et pour tout. Raille tout le monde. Vous parlera presque toujours comme à un chien. Et s'il vous parle, estimez-vous heureux, c'est que vous êtes assez important pour exister à ses yeux.
Manie le sarcasme et l'ironie comme personne quand il est vraiment énervé.
195cm, 90kg de muscles.
Les titans ? Bouarf, une raison comme une autre pour être au sommet.
Amateur de bons alcools, il a une réserve chez lui.
Fume presque partout, sans respect de ceux qui n’aiment pas ou en souffre.
Machiste.
Divorcé (eh oui !).
S’ennuie rapidement.
Fait des mots croisés quand l’ennui apparaît et qu’il n’a rien à faire, ou sort.
A besoin de 9h de sommeil minimal par jour.
Est infecte avant son premier café du matin, ou quand il n’a pas dormi assez.
Manie le sabre avec une finesse tueuse, mais préfère y aller aux poings.
Réputé pour de nombreuses tâches dans son casier, souvent pour coups et blessures.
A un sens de la justice très exacerbé et très personnel.
Déteste les mioches (c’est limite s’il n’en a pas peur).
N’est pas sentimentaliste.
Ni romantique.
Ni compréhensif.
Est mal à l’aise quand on lui impose de l’être.
Râle beaucoup et pour tout. Raille tout le monde. Vous parlera presque toujours comme à un chien. Et s'il vous parle, estimez-vous heureux, c'est que vous êtes assez important pour exister à ses yeux.
Manie le sarcasme et l'ironie comme personne quand il est vraiment énervé.
195cm, 90kg de muscles.
Les titans ? Bouarf, une raison comme une autre pour être au sommet.
Dune
27 ans, Grand Ouest, multi-compte addict, des idées plein la tête. Vous allez voir, vous allez kiffer bb Léandre :D
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↬ <aa>Michael Fassbender</aa> - @"Léandre A. Stellaa".
Si chef d'une escouade :
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<lead><grade>Major</grade> @"Léandre A. Stellaa".</lead>
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↬ <aa>Maison</aa> - @"Léandre A. Stellaa" : <jj>Du bon goût, agréable, bien tenue, voilà la maison dans laquelle Léandre a élu domicile. C'est la maison que son ex-femme avait choisie, et elle l'a rendue magnifique. Il en profite, lui, pour éblouir tous ceux qui y viennent.</jj>.
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↬ @"Léandre A. Stellaa".